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Manufacture des Cévennes : Visite guidée de notre atelier de reconditionnement de sièges usagés

Un produit du reconditionnement dans notre atelier

Dans un monde où la consommation de biens de consommation ne cesse d’augmenter, la Manufacture des Cévennes choisit un autre chemin. La société donne une seconde vie à des produits qui seraient autrement jetés, enfouis ou incinérés. Manufacture des Cévennes s’est spécialisée dans le reconditionnement de sièges de bureau, de salle d’attente et de conférence.

Une expertise certaine dans le reconditionnement

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, reconditionner des sièges n’est pas simplement une question de nettoyage. Le processus, technique et complexe, nécessite une expertise pointue pour garantir des sièges comme neufs. L’atelier de reconditionnement de sièges de la Manufacture des Cévennes possède cette expertise. L’entreprise prend soin de chaque siège qu’elle reconditionne pour offrir un produit final qui répondra aux attentes de ses clients.

L’entreprise a créé une vidéo pour donner un aperçu de l’étendue de son savoir-faire et de son engagement en matière de qualité. La vidéo montre l’atelier de reconditionnement de sièges. Elle dévoile aussi les différentes étapes du processus, les tests de qualité et la préparation des sièges pour l’expédition.

Visite guidée de notre atelier, avec les explications de Samuel Corgne, fondateur et PDG du groupe ErgoSanté et de la Manufacture des Cévennes.

Immersion au cœur de notre atelier cévenol

Des sièges reconditionnés durables et moins chers

Manufacture des Cévennes propose une alternative économique et écologique aux sièges neufs. Les sièges reconditionnés sont garantis 1 an. En plus, ils sont proposés à au moins 50% de leur prix neuf HT. L’entreprise produit une large gamme de sièges de différents styles, couleurs et matériaux pour répondre aux besoins de ses clients.

Si vous souhaitez faire le choix de la réutilisation, contactez l’équipe de la Manufacture des Cévennes pour toute collecte ou tout achat au 04 66 24 54 56 ou envoyez un email à contact@ecosiege.fr. Vous pouvez également visiter le site web de l’entreprise, pour en savoir plus sur sa démarche et découvrir sa gamme de sièges reconditionnés.

Opter pour des sièges reconditionnés, c’est donner une seconde vie à des produits qui seraient autrement jetés tout en réalisant des économies. Contactez-nous pour une solution durable et économique pour vos sièges de bureau.


Le groupe ErgoSanté est heureux d’annoncer la sortie de la dernière newsletter de notre Manufacture des Cévennes, spécialisée dans le reconditionnement de sièges de bureau. Cette édition est dédiée à nos offres promotionnelles de sièges reconditionnés. Les fauteuils de seconde main reconditionnés par nos soins apportent style, qualité et confort à tous les espaces de travail.

Nous sommes conscients de l’évolution constante du monde professionnel. Dans ce contexte, il est primordial d’aménager un environnement de travail sain, ergonomique et adapté à tous les besoins. Pour accompagner ce changement, notre Manufacture des Cévennes s’engage à fournir des sièges de bureau reconditionnés de qualité premium, à des prix très compétitifs par rapport aux fauteuils neufs.

Notre newsletter vous tiendra informé de nos offres les plus attractives, de nos réductions exceptionnelles et de nos dernières collections de sièges reconditionnés. Ces fauteuils répondent aux exigences les plus élevées en termes de design, de durabilité et de confort.

Inscrivez-vous dès maintenant à notre newsletter pour obtenir un accès exclusif à nos offres promotionnelles. Ne manquez pas nos bonnes affaires sur des sièges reconditionnés Manufacture des Cévennes et des fauteuils d’autres grandes marques.

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Depuis mars 2022, la démarche de QVT en entreprise devient QVCT ou Qualité de vie et des conditions de Travail. Cette nouvelle appellation change beaucoup de choses.

Les objectifs de la QVT

Tout dirigeant d’entreprise, sain de corps et d’esprit, aime voir ses collaborateurs s’épanouir au travail. Pour cela, ils ont besoin d’un cadre de travail convenable. Un local accueillant où il fait bon vivre ; des collègues sympathiques, toujours prêts à donner un coup de main dans les bons et les mauvais moments ; des responsabilités partagées, permettant à chacun de s’illustrer ; un planning clair et bien équilibré, où les tâches sont bien réparties et laissent de la marge pour les imprévus…

Créer de telles conditions en entreprise demande de l’organisation et d’excellentes capacités managériales. D’où l’importance d’une politique QVT (Qualité de Vie au Travail) bien élaborée et approuvée par l’ensemble du personnel.

Dans l’Accord national interprofessionnel de 2013, la QVT désigne l’ensemble des « actions permettant d’améliorer les conditions de travail des salariés et la performance globale des entreprises ». Pour les entreprises, la QVT était toujours indissociable du « bonheur au travail ». Un plan QVT se focalise ainsi sur des axes prioritaires comme :

— L’environnement de travail

— L’amélioration des relations au travail

— La culture d’entreprise

— La reconnaissance du travail effectué

— L’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle

— La valorisation du salarié

Imprécise, la définition de la QVT trouble plus d’une entreprise. Beaucoup d’entre elles ont oublié, ou du moins, négligé l’objectif même de la QVT : avoir des collaborateurs en bonne santé et qui s’épanouissent physiquement, émotionnellement et psychologiquement dans leur travail. Pour cette raison, le nouvel Accord national interprofessionnel du 9 décembre 2020 change l’acronyme. La QVT devient QVCT – et, depuis ce jour, les choses ont évolué dans le bon sens.

Quels changements depuis le passage à la QVCT ?

Les signataires du nouvel accord justifient ce changement par la nécessité de revoir l’approche traditionnelle de la qualité de vie. Selon eux, cette démarche doit intégrer une vision collective et centrée sur l’amélioration des conditions dans lesquelles les salariés exercent leur travail. Préserver la santé et la sécurité des travailleurs devient ainsi une priorité. Le nouvel accord souhaite aussi encourager la capacité des salariés à agir et à s’exprimer sur le contenu de leur travail.

La démarche QVCT, telle qu’elle a été imaginée par l’ANDRH, peut et doit être amendée continuellement. Chaque organisation professionnelle est concernée. Enfin, la politique QVCT se concentre aussi bien sur les pratiques managériales que sur les trajectoires professionnelles et les relations interpersonnelles. En gros, tous les membres de l’entreprise sont concernés.

Avec ce glissement, la qualité de vie des salariés ne se mesure plus seulement à travers les activités de détente et la convivialité sur le lieu de travail. Les mesures cosmétiques décorrélées du travail, comme les baby-foot, les coins cafés, tables de ping-pong, apéros, sortie karting et les autres activités extra-professionnelles passent ainsi au second plan. La QVCT met l’accent sur les conditions et l’environnement de travail. Le salarié se retrouve au cœur des préoccupations, puisque la QVCT s’intéresse à des enjeux autrement plus percutants :

  • Les enjeux de santé au travail, qui incluent le bien-être et la prévention des risques physiques et psychosociaux ;

—  Les questions juridiques et réglementaires liées à la soutenabilité du travail ;

—  Le dialogue social et interne ;

  • Les enjeux sociétaux autour de l’inclusion, la formation, l’égalité des chances, etc. ;

—  L’enjeu du travail

Pour les entreprises, la mise en place d’une politique QVCT revêt un intérêt stratégique. Des salariés en bonne santé et équilibrés se révèlent plus productifs. En ce sens, une démarche QVCT bien pensée booste la compétitivité, la rentabilité et la performance globale de l’entreprise.

Les actions prioritaires d’une politique QVCT

Les mesures prioritaires d’une démarche QVCT englobent la santé, la sécurité et les conditions de travail dans leur globalité.

Les actions pour la Santé et la sécurité

Imaginez que vous dirigez une PME industrielle. Vous produisez des mécaniques de précision pour des constructeurs automobiles ou aéronautiques. Vos équipes subissent au quotidien d’énormes pressions liées aux exigences du métier (concentration permanente, travail en milieu hyperbare, chaleur, outils coupants, etc.). Sans une démarche QVCT adéquate, la fatigue et la lassitude s’installent facilement dans ces conditions.

Pour protéger la santé et la sécurité de vos collaborateurs, votre entreprise se conforme à la loi et investit dans des EPI adéquats. Vous élaborez également un planning dans lequel la charge de travail est bien répartie et calibrée selon les capacités physiques et psychologiques de chaque employé.

Pour éviter les accidents et les maladies professionnelles, vous pourriez investir dans des dispositifs d’assistance physique. Un exosquelette d’ErgoSanté permet, par exemple, de diminuer la pénibilité des travaux de découpe ou de soudure. Cette assistance facilite aussi les autres tâches nécessitant de porter des charges lourdes ou de répéter les mêmes mouvements. En investissant dans la santé et le bien-être de vos salariés, vous diminuez le taux d’absentéisme, les retards et les maladies professionnelles. 

Sur le dialogue social et interne

Le climat social au sein de l’entreprise se reflète dans la qualité des relations entre les collègues et avec la hiérarchie. Cet indicateur montre avec plus ou moins de précision la santé sociale et humaine de l’entreprise.

L’instauration d’un climat de confiance entre collègues et avec la hiérarchie repose sur une communication ouverte et franche entre toutes les parties. Les évènements internes, comme les team-building, les journées parents/enfants et autres catalyseurs sociaux du même acabit permettent souvent de resserrer les liens entre les collaborateurs. 

Sur les pratiques managériales

L’encadrement joue aussi un rôle central dans une politique QVCT. Aucun salarié n’aime les méthodes de gestion trop rigides, trop fermées et dénuées de tact. Ces pratiques d’un autre âge sont sources de conflits et d’incompréhension.

Dans une politique QVCT, les managers font preuve de bienveillance et d’écoute auprès de leurs équipes. Chaque collaborateur doit se sentir soutenu, reconnu et valorisé dans son travail. Une communication humaine, ouverte et participative se trouve être la clé pour optimiser la qualité du management au cœur d’une entreprise. 

Sur les enjeux sociétaux et réglementaires

Pilier majeur de la QVCT, l’égalité professionnelle apparaît comme une source de motivation et de bien-être supplémentaire pour les salariés. Ces derniers se sentent parfois abandonnés ou privés des mêmes chances professionnelles que leurs collègues. Ce sentiment d’inégalités est parfois lié à leur sexe, à leur âge ou à leur statut social.

Afin de réparer ces injustices, l’État exige des entreprises de plus de 50 salariés qu’elles établissent un index d’égalité professionnelle entre hommes et femmes. D’autres obligations, tout aussi contraignantes, portent sur l’emploi des travailleurs en situation de handicap et l’égalité des chances indépendamment de l’origine ethnique ou sociale.

Sur l’enjeu du travail

Un employé s’ennuie facilement s’il ou elle exécute des tâches laborieuses, redondantes ou pas du tout adaptées à ses compétences. La démarche QVCT d’une entreprise doit résoudre et prévenir cette situation, en s’assurant que chaque collaborateur trouve de l’intérêt et du sens dans son travail. Cela demande une concertation entre l’équipe managériale et les employés, l’objectif étant de bien répartir les tâches et de les programmer en fonction des affinités et des compétences de chacun.

En gros, le principal défi consiste à placer la bonne personne à la bonne poste, en lui fournissant les bons outils de travail au bon moment. Si toutes ces conditions sont réunies, le collaborateur a tous les ingrédients en main pour exceller dans son travail.

La QVCT selon ErgoSanté

ErgoSanté adhère totalement aux valeurs et principes de la QVCT. Notre activité elle-même est dédiée à l’aménagement d’un cadre de travail sain, sécuritaire et agréable pour tous les salariés. Nos sièges ergonomiques aident les entreprises à lutter efficacement contre les troubles musculo-squelettiques (TMS) et les maladies à caractère professionnelles résultant d’une mauvaise posture.

Nous développons également des exosquelettes passifs, une filière où nous sommes numéro un en France. Nos derniers modèles HAPO UP et HAPO Front sont le fruit de trois années de R&D et de retours d’expérience de nos précédents équipements.

ErgoSanté soutient aussi l’égalité des chances et promeut les valeurs d’inclusion. Notre atelier cévenol est la seule Entreprise Adaptée en France œuvrant dans la fabrication de sièges ergonomiques et d’exosquelettes passifs.


Dans un rapport publié le 18 avril dernier, Santé publique France s’inquiète de l’augmentation des signalements de maladies à caractère professionnel entre 2012 et 2018. L’institut déplore aussi le manque de sensibilisation des employeurs et des employés par rapport aux MCP et aux troubles musculo-squelettiques (TMS).

Une analyse posturale en temps réel, par l’outil LEA d’ErgoSanté

Plus de signalements chez les femmes, les ouvriers et les personnes âgées

Première information de l’étude de Santé publique France : le taux de signalements des maladies à caractère professionnel augmente presque continuellement. De 4,9, % en 2017, il atteint 7,1 % chez les hommes en 2018. Chez les femmes, le taux de signalements s’élève à 11,4 % en 2018, contre 6,2 % en 2007.

En terme d’âge, le taux de signalement chez les femmes progresse jusqu’à 45-54 ans, avant de diminuer à partir de 55 ans. Chez les hommes, la courbe continue de monter au fur et à mesure que l’âge avance.

Par secteurs d’activités, l’industrie et la construction sont les plus représentées dans les signalements de MCP chez les hommes. Chez les femmes, les activités d’entreposage et de transports font le plus souffrir.

Les TMS sont sur-représentés dans les MCP

L’autre information clé concerne la surreprésentation des troubles musculo-squelettiques dans les MCP. Les TMS représentent près de la moitié des signalements chez les hommes. La souffrance psychique arrive en seconde position, avec un tiers des déclarations. Les allergies, irritations et troubles de l’audition représentent chacune moins de 5 % des pathologies signalées.

Chez les femmes, 40 % des signalements sont liés à des troubles musculo-squelettiques. 52 % sont liés à la souffrance psychique. Les troubles psychiques touchent particulièrement les femmes de 35 à 44 ans et les hommes de 45 à 54 ans. Par ailleurs, Santé publique France note un écart significatif du taux de signalement des TMS, en fonction du rang social des travailleurs.

En effet, les ouvriers sont particulièrement affectés par ces pathologies, alors que les cadres semblent épargnés. Cependant, les médecins à l’origine de l’étude relativisent ce résultat, susceptible d’être faussé par une possible sous-déclaration des troubles psychiques chez les ouvriers.

Sur les origines des TMS, les auteurs pensent que plus de 80 % des signalements proviennent de facteurs biomécaniques :

— Travail avec force

— Mauvaise posture

— Mouvements répétitifs

La souffrance psychique, quant à elle, est le résultat de facteurs organisationnels, relationnels et éthiques (FORE) à 99 %. La moitié de ces FORE relèvent de l’organisation fonctionnelle du travail.

L’étude précise enfin que 75 % des TMS relevant d’une Maladie professionnelle (MP) n’ont pas été déclarés comme une  maladie professionnelle. Cette sous-déclaration s’explique par la méconnaissance de la procédure de signalement par le salarié et par l’insuffisance d’un bilan diagnostique.

Les leçons du rapport de Santé publique France

Le système de surveillance des MCP de Santé publique France permet de quantifier, avec plus ou moins de précision, les maladies à caractère professionnel et les maladies professionnelles au sein des entreprises. 

L’étude améliore aussi la compréhension et l’identification des situations à risque en matière de MCP. La forte prévalence des troubles psychiques et des MCP chez les plus de 45 ans souligne, par exemple, la nécessité d’intégrer le facteur âge dans la répartition des postes et des tâches en entreprise.

À propos des TMS, une meilleure connaissance des facteurs biomécaniques problématiques aide les entreprises à prendre les bonnes décisions en matière de QVCT. Certains employeurs pourraient, par exemple, renforcer la protection des collaborateurs contre les effets néfastes d’une posture pénible, des gestes répétitifs et du port de charges lourdes.

L’innovation au service de la prévention des TMS

Des solutions concrètes existent. Les exosquelettes passifs développés par ErgoSanté en font partie. Nos harnais de posture soutiennent les travailleurs manuels dans les tâches pénibles, comme :

  • les travaux en hauteur,
  • le port de charges lourdes,
  • les mouvements répétitifs
  • le maintien prolongé des bras en avant ou en haut.

Légers, non encombrants et ajustables à toutes les tailles, les exosquelettes HAPO conviennent à tous les métiers manuels. Des peintres, viticulteurs, soignants, paysagistes, ostréiculteurs et ouvriers du BTP ont déjà adopté cette solution.

À propos du programme de surveillance des MCP

Le programme de surveillance des MCP de Santé publique France voit le jour en 2004. Les Observatoires régionaux de santé et l’Inspéction médicale du travail participent aussi à ce dispositif. Il s’intéresse à toutes les pathologies pouvant être liées à une activité professionnelle, sans être reconnues comme étant une maladie professionnelle par la Sécurité sociale. Les actions de veille du programme reposent sur les observations de médecins du travail volontaires lors des Quinzaine MCP.

En 2018, 1014 médecins du travail ont participé à au moins une Quinzaine MCP. La même année, le programme de surveillance des MCP a étudié plus de 40 000 cas de salariés ayant signalé une ou plusieurs maladies à caractère professionnel. Le mécanisme de surveillance couvre 7 régions métropolitaines et 2 départements d’Outre-mer.

Santé publique France prévoit d’étendre le dispositif sur tout le territoire métropolitain et Outre-mer. Elle compte sur le soutien des éditeurs de logiciel pour atteindre cet objectif. Ces derniers sont chargés de développer des outils informatiques pour faciliter et sécuriser les échanges entre les professionnels de santé qui ont accès aux DMST* et DMP**.

*DMST : Dossier Médical en Santé du Travail

**DMP : Dossier Médical Partagé


Qu’est-ce qu’un salon Préventica ?

Depuis près de 25 ans, Préventica organise des rendez-vous dans plusieurs villes de France. On y parle monde du travail et prévention des risques et on y expose les solutions ergonomiques les plus novatrices.  Espace de rencontre et d’inspiration pour les acteurs de la santé et sécurité au travail, ce salon porte un objectif commun : L’amélioration continue des conditions de travail dans tous les secteurs professionnels !

Événement majeur dans le domaine de la qualité de vie au travail, le salon Préventica sera de retour du 23 au 25 mai. Il accueillera cette année plus de 540 exposants à Paris Expo, Porte de Versailles. L’occasion pour les participants d’échanger sur l’actualité et les dernières innovations de la profession.

 

Où retrouver ErgoSanté ?

ErgoSanté a une fois de plus répondu présent à ce rendez-vous incontournable. Retrouvez-nous au pôle « aménagement des espaces de travail » au Stand I15 pour échanger avec nos conseillers ergonomes ! Venez découvrir notre gamme de solutions innovantes et profiter de conseils en aménagement de poste !

Concepteur, fabricant français et distributeur de matériel ergonomique, nous avons pour objectif la santé et le bien-être de tous les travailleurs. Entreprise Adaptée, nous avons aussi pour mission de maintenir dans l’emploi les travailleurs handicapés. Nous profiterons ainsi de la plateforme Préventica pour transmettre ces valeurs et mettre en avant nos dernières avancées technologiques.

À l’occasion de ce salon parisien, découvrez ainsi nos sièges ergonomiques manufacture des Cévennes et venez tester nos nouveautés exosquelettes ! Nous présenterons notre nouveau modèle le HAPO UP et son kit le HAPO UP FRONT. Ces dispositifs à la pointe de l’innovation sont destinés à soulager les douleurs et à éviter les TMS pour préserver votre santé au quotidien. Essayer aussi notre tout récent HAPO SENSOR. Celui-ci évalue concrètement l’impact de l’exosquelette sur l’utilisateur permettant ainsi une analyse précise de ses bienfaits. On vous prévient… les essayer c’est les adopter !

Quel que soit votre secteur d’activité, ErgoSanté peut vous accompagner dans vos démarches d’amélioration de la qualité de vie et de prévention des risques au travail.

Des questions ? Notre équipe sera là pour vous répondre !

🏙️ Obtenez votre badge visiteur gratuit : https://www.preventica.com/visiteur-formulaire-inscription.php?salon=paris&Connaissance=EIPA048&Connaissance2=ERGOSANTE&utm_source=ps&utm_medium=e-invitation&utm_campaign=ergosante-paris23

🗓️ Prenez rendez-vous avec nous : https://www.preventica.com/congres-salon-preventica-paris-2023-exposants.php?motcle=ERGOSANTE&utm_source=ps&utm_medium=e-invitation&utm_campaign=ergosante-paris23


La liste des utilisateurs des exosquelettes HAPO s’allonge. ErgoSanté est fier d’annoncer la vente d’une douzaine d’exosquelettes HAPO à Staci, gestionnaire de plateformes logistiques en France et dans toute l’Europe.

Après un test en deux phases sur un an, l’opérateur de plateformes logistiques STACI officialise la commande d’une douzaine d’exosquelettes fabriqués par ErgoSanté. Ces équipements seront opérationnels à partir du 5 mai. À terme, Staci France devrait obtenir 18 exosquelettes HAPO au total. Ces dispositifs accompagneront en priorité les collaborateurs les plus exposés aux contraintes biomécaniques et aux travaux de port de charges lourdes.

Un essai concluant pour nos exosquelettes

Le choix des exosquelettes HAPO par Staci fait suite aux retours positifs des salariés après la phase de test. Les données collectées lors de ces essais dépassent les attentes :

— Les dispositifs d’aide à la posture d’ErgoSanté diminuent significativement la sensation de fatigue à la fin d’une journée de travail.

— La présence de l’exosquelette HAPO, très léger, est à peine perceptible par les opérateurs. Les mouvements des bras, des jambes et de la hanche restent ainsi naturels.

Les testeurs de Staci remarquent aussi que le HAPO empêche les opérateurs de trop se pencher vers l’avant, en maintenant efficacement les lombaires et le haut du corps. Par cette action, l’exosquelette passif réduit la sollicitation de la colonne vertébrale. Il limite aussi les inclinaisons et les flexions du tronc. Les signalements de maux de dos ont régressé de manière significative durant la période du test.

Les opérateurs ont apprécié le fonctionnement des ressorts, installés de chaque côté du corps. Ces mécanismes corrigent la posture en temps réel : ils redirigent l’effort à fournir par le fléchissement des jambes. Les ressorts – et l’exosquelette HAPO– protègent ainsi les manutentionnaires et magasiniers contre les faux mouvements. À la longue, les opérateurs s’habituent au dispositif et adoptent naturellement les bonnes pratiques pour préserver leur santé au quotidien.

Un géant de la logistique valide les exosquelettes HAPO ErgoSanté

ErgoSanté est fier d’aider les grandes compagnies dans leurs efforts pour améliorer la Qualité de Vie et les Conditions de travail de leurs collaborateurs. STACI Group opère en effet dans un secteur où la pénibilité du travail mérite l’attention des employeurs. 

Des exosquelettes innovants au service de manutentionnaires

« Spécialiste de la logistique multi-canal », Staci gère 31 hubs logistiques et 250 points de stockage de proximité en France. Sa clientèle regroupe les acteurs du e-commerce, les services publics, les sociétés touristiques, les entreprises de la santé et de la télécom, des compagnies énergétiques et les banques et assurances, entre autres. Le chiffre d’affaires de Staci France avoisine 113 millions d’euros en 2021. Les revenus du groupe à l’international devraient atteindre 800 millions d’euros cette année.


 

Différentes études attestent aujourd’hui de l’impact néfaste du bruit ambiant sur notre confort et notre productivité. Pourtant les nuisances sonores au bureau sont encore une problématique quotidienne pour des millions de personnes. Fatigue auditive, acouphènes, sifflements, hypertension, cette dégradation de notre environnement de travail entraine des effets nocifs pour notre santé. Ce tumulte professionnel vient parallèlement détériorer notre bien-être mental avec de fortes répercussions psychologiques et émotionnelles. Des pathologies telles que le stress chronique, les insomnies ou encore la perte de concentration se développent chez les collaborateurs. Afin de converser un espace sain, de communication et de collaboration, il est donc nécessaire d’aménager intelligemment ses locaux.

Adoptez de séparateurs de bureau pour réduire le bruit en open-space

Par nature totalement ouvert, l’open space se doit d’être judicieusement séparé en espaces adaptés aux besoins du personnel. Sans parler de gros travaux, un bon aménagement suffira à réduire considérablement la propagation du bruit pour un meilleur confort sonore.

La grande proximité des postes de travail peut avoir une incidence négative sur la concentration et troubler la confidentialité. Heureusement des solutions simples et ergonomiques vous permettent de créer des délimitations astucieuses entre vous et vos collègues. Par exemple, les écrans de séparation combinent simplicité de fixation, design et isolation phonique. Ces panneaux mobiles et légers s’adaptent à tous les environnements et s’installent rapidement sur votre bureau pour diminuer le niveau sonore. Ils se déclinent en de nombreux modèles, variant en formes et en coloris pour satisfaire tous les besoins. Twistez leur esthétique selon vos envies et apportez fraicheur et modernité à vos locaux.  

Dans la même idée, les cloisons séparatrices sont d’excellents outils pour aménager l’environnement de travail de façon simple et modulable. Elles déterminent visuellement les différentes zones d’une pièce, y apportant silence et harmonie. Très performantes, elles absorbent les nuisances sonores et réduisent le bruit ambiant. Optimisant l’acoustique des lieux, elles sont aussi parfaites pour agrémenter votre décoration. Du simple écran à l’élégant paravent, fixe ou avec des roulettes, ces barrières antibruit se retrouvent sous toutes les formes.

Ces délimitations assainissent les conditions de travail, diminuant ainsi les conséquences négatives du bruit sur notre santé et notre concentration. Terminé le brouhaha permanent, chaque collaborateur pourra maintenant utiliser convenablement les différents espaces de l’open space.

Les cabines acoustiques pour parfaire le confort auditif 

Pour parfaire cette séparation, les cabines ou huttes acoustiques proposent des espaces avec un confort auditif maximal. Ce concept unique et innovant met à disposition des aires de réunion ou de travail privatif qui absorbent le bruit ambiant et limitent celui émis sur l’extérieur. Très fonctionnels et toutes équipés, ces salons phoniques permettent une concentration et une confidentialité optimale. Authentiques havres de paix, ils donnent la possibilité à chacun de s’isoler totalement ou de discuter à plusieurs au sein même de l’open space, dans le respect de tous. Box ultra moderne ou alcôve conviviale, vous trouverez forcément votre bonheur parmi un large choix proposé.

Améliorez l’isolation phonique des bureau avec du mobilier acoustique

L’isolation phonique des surfaces de votre local est une des meilleures solutions pour combattre les nuisances bruyantes. Ici, l’objectif est d’éviter les bruits extérieurs, mais aussi leur amplification et leur propagation à l’intérieur des locaux. Grâce à du mobilier adapté, il parfaitement possible de corriger et de maitriser votre environnement sonore.

Les panneaux acoustiques composés de mousse absorbante et de tissu viendront atténuer la réverbération et l’écho d’une pièce pour assurer le bien-être auditif de ses occupants. Leur implantation dans l’espace professionnel doit être étudiée pour maximiser leurs actions sans modifier les installations existantes.  De fait, ces plaques isophoniques sont à placer sur les murs et au plafond dans le but de réduire la propagation des ondes sonores. Réel accessoire décoratif, ils s’intégreront sans effort dans l’aménagement de l’open space. Ludiques, actuels et colorés ils y apporteront même une ambiance détendue et conviviale.

Le mobilier de bureau a aussi son rôle à jouer dans l’atténuation des nuisances. Il peut par exemple servir efficacement de support à un isolant acoustique. Dos d’armoires, fauteuils de direction ou encore bureaux réglables peuvent rapidement accueillir des revêtements insonorisant. Très facilement installables, ce sont des solutions pratiques pour bénéficier des bienfaits des panneaux acoustiques à prix abordables.

Les meubles ergonomiques participent aussi au retour du calme dans votre bureau. Grâce à leurs fonctionnalités de réglages utiles et silencieuses, ils sont pensés pour nuire un minimum à la concentration de vos collègues. Ainsi certains claviers associés à une technologie astucieuse réduisent considérablement les bruits lors de la saisie pour en amoindrir les perturbations. Toujours plus novateurs, des meubles phoniques font leur apparition sur le marché. Équipés des mêmes matériaux insonorisant et absorbants que les panneaux, ils permettent de réduire la diffusion du bruit sans investir dans du mobilier complémentaire. 

Choisir des protections auditives individuelles pour booster sa concentration

Les protections collectives sont indispensables pour réduire le bruit ambiant au bureau, mais peuvent parfois se révéler insuffisantes.  Plus personnelles, d’autres solutions existent pour prévenir les gênes et les détériorations de l’audition.

Les protections PICB (Protection individuelle contre le bruit) atténuent visiblement les effets nuisibles du bruit grâce à leurs propriétés d’abaissement du niveau sonore. Elles doivent être choisies en fonction de l’environnement de travail et être certifiés CE selon la norme EN352-2 pour protéger efficacement des pollutions acoustiques. En open space ces solutions accessibles peuvent prendre la forme de casques ou de bouchons d’oreilles. Ceux-ci créent rapidement des petites bulles de tranquillité qui boost productivité et concentration. Ces équipements de protection individuelle (EPI) incitent à une sorte de calme intérieur et sont idéals pour vous créer des petits moments de répit durant une longue journée de travail.

D’autres accessoires tels que les casques audio, écouteurs ou micros avec technologie anti-bruit font leur apparition sur nos postes de travail. Au même titre que les PICB, ils permettent de s’isoler pour mieux focaliser son attention, mais ont pour avantage d’avoir d’autres possibilités d’utilisations. Ils peuvent par exemple faciliter les conversations en rendant les appels téléphoniques parfaitement intelligibles même avec le tumulte extérieur. La quasi-totalité des modèles vous permettra aussi d’écouter de la musique. Stimulant la sécrétion d’endorphines, les mélodies vous apaiseront diminuant le stress et favorisant la concentration. Selon vos besoins personnels, elles pourront aussi motiver, stimuler la créativité et jouer un rôle bénéfique dans la mémorisation et l’intégration d’informations.

Demandez un aménagement de poste : https://ergosante.fr/essai/


Dans son dernier rapport du 18 avril dernier, Santé publique France note que les signalements de maladies à caractère professionnel ont augmenté de 11,4 % entre 2012 et 2018.
 
Voici quelques informations clés de l’étude :
 
— 80 % des TMS proviennent de facteurs biomécaniques
 
— Le poignet (38 %), l’épaule (30 %) et le coude (22 %) sont les plus touchés par les TMS
 
— Les TMS représentent 50 % des signalements chez les hommes et 40 % chez les femmes
 
Les chiffres du programme de surveillance des MCP ne sont pas vraiment une nouveauté. Ce rapport démontre en tout cas l’utilité des équipements développés par ErgoSanté. Nos exosquelettes aident à diminuer les contraintes sur le corps des travailleurs et limiter ainsi le risque de TMS.
 
Le développement de nos exosquelettes HAPO procède d’une démarche scientifique appuyée par les retours d’utilisateurs et les observations d’experts ergonomes.
 
Les résultats sont probants. Nos exosquelettes passifs supportent actuellement des employés de différents corps de métiers : ouvriers du BTP, personnels médicaux, manutentionnaires et vignerons, entre autres.
 
Notre message est simple. Ne restez plus spectateur devant le fléau des maladies à caractère professionnel, surtout des TMS. Investissez dans un exosquelette d’ErgoSanté ou dans tout autre équipement bénéfique pour le bien-être et la santé de vos collaborateurs !
 
➡️ Pour découvrir et essayer nos exosquelettes :
 
➡️ L’étude de Santé publique France :

Le Conseil constitutionnel a validé l’essentiel du projet de réforme des retraites ce vendredi 14 avril, à l’exception de six dispositions que les « Sages » considèrent comme des « cavaliers sociaux ». La décision des membres de la rue de Montpensier concerne aussi un autre sujet important du texte : l’amélioration de la prise en compte de la pénibilité. Ce sujet intéresse particulièrement ErgoSanté.

Les chiffres ne parlent pas du tout en faveur du Compte professionnel prévention. Depuis 2015, 2 millions de C2P ont été ouverts par les entreprises. Pourtant, seuls 12 000 salariés l’ont utilisé, dont 10 000 travailleurs qui ont fait valoir leurs droits pour obtenir une retraite anticipée. Ces résultats décevants motiveraient en partie les changements annoncés par le gouvernement. Les améliorations portent sur :

— le déplafonnement des points

— la création d’un droit à la reconversion

— la retraite à 62 ans pour les salariés les plus exposés à l’usure professionnelle

Déplafonnement des points du compte pénibilité

Aujourd’hui, l’exposition à six facteurs de pénibilité ouvre droit à des points sur le C2P. Ces facteurs sont :

  • le travail répétitif
  • le travail de nuit
  • le travail en équipes successives alternantes
  • les températures extrêmes
  • le bruit
  • le travail en milieu hyperbare

Dans les faits, un salarié ajoute des points sur son C2P lorsqu’il ou elle est exposé(e) à l’un de ces facteurs au cours d’un trimestre. La règle se veut simple :

  • son compte de pénibilité est crédité d’un point par trimestre s’il s’expose à un seul facteur
  • il ou elle reçoit deux points par trimestre en cas d’exposition à deux ou plusieurs facteurs de risque

Un employé peut donc acquérir 4 points de pénibilité par an en cas d’exposition à un facteur sur tous les trimestres et jusqu’à 8 points en cas de polyexposition. Le compte pénibilité d’un salarié ne peut contenir plus de 100 points durant toute sa carrière. Le projet de réforme validé par le Conseil constitutionnel supprime ce plafond.

Assouplissement des critères d’éligibilité

Dans l’actuel système, les points sont crédités sur le compte du salarié à partir d’un seuil d’exposition sur un ou plusieurs facteurs de risque. Cette valeur s’élève à 120 nuits par an, pour le travail de nuit et à 50 nuits par an pour le travail en équipes successives. Le gouvernement envisage d’abaisser ces seuils, afin d’élargir l’accès au C2P à plus de salariés. Cette disposition cible en particulier les métiers où le sentiment d’insoutenabilité du travail est très fort.

Ajout d’une modalité d’utilisation au compte pénibilité

Le C2P permet actuellement de :

  • avancer l’âge de départ à la retraite en validant des trimestres de majoration de durée d’assurance vieillesse
  • obtenir un complément de rémunération dans le cas d’une réduction de la durée de travail en lien avec l’exposition aux facteurs de risque de pénibilité
  • financer une formation professionnelle en vue d’une reconversion dans un métier moins pénible

La réforme introduit une quatrième utilisation du compte. D’après le texte validé par le Conseil constitutionnel, elle prendrait la forme d’un « congé de reconversion professionnelle ». Avec ses droits C2P, un salarié pourra financer une formation longue et qualifiante pour changer de métier. Après la réforme, 60 points de C2P donnent droits à une formation de 30 000 euros.

Le projet inclut aussi l’augmentation de la valeur des points obtenus sur le C2P. Chaque point sur le compte pourrait financer 500 euros de formation, contre 375 euros aujourd’hui.

Une retraite à 62 ans pour les plus exposés

Le projet de loi maintient la possibilité de partir à la retraite à 62 ans, pour les salariés les plus exposés aux facteurs de risque de pénibilité. En revanche, le gouvernement devra préciser les modalités de ce régime spécial : l’article sur la visite médicale de « fin de carrière » a été censuré.

Cette mesure concerne les salariés exposés à de multiples risques de pénibilité. Dans le texte, les personnes qui échouent à cette visite auraient pu demander une retraite anticipée dès 62 ans et percevoir quand même une pension au taux plein. Les « Sages » estiment que cette disposition est contraire à la Constitution.

La réduction de la pénibilité selon ErgoSanté

ErgoSanté soutient toute initiative concrète visant à améliorer concrètement les conditions de travail des salariés qui exercent un métier pénible. Notre entreprise est d’ailleurs l’un des principaux acteurs du marché des équipements professionnels ergonomiques. Nous sommes le premier fabricant français d’exosquelettes passifs destinés aux travailleurs.

Une solution technologique à la pénibilité du travail

Notre objectif reste inchangé, avec ou sans la réforme du C2P : imaginer, concevoir et développer des dispositifs qui aident à limiter l’apparition de troubles musculo-squelettiques liés à la pénibilité d’un travail. Nos solutions prêtent assistance aux travailleurs de bureau et aux professions manuelles. Pour ces dernières, nous proposons une gamme d’exosquelettes passifs, qui soulagent la nuque, les bras et le dos, en plus de compenser les infirmités.

Ces « dispositifs d’assistance physique » — comme Samuel Corgne, PDG d’ErgoSanté, préfère les appeler — accompagnent actuellement des professionnels de différents secteurs d’activité. Des producteurs laitiers, chirurgiens, manutentionnaires dans les usines et centres logistiques et des ouvriers d’abattoirs bénéficient de l’assistance fournie par les exosquelettes ErgoSanté.


Le Covid-19 a changé la façon dont les entreprises, les collectivités et les particuliers considèrent leur environnement de travail. Des bureaux et sièges reconditionnés plus confortables, des horaires flexibles ainsi que les enjeux écologiques et sociaux sonnent désormais comme une évidence pour nombre de travailleurs.

Soucieux du portefeuille des entreprises et répondant à leurs critères RSE, EcoSiège n’a pas attendu ces mutations pour développer une offre de mobilier professionnel écoresponsable. Comment ? La réponse se trouve dans les mobiliers recyclés, upcyclés et reconditionnés dans notre atelier à Anduze, dans les Cévennes.

Du mobilier à prix raisonnable pour tous

L’ameublement d’un bureau ou d’un espace de travail à domicile demande un budget conséquent. Un fauteuil ergonomique neuf coûte 200 euros pour un modèle basique et jusqu’à 1500 euros ou plus pour une version de pointe. Maintenant, imaginez une entreprise qui doit remplacer une centaine de fauteuils à court ou à moyen terme : la facture risque de s’envoler rapidement.

La filière recyclage du groupe ErgoSanté résout justement ce problème. EcoSiège récupère les sièges vétustes et inutilisés par les grandes entreprises, les PME, les collectivités et les particuliers dans toute la France. Dans notre manufacture, ces mobiliers anciens s’offrent une seconde jeunesse sous les mains expertes de nos artisans. Ils sont évalués, nettoyés, réparés puis reconditionnés, avant de retrouver un état proche du neuf.

La démarche d’EcoSiège repose avant tout sur une logique financière. Les fauteuils rénovés dans nos locaux reviennent jusqu’à au moins 50 % moins cher qu’un siège neuf.

Des sièges reconditionnés à prix raisonnable

Des sièges compatibles avec les démarches RSE des entreprises

La loi Pacte et le Code civil réformé en 2019 exigent des entreprises qu’elles intègrent une dimension RSE dans la gestion de leurs activités. Cette obligation concerne les ETI, TPE, les PME et les sociétés cotées en Bourse. Les plus grandes compagnies doivent en plus effectuer un reporting ESG.

Ce document informe le public et les autorités sur les impacts sociaux et environnementaux de leurs activités. Pour ces acteurs, chaque action ayant une dimension RSE mérite d’être mise en avant, afin de prouver leur engagement en faveur de l’environnement, du bien-être des salariés et de l’emploi local entre autres.

L’achat de sièges reconditionnés par EcoSiège remplit justement tous ces critères. Nos fauteuils reconditionnés laissent une empreinte carbone nettement inférieure par rapport aux sièges neufs. La différence peut monter jusqu’à -42 kg de CO2 en fonction du mobilier et de ses composants. Plusieurs facteurs expliquent le faible coût carbone de nos produits :

–          Une production basée sur des fauteuils usagés

Notre manufacture à Anduze utilise peu de matières provenant de la filière extraction, réputée très polluante. Notre production s’appuie essentiellement sur des sièges hors d’usage de toutes les marques, collectés par Valdelia et d’autres organismes partenaires.

–          Un circuit de production local

La France produit chaque année environ 130 000 tonnes de déchets provenant de mobilier professionnel. EcoSiège puise dans cette réserve « locale » et quasi infinie pour produire des sièges de bureau reconditionnés qui conservent leurs qualités initiales.

–          Un modèle conforme à la loi anti-gaspillage

Malgré l’entrée en vigueur de la loi AGEC dans plusieurs secteurs d’activité, le taux de recyclage des mobiliers professionnels usagés peine à dépasser 16 %. Notre modèle, basé sur le recyclage, l’upcycling et le reconditionnement de sièges ergonomiques, aide les entreprises à se conformer dès maintenant à leurs obligations vis-à-vis de la loi anti-gaspillage.

Des sièges respectueux des valeurs d’inclusion

ErgoSanté s’est toujours soucié des besoins des salariés et travailleurs en situation de handicap. Le groupe a conservé cette approche lors de la création d’EcoSiège. Notre entreprise opère le premier et le seul atelier de reconditionnement de sièges reconnu Entreprise Adaptée en France.

Plus de 55 % des salariés de notre manufacture à Anduze sont en situation de handicap. Pour cette raison, nos fauteuils remis à neuf conviennent surtout aux TPE/PME et aux entreprises qui souhaitent valoriser leur démarche environnementale et d’inclusion.

Aucune concession sur la qualité, le confort et la fiabilité

Les fauteuils ergonomiques recyclés par EcoSiège retrouvent leurs qualités d’origine. Ces sièges d’occasion offrent un niveau de confort et de sécurité comparable, sinon meilleur que les modèles neufs.

Certains modèles bénéficient même d’une mise à niveau salutaire pour nos clients. En effet, des sièges dépourvus d’appui-tête ou d’accoudoirs 4D peuvent se doter de ces nouvelles fonctions dans notre atelier. Signe de notre engagement qualité : nous offrons une garantie d’un an pour tous les sièges reconditionnés par nos soins, indépendamment de la marque.


 

L’édition 2023 du salon WearRAcon 2023 s’est tenue les 30 et 31 mars derniers à La Nouvelle-Orléans, en Louisiane. Cette année, les fabricants d’équipements de robotique ont fait la part belle aux start-ups et entreprises spécialisées dans les matériels ergonomiques innovants. ErgoSanté a profité de cette tribune pour dévoiler deux nouveautés – le HAPO Sensor et le HAPO Up-front — et officialiser l’ouverture prochaine d’un site de production en Caroline du Nord.

Une nouvelle usine de production à Wilmington à partir de juin 2023

Le rêve américain d’ErgoSanté n’est pas un mystère. Samuel Corgne, dirigeant et fondateur, a toujours affiché ses ambitions et l’ouverture d’une manufacture aux États-Unis est l’un de ses objectifs prioritaires. Nos produits s’exportent au pays de l’Oncle Sam depuis 2021, d’abord au sein du réseau Worksmart Innovations, puis avec l’aide de NUVO, notre actuel distributeur exclusif en Amérique du Nord. L’ouverture d’un site de production sur le sol américain fait partie d’un mouvement d’internationalisation orchestrée depuis deux ans.

L’usine en question sera implantée à Wilmington, en Caroline du Nord. Elle sera pleinement opérationnelle à partir de juin 2023. Toutefois, ErgoSanté produit déjà des pièces d’exosquelettes « Made in US » dans l’atelier en question. Nos équipes utilisent l’impression 3D, en collaboration avec la branche R&D HAPOLAB. Les premiers exosquelettes fabriqués à 100 % aux États-Unis sortiront de l’usine de Wilmington à partir de juin.

Nos clients américains pourront alors commander et se faire livrer des équipements ergonomiques « Made in US », confectionnés par des techniciens locaux. Cette organisation est conforme à notre stratégie globale, qui privilégie la production locale et la proximité avec les utilisateurs. ErgoSanté mise beaucoup sur le développement du marché des exosquelettes passifs aux États-Unis. Selon les prévisions de Transparency Market Research, ce filon devrait représenter un chiffre d’affaires de « 745,6 millions de dollars au cours des 10 prochaines années », assure Samuel Corgne dans les colonnes du journal Les Échos.

La présence d’ErgoSanté en Amérique devrait aussi aider les entreprises et travailleurs à mieux prévenir et traiter les troubles musculo-squelettiques liés au travail. Le coût direct des TMS sur l’économie américaine s’élèverait à 50 milliards de dollars par an. Les blessures liés aux TMS génèrent jusqu’à 225 milliards de dollars de manque à gagner sur la productivité.

Communiqué de presse : 

FR : https://ergosante.fr/wp-content/uploads/2023/04/23.03.30_CP-ErgoSante_WearRAcon_nvll-prod-USA.pdf

ANG : https://ergosante.fr/wp-content/uploads/2023/04/23.03.28_Press-release-ErgoSante_WearRAcon.pdf 

 


 

Le marché des exosquelettes à visée médicale et/ou ergonomique grossit continuellement. Dans le monde, hors États-Unis, les ventes progressent de 20 % chaque année. Ce secteur d’avenir attire logiquement plusieurs acteurs, tous déterminés à s’approprier une part du gâteau. Seulement, à trop vouloir faire du chiffre d’affaires, des fabricants tombent dans le piège du sensationnalisme et des arguments de vente dénués de toute logique scientifique.

ErgoSanté ne souhaite pas faire la même erreur et préfère équiper ses clients d’un système qui leur permet de suivre, mesurer et évaluer les données d’utilisation des exosquelettes. Ce nouveau dispositif a été présenté au salon WearRAcon 23 sous le nom HAPO Sensor. L’équipement en question embarque plusieurs capteurs qui calculent la fréquence et l’intensité d’utilisation d’un exosquelette.

HAPO Sensor mesure ainsi l’assistance fournie par le harnais de posture. Les données objectives collectées par les capteurs sont synthétisées, puis compilées dans un rapport d’analyse accessible sur un smartphone. Ces statistiques en temps réel montrent aux utilisateurs l’effet d’atténuation de l’exosquelette d’ErgoSanté, exprimé en kilogramme ou en pourcentage. Bérenger Le Tellier, notre responsable scientifique, est catégorique sur ce point. Ces données « basées sur la science » seront indispensables pour établir l’efficacité de nos exosquelettes en condition réelle.

Communiqué de presse : https://ergosante.fr/wp-content/uploads/2023/04/23.03.30_CP-ErgoSante_WearRAcon_nvll-prod-USA.pdf 


Après des mois de développement, ErgoSanté a pu dévoiler le nouvel exosquelette HAPO Up-Front lors du WearRAcon 2023. Comme son nom l’indique, ce modèle a été imaginé essentiellement pour soutenir les membres supérieurs lors de travaux en hauteur. Cet exosquelette passif se décline en réalité en deux versions, en fonction de l’utilisation souhaitée.

HAPO UP

La variante HAPO UP promet une assistance permanente pour les mouvements des bras au-dessus de la tête. Version améliorée de notre ancien modèle Shiva, le HAPO Up est constitué d’une ceinture lombaire renforcée par des bras en lame composite, dont la structure s’inspire des alvéoles d’abeilles. Cet exosquelette fournit un soutien infaillible jusqu’à 180° à l’horizontale et entre 60 et 180° en hauteur. Le système, passif et réglable, réduit la contrainte de l’épaule jusqu’à -40% pour les travaux qui exigent le maintien des bras au-dessus de la tête. La diminution de contrainte atteint -28 % pour les mouvements de charges légères.

HAPO FRONT

De son côté, le HAPO Front repose sur un système de harnachements, composé d’une ceinture lombaire et de sangles à fixer sur les bras. Ces deux éléments sont reliés entre eux par deux ressorts en composite, à la fois résistants et intuitifs. Le HAPO Front soulage les coudes, les épaules et les membres supérieurs lors des travaux qui nécessitent de maintenir une posture « bras en avant » de manière répétitive ou durant plusieurs minutes. Ce harnais de posture ne limite pas les mouvements des bras, qui peuvent bouger jusqu’à 135° en hauteur et 180° à l’horizontale.

Les modules « UP » et « FRONT » de cet exosquelette sont interchangeables. Autrement dit, vous pouvez commander individuellement le HAPO UP ou le HAPO FRONT, et avoir quand même la possibilité de compléter ultérieurement votre exosquelette avec le module manquant. Le passage du modèle FRONT au UP – ou vice-versa – se fait en quelques minutes, sans l’aide d’aucun outil.

Communiqué de presse : https://ergosante.fr/wp-content/uploads/2023/04/23.03.30_CP-ErgoSante_WearRAcon_nvll-prod-USA.pdf 


Baisse de productivité, fatigue oculaire, migraines chroniques, tous ces maux peuvent être causés par un mauvais éclairage de votre poste de travail. Afin de combattre ces pathologies sérieuses, l’espace professionnel se doit de proposer un aménagement lumineux ergonomique, sain et sécurisé pour les collaborateurs. Synonyme de bien-être, une bonne luminosité influence la réalisation de nos activités, nos performances ainsi que notre motivation. Celle-ci est donc essentielle à un travail serein et efficace et ne doit donc pas être négligée.

Régies ou non par les directives du Code du travail, les environnements professionnels tels que l’Open Space ou le Home Office restent très vulnérables aux problèmes de luminosité. Il est donc nécessaire de s’informer sur les différentes recommandations afin d’imaginer une ambiance lumineuse propice à la concentration et à la bonne humeur, respectueuse de votre santé.  

Diversifiez les sources d’éclairages pour préserver votre santé

Avant toute installation il convient de définir les caractéristiques techniques de votre milieu ainsi que vos besoins précis en termes d’éclairage. En effet chaque activité requiert une luminosité différente comme le précise l’article R4223 du Code du travail « Le niveau d’éclairement doit être adapté à la nature et à la précision des travaux à exécuter ». Il existe cependant des conseils universels applicables pour l’ensemble des corps de métier.

La diversification des sources de lumière est par exemple une préconisation aujourd’hui vivement encouragée. L’éclairage doit ainsi être assez intense pour prévenir les troubles visuels tout en évitant la sur exposition. Pour les tâches de bureau, l’intensité lumineuse ergonomique recommandée oscille généralement autour des 500 Lux. 

Pour commencer, veillez à créer une base lumineuse uniforme. L’utilisation d’un plafonnier ou d’une suspension assurera la diffusion d’une lumière ambiante d’une intensité constante. Cette source principale installera une atmosphère générale apaisante, favorisant le travail et diminuant les douleurs oculaires. Elle vous protègera des fluctuations incertaines de la lumière du jour et limitera les contrastes trop élevés dus à l’usage d’autres sources plus puissantes. Pour plus de douceur, évitez les néons ou les spots, lumière directe trop agressive.

En vue de réduire les zones d’ombres engendrées par l’éclairage d’ensemble, il vous faut maintenant ajouter des lampes du bureau. Plus précis, ces luminaires d’appoints assureront une luminosité suffisante tout en restant respectueux de vos yeux. Ils peuvent être installés par pair afin de jouer sur les illuminations directes et indirectes. Les liseuses, les lampes mobiles ou encore les lampadaires à pied seront des solutions tout à fait adaptées à cette consommation.

Dans certains cas, l’agencement des lieux est tel qu’il vous sera nécessaire d’investir dans du matériel complémentaire pour éviter reflets et éblouissements. Il faudra donc se tourner vers des revêtements non réfléchissants ainsi que vers des cloisons mobiles destinées à occulter les sources lumineuses permanentes dérangeantes.

Privilégiez les solutions d’éclairages réglables pour un meilleur confort visuel

Après la quantité, il faut à présent penser à la qualité de votre éclairage. Pour travailler dans les meilleures conditions possibles, dirigez-vous vers un équipement lumineux fiable et compétent.

Un des points clés de la finalisation de votre installation ergonomique sera la possibilité de personnalisation de vos accessoires. Il vous faudra par exemple, une lampe caméléon capable de s’adapter à toutes vos exigences spécifiques (ex : droitier ou gaucher). Pour davantage de confort et d’efficacité, une source lumineuse réglable est donc à privilégier. Simple d’utilisation, celle-ci possède des fonctionnalités saines et pratiques, particulièrement appréciables en espace professionnel.

Vous pouvez ainsi opter pour une lampe de bureau à tête inclinable ou un luminaire à bras articulé. Ceux-ci orientent le faisceau lumineux précisément là où vous en avez besoin, assurant un éclairage parfaitement individualisable de votre poste de travail. Certains modèles proposent même des ajustements encore plus spécifiques. Il est par exemple désormais possible de moduler la température d’éclairage de votre lampe. Très pratique, cela vous permettra d’adapter la luminosité en prenant en compte l’heure de la journée, la météo et même vos préférences sensorielles. La couleur de cette lumière se rapprochera idéalement de celle de l’éclairage naturel et sera donc comprise entre 2500 et 4000 Kelvin. Grâce à ses lampes innovantes, augmentez significativement votre confort visuel, votre concentration et de fait, votre productivité.

Pour les postes de travail mobiles ou aux contraintes d’espaces, des solutions astucieuses existent. Les guirlandes, lampes à clipser et autres luminaires à batterie sont des accessoires flexibles et efficaces. Ils seront vous illuminer correctement tout en restant facilement transportables.  

Optez pour des éclairages peu énergivores

Au cours de votre processus d’aménagement lumineux, il vous faudra choisir une ampoule correspondant à vos attentes et à vos moyens. Incandescence halogène ou basse consommation, vous avez l’embarras du choix.

Au vu du contexte actuel, il est indispensable de choisir une lampe peu énergivore, bienveillante envers notre planète mais aussi envers votre portefeuille. Au bureau, 15 watts suffiront amplement pour garantir une luminosité suffisante. Pour votre sécurité visuelle et par souci d’efficacité énergétique, privilégier donc les lampes basse consommation ainsi que les lampes à LED (de lumière blanche). Hautement résistantes, elles vous illumineront pour de très longues heures. Si vous nécessitez une lumière plus puissante, tournez-vous vers les ampoules halogènes, moins écologiques mais dégageant un éclairage plus intense.

Attention à la luminosité de vos écrans !

Pour finaliser parfaitement votre environnement lumineux, vous devez à présent vous soucier des méfaits engendrés par vos écrans. En effet, la lumière bleue émise par ceux-ci accélère les dégradations visuelles, la fatigue chronique et développe significativement les insomnies. Pour combattre ces impacts néfastes sur la santé, il faut impérativement protéger vos yeux.

Pour cela, des solutions très simples existent : Ajoutez une source de lumière additionnelle sur votre bureau et occultez les fenêtres pour éviter les reflets. Baissez la luminosité et le contraste de vos écrans pour préserver votre vision. En vous procurant un bras porte PC, installez-vous à une distance raisonnable de votre ordinateur et adoptez ainsi une posture de travail plus saine.  Enfin, en complément de toutes ces astuces, vous pouvez investir dans une paire de lunettes de protection. Celles-ci proposent un traitement spécial, filtre de lumière bleue et antireflet pour une sécurité optimale.


Vous exercez votre activité en télétravail ou au sein d’un open space ? Découvrez ici trois astuces pour compléter votre installation ergonomique et pr&otéger vos yeux au bureau !  

Que l’on utilise un ordinateur, une tablette ou un projecteur, les écrans sont aujourd’hui au cœur de notre quotidien professionnel. Cette sur exposition n’est pas sans conséquences pour notre santé visuelle ! Picotements, tremblements, paupières lourdes ou encore vision brouillée sont les premiers signes d’une fatigue oculaire. Celle-ci, si elle n’est pas prise au sérieux, peut entrainer l’apparition de migraines chroniques ou de troubles visuels tels que la myopie.  Il est donc important de préserver ses yeux, quel que soit son environnement de travail. Adoptez facilement quelques petits réflexes très simples qui vous assureront bien être et productivité !

1. Questionner son installation et son positionnement

Vous ne l’aviez sans doute pas vu venir, mais une posture adaptée est essentielle pour garder vos yeux en bonne santé. Trop proches de l’écran ou recroquevillées en avant, ses positions ont des impacts très néfastes sur notre santé visuelle. Intégrées discrètement au fil de nos journées de travail, celles-ci engendrent une vision totalement déséquilibrée. Une posture de travail bien droite soulagera ainsi efficacement à la fois vos maux de dos et vos problèmes oculaires.

Pour prendre place de manière correcte, il vous faudra d’abord régler votre siège ergonomique en vue d’une assise confortable. Une fois cette manipulation réalisée, il vous faut à présent ajuster moniteurs et porte-documents. Pour cela de nombreux accessoires sont à votre disposition. Utilisez par exemple des bras porte-écrans ou des supports PC pour vous installer à une distance raisonnable de votre ordinateur. Ces ingénieux ajouts au poste de travail accompagneront le corps vers l’obtention de postures saines. Fonctionnels, ceux-ci autorisent de nombreux réglages pour positionner votre regard de façon optimal. Cette position évitera une trop forte sollicitation de vos yeux, prévenant ainsi maux de tête et fatigue visuelle.

L’emplacement de votre bureau peut aussi avoir des conséquences sur votre confort oculaire. Si possible, votre écran doit être placé perpendiculairement à une fenêtre équipée de rideaux. Vous bénéficierez ainsi d’une lumière naturelle directe en évitant les reflets gênants. Une bonne visibilité réduira considérablement les risques pour vos yeux. Fuyez donc le plus possible les postes de travail tournant le dos aux ouvertures.

2. Bénéficier d’un éclairage ergonomique suffisant et adapté

Pour protéger vos yeux, il est très important d’assurer un aménagement lumineux ergonomique de votre environnement professionnel. À la maison comme en open space, un bon éclairage vous aidera à combattre les troubles de la vision au travail. Celui-ci sera source de bien-être et influencera votre santé et vos performances.

La clé d’une bonne luminosité est la diversification des éclairages. En prenant en compte l’apport en lumière naturelle, il vous faudra choisir un apport artificiel varié. Adoptez dans un premier temps une source principale qui diffusera une lumière d’ambiance. Votre plafonnier doit être suffisamment efficace pour illuminer sans éblouir. Afin de réduire les contrastes et les zones d’ombres, il vous faut maintenant ajouter des luminaires d’appoint. Liseuses, lampadaires à pied ou classiques lampes de bureau seront ainsi incontournables pour compléter votre confort visuel. Préférer les éclairages réglables qui pourront s’adapter rapidement à tous vos besoins. Ces compositions lumineuses proposeront ainsi un environnement de travail sain et relaxant pour votre vision.

3. S’équiper en matériel pour protéger ses yeux de la lumière bleue.

Vous n’êtes pas sans savoir que vos écrans émettent de la lumière bleue pouvant se révéler nocive pour vos yeux. Une omniprésence de cette source lumineuse augmentera les risques de pathologies oculaires graves telles que les cataractes ou les lésions rétiniennes. Heureusement, il existe plusieurs astuces pour réduire les effets néfastes de la lumière bleue.

Tout d’abord, vous pouvez régler votre ordinateur de façon à limiter votre exposition. Ajustez la luminosité en fonction de votre environnement et de l’heure de la journée. Très pratique, vous pouvez aussi activer les modes « night shift » ou « filtre anti lumière bleue » sur vos appareils. Ceux-ci réchaufferont la luminosité émise par vos écrans pour vous protéger des dangers ophtalmologiques liés à leur utilisation.

Pour achever parfaitement la protection de vos yeux au bureau, misez sur des lunettes anti lumière bleue. Celles-ci bloqueront le reflet de la lumière bleu-violet du spectre lumineux en l’empêchant de pénétrer votre œil. Elles offriront ainsi une sécurité supplémentaire à votre travail sur PC. Ces lunettes de protection limiteront efficacement la fatigue visuelle et les risques de vieillissement prématuré de vos yeux. Accessibles à tous et ultras simples d’utilisation, elles sont l’accessoire ergonomique idéal pour préserver vos yeux au bureau !


Une station assis-debout à la maison

Vous avez sans doute aperçu ces bureaux assis-debout sur TikTok ou dans un magazine. Cet aménagement est-il un simple effet de mode ou apporte de réels bénéfices ? En vrai, le travail assis-debout offre plus d’avantages que d’inconvénients, surtout sur en termes d’ergonomie et de santé.

Un personnel en meilleure santé grâce au travail assis-debout

Rester assis trop longtemps est mauvais pour la santé : c’est un fait prouvé par la science ! Des travaux récents montrent même que les pathologies liées à la sédentarité représentent un problème de santé majeur pour les entreprises.

Dans une étude réalisée entre 2016 et 2017, des chercheurs britanniques estiment que la position assise prolongée a coûté au Royaume-Uni un peu plus de 823 millions de livres sterling en dépenses de soins et arrêts de travail. Pire, cette « mauvaise habitude » serait indirectement responsable de la mort de 50 000 personnes au Royaume-Uni chaque année. Comment ?

La réponse se trouve dans la façon dont le corps réagit lorsque vous restez inactif pendant de longues heures. En l’absence de mouvement, le sang circule moins bien. Ce phénomène diminue automatiquement l’oxygénation du corps, surtout des organes vitaux. En plus du flux sanguin, la sédentarité affecte également la solidité de l’os. Sans les compressions générées par le mouvement, l’os se dégrade et perd en densité.

Les chercheurs ont aussi relié la position assise prolongée à d’autres pathologies, dont des troubles digestifs, des maladies cardiovasculaires, des douleurs lombaires et la sarcopénie ou la perte de masse musculaire. Plus inquiétant encore, le travail assis prolongé augmente le risque de mort prématurée. Ce risque est 37 % plus élevé pour les femmes qui restent assises pendant au moins 6 heures par jour, et 17 % plus élevé pour les hommes.

Toutes ces statistiques montrent à quel point il est important d’alterner la posture de travail au quotidien. Pour garder un minimum de mobilité et de tonus musculaire, les médecins et ergonomes recommandent de ne pas passer au-delà de 4 heures par jour en position assise. Ceux et celles qui exercent un métier sédentaire par essence doivent au moins se lever et faire des micro-exercices toutes les 2 heures.

L’idéal serait d’investir dans un bureau assis-debout. Cette station de travail flexible permet en effet de passer rapidement d’une position assise à une position debout ou assis-debout. Avec un bureau à hauteur réglable, l’employé peut ajuster à tout moment sa posture en cas de fatigue ou d’inconfort musculaire.

Une station assis-debout pour gagner en productivité

Le travail assis-debout améliore également la productivité. Le gain en efficacité varie de 10 à 30 %, d’après les recherches. Ce point ne se discute même pas. Un salarié bien confortable sur son bureau, épargné par les douleurs musculaires, se sent mieux dans son corps et dans son esprit. Ce sentiment de bien-être lui donne plus de motivation et le pousse à être plus efficace, physiquement et mentalement.

La particularité du travail assis-debout réside dans sa personnalisation. Les aménagements les plus performants proposent des mécanismes qui prennent en compte toutes les morphologies. Ces possibilités d’ajustement concernent à la fois le siège ergonomique et le bureau.

Le fauteuil d’une station assis-debout propose au moins trois réglages de hauteur. L’inclinaison de l’assise, du dossier et des accoudoirs peut aussi épouser la posture souhaitée par l’utilisateur. Le plateau se cale également sur la position de travail de l’employé. Besoin d’une surface de travail plus agréable et plus flexible ? L’angle peut être paramétré pour soulager la tension sur les coudes, les bras et les épaules.

Pour les réunions, les visioconférences et les appels, il est possible de soulever le plateau et le porter à la hauteur de l’écran, pour une position entièrement debout. Cette tenue permet une plus grande liberté de mouvement et aiguise la créativité. Cela aide à prendre des décisions plus rapidement et plus intelligemment.

Les aménagements indispensables à un travail assis-debout

Connaissant les bienfaits de la position assis-debout au travail, la question n’est plus de savoir pourquoi l’adopter, mais plutôt de « comment » l’intégrer dans votre organisation. Bien sûr, le bien-être et la santé des employés demandent un minimum d’investissements. Pour le travail assis-debout, ces coûts portent sur l’aménagement d’un bureau ergonomique, flexible et adapté à différents profils d’utilisateurs. Ces dépenses sont largement compensées par le gain en productivité.

ErgoSanté offre plusieurs solutions de bureaux assis-debout aux entreprises souhaitant améliorer le bien-être et la santé de leurs employés. La station L-E-Vate, par exemple, s’installe facilement sur un bureau existant. Cette plateforme se pose simplement sur un mobilier de bureau et peut accueillir jusqu’à deux moniteurs grâce à son plateau aussi large que profond. La hauteur du plateau se règle manuellement, son élévation pouvant atteindre 50 cm. Le support clavier et souris, démontable, suit également le mouvement de la plateforme.

Côté siège, la gamme assis-debout d’ErgoSanté compte plusieurs modèles, pensés pour s’intégrer dans n’importe quelle configuration de travail. Ces tabourets semi-sitting existent en version avec ou sans dossier, mais toujours avec un piètement à hauteur réglable. La personnalisation étant la clé d’un travail assis-debout optimal, il est crucial de concevoir l’aménagement d’un bureau assis-debout en tenant compte des propres besoins de son entreprise.

Un aménagement basique d’une station assis-debout

Immobilité et position assise prolongée nous rendent vulnérables à de nombreux soucis de santé : troubles musculosquelettiques (TMS), graves douleurs au dos, tensions, manque de tonicité… Beaucoup de ces problèmes sont le résultat de l’intégration de mauvaises postures dues à un manque d’ergonomie au bureau. Aménager un véritable poste de travail ergonomique devient alors essentiel pour prévenir les risques et réduire les gênes occasionnées. L’achat d’un siège de travail adapté sera une des clés de la réussite de cette démarche. Celui-ci contribuera à réduire les méfaits engendrés par la position statique et augmentera significativement le confort des utilisateurs.

De la simple chaise traditionnelle au fauteuil sur mesure, une multitude de choix s’offrent à vous. Avant de faire une sélection, il vous faut vous poser les bonnes questions : Quelles sont les qualités d’un bon siège ergonomique ?

Un siège de bureau avec un mécanisme adapté à votre utilisation

En entreprise ou à la maison, peu importe l’activité exercée, il est important de ne pas négliger son équipement. Il doit être adapté à votre usage et permettre une installation idéale qui diminuera les effets néfastes sur le corps. Pour cela, les chaises de bureau offrent une diversité de mécanismes appropriés en fonction des fréquences d’utilisation. Plus on passe de temps assis, plus le mécanisme du siège doit être performant en matière de soutien et de prise en charge.

Pour tout emploi supérieur à 4h, il est recommandé d’être équipé d’un mécanisme au renversement ergonomique. Très adaptés, ces sièges à contact permanent assurent un appui constant du dos contre le dossier afin d’épouser au mieux les mouvements du corps. Besoin d’un réglage individualisé de l’assise et du dossier ? Tournez-vous vers chaises à basculement asynchrone. Idéales pour les postes qui requièrent une inclinaison spécifique, elle permet d’adapter son assise en fonction des exigences du moment. Pour une utilisation intensive au-delà de 6h, il vous faudra miser sur le mécanisme synchrone. Celui-ci a la réputation d’offrir davantage de confort grâce à un réglage simultané de tous les composants du siège. Le corps reste ainsi en appui total ce qui facilite l’adoption de bonnes postures.

Dans tous les cas, une structure à basculement décentré est à privilégier pour un accompagnement dynamique optimal. Il est aussi conseillé de choisir un modèle proposant un système anti-retour pour plus de douceur lors de la reprise d’une position droite.

Ces technologies fonctionnelles vous permettront d’adopter les meilleures positions de travail possibles. Choisies en accord avec vos besoins, elles diminueront considérablement l’apparition des pathologies chroniques.

Un siège de travail ergonomique, réglable et dynamique

Un fauteuil ergonomique, c’est un siège confortable et design. Mais c’est surtout un siège qui s’adapte à vous et votre façon de travailler. Contrairement à une chaise traditionnelle, il se conforme aux différentes morphologies et prévient ainsi les désagréments liés à de mauvaises postures.

Dans le but d’adopter une attitude de travail idéale, un bon siège de travail se doit d’accompagner le positionnement de votre corps entier. Le dos, les hanches, les jambes, les bras, et même la tête doivent ainsi être pris en charge.  S’il n’est pas créé sur mesure, un « bon siège » est donc 100% modulable.

Un fauteuil de bureau efficace bénéficie d’un dossier avec soutiens lombaires intégrés, primordial pour compenser la cambrure des reins et éviter les problèmes de dos chroniques. La hauteur et la tension de celui-ci doivent être réglables, conformément à la taille et au poids de l’utilisateur pour un meilleur dynamisme. Afin d’apporter suffisamment de soutien aux cuisses et au bassin, il faut que le siège propose une translation d’assise pour ajuster profondeur et surface d’appui. Pour plus de bien-être, une chaise fonctionnelle peut être complétée d’un appui-tête et d’accoudoirs multidimensionnels. Ajustables, ces accessoires ergonomiques luttent efficacement contre les tensions et la fatigue musculaire au niveau des cervicales, des épaules et des bras. Ils permettent de finaliser une position « juste », de récupérer plus rapidement et d’assurer le maintien de parties du corps trop souvent négligées.

Selon vos activités, le siège parfait nécessitera peut-être un piètement avec roulette. Facilitant les petits déplacements au travail, elles permettent d’accéder sans effort aux accessoires de bureau et dossiers importants.

Un siège de bureau innovant proposant de nouvelles façons de travailler

Nous l’avons vu, la position assise prolongée n’est pas adaptée à l’Homme et peut engendrer de nombreux maux. Les employés travaillant toute la journée devant un écran sont ainsi très exposés à toutes sortes de problèmes de santé. Afin de les protéger, d’autres types d’assises ingénieuses sont disponibles. 

Les positions assis-debout ou encore assis-genoux, autorisent une grande liberté de mouvement en variant les différents types de stations. Innovantes, elles rassemblent de nombreux avantages pour la santé : Diminution des pressions sur les membres inférieurs, maintien d’une position neutre de la colonne vertébrale, meilleur approvisionnement en oxygène, amélioration de la circulation sanguine… Ces sièges actifs sont aujourd’hui recommandés par les ergonomes afin de réduire les risques liés à la sédentarité et améliorer la productivité chez les collaborateurs. Assises dynamiques, ils vous donneront l’impression d’être plus toniques et favoriseront ainsi une véritable sensation de bien-être au bureau.

D’autres solutions comme les tabourets ergonomiques type selles ou les sièges ballons sont des alternatives originales aux chaises classiques. Jouant sur l’équilibre, elles entraîneront, renforceront et muscleront différentes parties du corps afin d’adopter une meilleure posture naturelle.


Innovation récente dans le domaine de l’ergonomie au travail, les exosquelettes séduisent de plus en plus d’entreprises. Autrefois vecteurs d’images futuristes d’humanité augmentée, son utilisation se développe aujourd’hui dans l’espace professionnel. De nombreuses sociétés équipent ainsi leurs employés dans le but d’améliorer concrètement leur condition de travail.

Un exosquelette, concrètement c’est quoi ?

Les exosquelettes ne sont plus seulement une sensationnelle représentation de science-fiction ! Ils investissent aujourd’hui de nombreux secteurs afin d’accompagner l’Homme dans son quotidien. Dans le domaine professionnel, ils s’apparentent à une sorte d’armature ou de harnais externe destiné à assister l’usager dans certaines tâches pénibles. Il s’agit d’équipements portables qui ont été imaginés pour soulager l’utilisateur en renforçant ses capacités physiques ou en accompagnant des postures contraignantes. Ils permettent alors d’épauler le corps humain en développant sa force ou sa résistance.

Il existe de nombreuses sortes d’exosquelettes qui répondent tous à une demande spécifique. Ceux-ci ont pour objectif de réduire le stress musculaire dans les zones du corps les plus fréquemment sujettes aux douleurs (région lombaire, épaules, bras, jambes…). Les exosquelettes passifs sont les plus courants dans le secteur du travail. Contrairement à leur cousin « actifs », ils sont entièrement biomécaniques et non motorisés. Ils utilisent donc des mécanismes ingénieux de levier, de ressort ou encore de contrepoids pour soulager l’inconfort et la fatigue de l’utilisateur. Solution abordable, plus légère et polyvalente, ils séduisent par leur grande flexibilité.  

Quels sont les secteurs où les exosquelettes peuvent être envisagés ?

Le marché des exosquelettes bénéficie d’une forte croissance dans de nombreux domaines d’activité. Selon le type  choisi, ils ont en effet l’avantage de pouvoir être employés dans tous les secteurs qui exigent des contraintes physiques. Ils peuvent aussi être envisagés dans le cadre de l’inclusion professionnelle d’employés handicapés.

Les exosquelettes sont par exemple utilisés dans les métiers de l’industrie et de la logistique. Multipliant les situations de manutention et de tâches répétitives, les opérateurs de ces secteurs sont très souvent soumis aux problèmes de dos et à la fatigue chronique. Une assistance passive peut donc réduire leurs efforts et protéger leur santé. Les exosquelettes s’adressent aussi au domaine du BTP et du transport ou les accidents de travail et les risques de TMS ne manquent pas. Ils se retrouvent dans les métiers agricoles ou dans les garages pour assister producteurs et mécaniciens. 

Les exosquelettes ont aussi des emplois moins connus du grand public. Ils peuvent par exemple être utilisés dans les hôpitaux où ils accompagnent soignants et personnel médical. Certains modèles légers sont aussi présents dans des ateliers d’artisanat ou de coupe et couture. Ils peuvent même être adoptés dans des domaines exigeant une posture debout prolongée comme l’hôtellerie ou l’esthétique.

Quels avantages sur la santé et le bien-être des salariés ?

Les exosquelettes ont pour objectif principal de soulager les opérateurs des secteurs réputés pour leur pénibilité.  Pour cela, ils proposent une assistance physique efficace dans les fonctions sollicitant une forte activité musculaire.

Cette aide concrète permet de prévenir l’apparition de maladies professionnelles et TMS. Les exosquelettes offrent alors une réduction des douleurs musculaire ou articulaire sur la partie du corps concernée. En rendant les tâches pénibles plus sûres et efficaces, ils évitent les risques d’accident de travail. Les entreprises ont donc de quoi être séduites ! En proposant un emploi sain et durable à leurs employés, celles-ci augmentent considérablement leurs performances économiques et sociales !

En plus de leurs nombreux bienfaits sur la santé, les exosquelettes assurent une facilité d’utilisation et une grande polyvalence. Légers et intuitifs, ils garantissent à l’usager une grande liberté de mouvement. Ils proposent, en addition, diverses fonctionnalités de réglages permettant de les ajuster parfaitement aux morphologies et aux besoins de chacun. Les exosquelettes passifs s’adapteront ainsi à l’individu qui l’utilise pour lui offrir un travail facilité et sécurisé !

Programmez votre essai en prenant rendez-vous en ligne : https://calendly.com/ergosante/programmer-une-presentation-de-l-exosquelette?month=2023-02

 


Et si vous mettiez votre entreprise au vert ? Synonyme de performances environnementales et d’amélioration de l’image de marque, le mobilier reconditionné fait une apparition remarquée dans l’espace professionnel. Cette tendance d’aménagement écoresponsable fait partie des actions RSE mises en place par les sociétés ou les collectivités pour contribuer aux enjeux du développement durable. Celles-ci misent en effet de plus en plus sur le mobilier anti-gaspille pour répondre aux préoccupations environnementales face à l’urgence climatique.

Récupérés, réutilisés ou upcyclés, les démarches écoresponsables de revalorisation du mobilier professionnel séduisent toujours davantage ! Mais quels en sont réellement les avantages ?

Un concept conciliant enjeux économiques et environnementaux

Encouragées par les objectifs de neutralité carbone ou encore la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC), les firmes de tout secteur s’alignent sur la tendance du reconditionnement. Se procurer des bureaux ou des sièges reconditionnés s’inscrit ainsi adéquatement dans leurs stratégies RSE ou leurs politiques d’achats responsables. 

Écologiques, les sièges d’occasion sont, en effet, davantage respectueux de notre planète que les modèles neufs. S’engageant pleinement dans la voie du réemploi, ils permettent ainsi de réduire les déchets et les émissions carbone liées à la production. Investir dans du mobilier de seconde main assure donc une limitation efficace de son empreinte carbone.  

Ce mobilier revalorisé est aussi économiquement très avantageux. Vendu bien au-dessous des prix du neuf, il est propice à une économie substantielle pour l’entreprise. Celles-ci bénéficient alors d’un coût d’achat inférieur tout en contribuant à la réduction des déchets et à la protection de l’environnement. Les sièges reconditionnés constituent ainsi un choix durable et responsable conciliant les enjeux économiques et environnementaux.

Mobilier reconditionné, gage de performance ?  

Contrairement aux idées reçues, le mobilier d’occasion n’est pas toujours vétuste, dépareillé ou en état délabré. Les meubles collectés et remis en état promettent bel et bien confort et bien-être à leurs utilisateurs. Proposant un choix aussi varié que les catalogues du neuf, les entreprises y trouvent facilement le modèle qui s’harmonisera à l’esprit de leurs locaux.

Sièges, bureaux et accessoires retrouvent ainsi une seconde jeunesse au travers des initiatives en faveur de processus de reconditionnement performants. Le développement de locaux professionnels et d’artisans spécialisés permet d’optimiser l’espérance de vie du mobilier tout en offrant de véritables garanties de performances. Les meubles revalorisés sont entièrement nettoyés et révisés. Certaines pièces peuvent parfois être remplacées afin d’en améliorer l’efficacité et la sécurité.  Les versions recyclées sont alors tout aussi fonctionnelles que les neuves et conservent parfaitement leurs bénéfices pour les utilisateurs.

Les entreprises n’ont donc aucun souci à avoir sur la qualité. Quand il est rénové par des professionnels compétents, le mobilier reconditionné est aussi performant que le neuf ! Quels que soient les besoins des sociétés en termes d’aménagement, elles pourront trouver leur bonheur dans la seconde main. Open space, salle de réception et même télétravail, elles se tournent toutes progressivement vers ce mode de consommation efficace et durable !

Le mobilier de seconde main, une initiative pour booster son attractivité

Les démarches RSE et les initiatives écologiques sont aujourd’hui un véritable enjeu pour l’image de marque d’une entreprise. Elles ont par exemple la possibilité de répondre à des critères environnementaux qui peuvent leur permettre d’instaurer une image marketing plus « verte ». Cette promesse environnementale peut aussi peser dans la balance au moment du choix entre une société ou son concurrent. De plus en plus de grandes firmes font ainsi le choix d’un ameublement issu du réemploi et de l’économie circulaire. Elles affichent de fait leur engagement dans la lutte contre le réchauffement climatique au travers d’une action responsable concrète.


Avec le développement généralisé des open spaces, des millions de salariés cohabitent aujourd’hui dans des espaces de travail partagés. Les bureaux se rejoignent, les cloisons tombent et les séparations sont retirées afin d’inciter à la collaboration professionnelle. Mais dans cet environnement de grande proximité avec ses collaborateurs, bien-être et performance ne sont pas toujours assurés. Conserver une part d’intimité peut s’avérer délicat et engendrer nombre de désagréments. Cette problématique source de déconcentration doit être prise en compte lors du processus d’agencement d’un open space afin qu’il s’avère harmonieux et efficace.

Retrouvez dans cet article, quelques astuces pour vous aménager un poste de travail agréable, en accord avec vos besoins d’espaces personnels.

Trouver l’équilibre entre intimité et collaboration en open space

Depuis les années 70, les environnements de travail partagés ont connu une rapide démocratisation grâce à leurs nombreux avantages. Moderne et convivial, l’open space a su briser les codes des bureaux traditionnels pour apporter un nouveau souffle en entreprise. Il favorise la communication et les échanges entre tous les salariés grâce à sa grande fonctionnalité. Mais ce modèle d’agencement professionnel garantit-il vraiment une optimisation de la qualité de vie au travail ?

En contre partit de ses bénéfices relationnels, on peut voir se développer certains aspects négatifs. La grande promiscuité des postes de travail est par exemple déconcertante pour certains collaborateurs. Les nuisances sonores, les allers venus et la sur exposition aux stimuli visuels peuvent ainsi devenir des facteurs de mal-être au bureau. Ces multiples sources de distractions jouent négativement sur l’implication des travailleurs en impactant fortement leurs santés physique et morale. Ce flagrant manque d’intimité peut donc conduire à un épuisement général et une perte de concentration menant à une baisse de la productivité.

Afin d’accueillir les professionnels dans un environnement sain et de contribuer à leur bonheur et à leur réussite, il faut donc aménager intelligemment l’open space. L’enjeu étant de préserver la synergie de groupe et la convivialité tout en réinstaurant un espace privé. Dans cette optique, l’entreprise vise à instaurer une certaine intimité visuelle, spatiale, informationnelle et acoustique.  Le salarié doit pouvoir revendiquer un espace et le contrôler. Il doit bénéficier d’une certaine protection contre les agressions extérieures, pouvoir tenir une conversation confidentielle et réaliser ses activités sans déranger les autres. Pour cela, il est nécessaire d’investir dans du mobilier ergonomique qui pourra se moduler aux besoins de chacun.

Installer panneaux de séparation pour créer des espaces privés

Des panneaux séparateurs peuvent être utilisés dans le but d’aménager un poste de travail fonctionnel préservant l’intimité du salarié. Ceux-ci re instaurent des espaces intimes, notamment dans des bureaux linéaires. Ces écrans mobiles allient simplicité d’utilisation, design et isolation pour concevoir des délimitations astucieuses entre les collaborateurs. Flexibles, ils s’adaptent facilement à tous types d’environnements et s’installent rapidement pour diviser aussi bien les postes côte à côte que face à face. Ces séparations de bureaux se déclinent en de nombreux modèles et coloris pour satisfaire les envies et exigences de chacun. Aussi esthétiques que pratiques, elles deviennent des éléments déco à part entière apportant fraicheur et originalité aux locaux. Elles sont aussi parfaites comme surface d’affichage pour personnaliser au maximum l’espace de travail. Ludiques, elles permettent de créer un véritable petit cocon à soi pour booster bien-être et productivité.

Les panneaux de séparation assainissent les conditions de travail des collaborateurs. Ils permettent un retour de l’intimité dans les environnements ouverts pour une meilleure concentration. Très efficaces, ils réduisent les nuisances sonores et visuelles en créant une bulle intime qui favorise le développement de la créativité et de la réflexion. Pour encore plus de calme, ces écrans peuvent être complétés d’une isolation phonique. Des plaques isophoniques ainsi que des panneaux acoustiques viendront ainsi achever le bien-être auditif des travailleurs.

Ces accessoires ergonomiques autorisent les salariés à se retrouver seuls sans pour autant renoncer à la convivialité de l’open space. Mobiliers flexibles, ils se modulent au grès des besoins pour plus de partage ou d’isolation. Les salariés profitent ainsi du groupe tout en gardant un espace personnel qu’ils peuvent aménager et décorer selon leurs goûts. Ces écrans proposent donc un environnement de travail sain aux différents degrés d’intimité

Redéfinir les différents espaces de travail avec des cloisons séparatrices modulables

Installer des cloisons séparatrices est une manière simple d’aménager les bureaux de coworking pour plus d’intimité. Celles-ci permettent de délimiter et d’optimiser visuellement l’espace en accord avec les besoins des professionnels. Elle organise intelligemment l’open space de façon à délimiter les différentes zones. Polyvalentes, elles s’intègrent aisément dans n’importe quel intérieur.

Ces parois de séparation sont des accessoires mobiles qui autorisent un aménagement flexible de l’espace de travail. Fixes ou sur roulettes, elles se déplacent en un rien de temps pour combler toutes les attentes des collaborateurs. Elles sont installées pour définir des espaces distincts réservés à des utilisations spécifiques. Ces cloisons modulables balisent ainsi des salles de partages, des zones de détentes ou des bureaux destinés à un corps de métier précis. Elles aménagent un environnement de travail fonctionnel qui sépare certaines activités sans briser la chaleur des lieux.

Dans un souci d’intimité, des cabines acoustiques peuvent être installées en complément. Ce concept innovant met à disposition des isoloirs tout équipés permettant de travailler sans être exposé aux distractions extérieures. Ces salons phoniques sont utilisés seul ou comme salle de réunion pour limiter les nuisances émises ainsi que le bruit ambiant. Authentiques havres de paix, ils offrent aux salariés la possibilité de s’isoler entièrement afin de se focaliser sur ses activités. Ils sont disponibles sous une grande variété de formes afin de s’harmoniser parfaitement au style de l’open space. Box ultra moderne ou alcôve naturelle, ces cabines assureront intimité, calme et concentration à leurs utilisateurs.