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Manufacture des Cévennes : Visite guidée de notre atelier de reconditionnement de sièges usagés
Catégorie : news
Un produit du reconditionnement dans notre atelier
Dans un monde où la consommation de biens de consommation ne cesse d’augmenter, la Manufacture des Cévennes choisit un autre chemin. La société donne une seconde vie à des produits qui seraient autrement jetés, enfouis ou incinérés. Manufacture des Cévennes s’est spécialisée dans le reconditionnement de sièges de bureau, de salle d’attente et de conférence.
Une expertise certaine dans le reconditionnement
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, reconditionner des sièges n’est pas simplement une question de nettoyage. Le processus, technique et complexe, nécessite une expertise pointue pour garantir des sièges comme neufs. L’atelier de reconditionnement de sièges de la Manufacture des Cévennes possède cette expertise. L’entreprise prend soin de chaque siège qu’elle reconditionne pour offrir un produit final qui répondra aux attentes de ses clients.
L’entreprise a créé une vidéo pour donner un aperçu de l’étendue de son savoir-faire et de son engagement en matière de qualité. La vidéo montre l’atelier de reconditionnement de sièges. Elle dévoile aussi les différentes étapes du processus, les tests de qualité et la préparation des sièges pour l’expédition.
Visite guidée de notre atelier, avec les explications de Samuel Corgne, fondateur et PDG du groupe ErgoSanté et de la Manufacture des Cévennes.
Immersion au cœur de notre atelier cévenol
Des sièges reconditionnés durables et moins chers
Manufacture des Cévennes propose une alternative économique et écologique aux sièges neufs. Les sièges reconditionnés sont garantis 1 an. En plus, ils sont proposés à au moins 50% de leur prix neuf HT. L’entreprise produit une large gamme de sièges de différents styles, couleurs et matériaux pour répondre aux besoins de ses clients.
Si vous souhaitez faire le choix de la réutilisation, contactez l’équipe de la Manufacture des Cévennes pour toute collecte ou tout achat au 04 66 24 54 56 ou envoyez un email à contact@ecosiege.fr. Vous pouvez également visiter le site web de l’entreprise, pour en savoir plus sur sa démarche et découvrir sa gamme de sièges reconditionnés.
Opter pour des sièges reconditionnés, c’est donner une seconde vie à des produits qui seraient autrement jetés tout en réalisant des économies. Contactez-nous pour une solution durable et économique pour vos sièges de bureau.
Le groupe ErgoSanté est heureux d’annoncer la sortie de la dernière newsletter de notre Manufacture des Cévennes, spécialisée dans le reconditionnement de sièges de bureau. Cette édition est dédiée à nos offres promotionnelles de sièges reconditionnés. Les fauteuils de seconde main reconditionnés par nos soins apportent style, qualité et confort à tous les espaces de travail.
Nous sommes conscients de l’évolution constante du monde professionnel. Dans ce contexte, il est primordial d’aménager un environnement de travail sain, ergonomique et adapté à tous les besoins. Pour accompagner ce changement, notre Manufacture des Cévennes s’engage à fournir des sièges de bureau reconditionnés de qualité premium, à des prix très compétitifs par rapport aux fauteuils neufs.
Notre newsletter vous tiendra informé de nos offres les plus attractives, de nos réductions exceptionnelles et de nos dernières collections de sièges reconditionnés. Ces fauteuils répondent aux exigences les plus élevées en termes de design, de durabilité et de confort.
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Anduze, le 22 mai 2023 – ErgoSanté, leader européen des exosquelettes passifs, participera une nouvelle fois au salon Préventica Paris du 23 au 25 mai 2023 porte de Versailles – Stand i15. L’occasion pour l’entreprise cévenole reconnue parmi les 9 plus belles PME de France de présenter deux innovations qui modifient l‘usage des exosquelettes passifs : le Hapo Up-front, 1er exosquelette passif 2 en 1 dédié aux membres supérieurs, et le Hapo Sensor, 1er capteur de données d’exosquelettes passifs créé pour fournir une analyse des efforts en temps réel.
Dédié à la protection des membres supérieurs pour les tâches “au-dessus de la tête” (up) ou les tâches “bras en avant” (front, anciennement ms), le Hapo Up-front est le 1er exosquelette passif en son genre. Destiné à réduire significativement les douleurs dorsales ou musculaires, et l’apparition des troubles musculosquelettiques, il s’achète en kit (up-front) ou à l’unité (up ou front). Sa nature adaptative unique lui permet de fournir au choix un soutien en modulant à l’envi sa configuration, sans outil et en moins de 2 min. Il a été développé avec les caractéristiques clés de la gamme Hapo : légèreté, facilité d’utilisation, liberté de mouvement, efficacité, et surtout une conception universelle centrée sur l’utilisateur.
« L’exosquelette Hapo Up-front intègre des matériaux composites exclusifs tels que des tubes de carbone et des lames-ressort isoélastiques. C’est un mélange astucieux entre la technologie maîtrisée de notre premier de gamme, le Shiva Exo, l’expertise technique de nos concepteurs et les retours d’expérience par les travailleurs sur le terrain. C’est une première dans le milieu », précise Samuel Corgne, fondateur et dirigeant d’ErgoSanté.
Données scientifiques : réduit l’activité musculaire de l’épaule jusqu’à 40% sans affecter l’équilibre postural ou causer d’inconfort aux utilisateurs.
Hapo Sensor | le 1er capteur d’exosquelette passif au monde
Le Hapo Sensor est un outil unique au monde piloté sur smartphone qui permet d’évaluer l’intensité et la fréquence des mouvements de flexion d’un utilisateur d’exosquelette passif. Les mesures transmises par le capteur fixé sur le dispositif fournissent des informations objectives avec des preuves scientifiques. Elles aident les utilisateurs, les ergonomes et les services de santé au travail à comprendre les bénéfices apportés par le dispositif d’assistance physique en affichant le taux d’utilisation de l’exosquelette et le poids de charge économisé pendant une activité.
« Bien souvent, les publicités et les discours marketing reflètent tout sauf la réalité. En tant que docteur en biomécanique, j’ai besoin de preuves basées sur la science pour étayer les arguments avancés et faire un choix. Le capteur Hapo Sensor apporte de l’objectivité sur l’utilisation effective des exosquelettes passifs et sur les avantages concrets apportés à leurs utilisateurs », précise Bérenger Le Tellier, responsable scientifique d’ErgoSanté.
Données scientifiques : facile à installer et à utiliser, le Hapo Sensor fournit une analyse en temps réel et un rapport à l’issue sur votre smartphone.
Depuis mars 2022, la démarche de QVT en entreprise devient QVCT ou Qualité de vie et des conditions de Travail. Cette nouvelle appellation change beaucoup de choses.
Les objectifs de la QVT
Tout dirigeant d’entreprise, sain de corps et d’esprit, aime voir ses collaborateurs s’épanouir au travail. Pour cela, ils ont besoin d’un cadre de travail convenable. Un local accueillant où il fait bon vivre ; des collègues sympathiques, toujours prêts à donner un coup de main dans les bons et les mauvais moments ; des responsabilités partagées, permettant à chacun de s’illustrer ; un planning clair et bien équilibré, où les tâches sont bien réparties et laissent de la marge pour les imprévus…
Créer de telles conditions en entreprise demande de l’organisation et d’excellentes capacités managériales. D’où l’importance d’une politique QVT (Qualité de Vie au Travail) bien élaborée et approuvée par l’ensemble du personnel.
Dans l’Accord national interprofessionnel de 2013, la QVT désigne l’ensemble des « actions permettant d’améliorer les conditions de travail des salariés et la performance globale des entreprises ». Pour les entreprises, la QVT était toujours indissociable du « bonheur au travail ». Un plan QVT se focalise ainsi sur des axes prioritaires comme :
— L’environnement de travail
— L’amélioration des relations au travail
— La culture d’entreprise
— La reconnaissance du travail effectué
— L’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle
— La valorisation du salarié
Imprécise, la définition de la QVT trouble plus d’une entreprise. Beaucoup d’entre elles ont oublié, ou du moins, négligé l’objectif même de la QVT : avoir des collaborateurs en bonne santé et qui s’épanouissent physiquement, émotionnellement et psychologiquement dans leur travail. Pour cette raison, le nouvel Accord national interprofessionnel du 9 décembre 2020 change l’acronyme. La QVT devient QVCT – et, depuis ce jour, les choses ont évolué dans le bon sens.
Quels changements depuis le passage à la QVCT ?
Les signataires du nouvel accord justifient ce changement par la nécessité de revoir l’approche traditionnelle de la qualité de vie. Selon eux, cette démarche doit intégrer une vision collective et centrée sur l’amélioration des conditions dans lesquelles les salariés exercent leur travail. Préserver la santé et la sécurité des travailleurs devient ainsi une priorité. Le nouvel accord souhaite aussi encourager la capacité des salariés à agir et à s’exprimer sur le contenu de leur travail.
La démarche QVCT, telle qu’elle a été imaginée par l’ANDRH, peut et doit être amendée continuellement. Chaque organisation professionnelle est concernée. Enfin, la politique QVCT se concentre aussi bien sur les pratiques managériales que sur les trajectoires professionnelles et les relations interpersonnelles. En gros, tous les membres de l’entreprise sont concernés.
Avec ce glissement, la qualité de vie des salariés ne se mesure plus seulement à travers les activités de détente et la convivialité sur le lieu de travail. Les mesures cosmétiques décorrélées du travail, comme les baby-foot, les coins cafés, tables de ping-pong, apéros, sortie karting et les autres activités extra-professionnelles passent ainsi au second plan. La QVCT met l’accent sur les conditions et l’environnement de travail. Le salarié se retrouve au cœur des préoccupations, puisque la QVCT s’intéresse à des enjeux autrement plus percutants :
Les enjeux de santé au travail, qui incluent le bien-être et la prévention des risques physiques et psychosociaux ;
— Les questions juridiques et réglementaires liées à la soutenabilité du travail ;
— Le dialogue social et interne ;
Les enjeux sociétaux autour de l’inclusion, la formation, l’égalité des chances, etc. ;
— L’enjeu du travail
Pour les entreprises, la mise en place d’une politique QVCT revêt un intérêt stratégique. Des salariés en bonne santé et équilibrés se révèlent plus productifs. En ce sens, une démarche QVCT bien pensée booste la compétitivité, la rentabilité et la performance globale de l’entreprise.
Les actions prioritaires d’une politique QVCT
Les mesures prioritaires d’une démarche QVCT englobent la santé, la sécurité et les conditions de travail dans leur globalité.
Les actions pour la Santé et la sécurité
Imaginez que vous dirigez une PME industrielle. Vous produisez des mécaniques de précision pour des constructeurs automobiles ou aéronautiques. Vos équipes subissent au quotidien d’énormes pressions liées aux exigences du métier (concentration permanente, travail en milieu hyperbare, chaleur, outils coupants, etc.). Sans une démarche QVCT adéquate, la fatigue et la lassitude s’installent facilement dans ces conditions.
Pour protéger la santé et la sécurité de vos collaborateurs, votre entreprise se conforme à la loi et investit dans des EPI adéquats. Vous élaborez également un planning dans lequel la charge de travail est bien répartie et calibrée selon les capacités physiques et psychologiques de chaque employé.
Pour éviter les accidents et les maladies professionnelles, vous pourriez investir dans des dispositifs d’assistance physique. Un exosquelette d’ErgoSanté permet, par exemple, de diminuer la pénibilité des travaux de découpe ou de soudure. Cette assistance facilite aussi les autres tâches nécessitant de porter des charges lourdes ou de répéter les mêmes mouvements. En investissant dans la santé et le bien-être de vos salariés, vous diminuez le taux d’absentéisme, les retards et les maladies professionnelles.
Sur le dialogue social et interne
Le climat social au sein de l’entreprise se reflète dans la qualité des relations entre les collègues et avec la hiérarchie. Cet indicateur montre avec plus ou moins de précision la santé sociale et humaine de l’entreprise.
L’instauration d’un climat de confiance entre collègues et avec la hiérarchie repose sur une communication ouverte et franche entre toutes les parties. Les évènements internes, comme les team-building, les journées parents/enfants et autres catalyseurs sociaux du même acabit permettent souvent de resserrer les liens entre les collaborateurs.
Sur les pratiques managériales
L’encadrement joue aussi un rôle central dans une politique QVCT. Aucun salarié n’aime les méthodes de gestion trop rigides, trop fermées et dénuées de tact. Ces pratiques d’un autre âge sont sources de conflits et d’incompréhension.
Dans une politique QVCT, les managers font preuve de bienveillance et d’écoute auprès de leurs équipes. Chaque collaborateur doit se sentir soutenu, reconnu et valorisé dans son travail. Une communication humaine, ouverte et participative se trouve être la clé pour optimiser la qualité du management au cœur d’une entreprise.
Sur les enjeux sociétaux et réglementaires
Pilier majeur de la QVCT, l’égalité professionnelle apparaît comme une source de motivation et de bien-être supplémentaire pour les salariés. Ces derniers se sentent parfois abandonnés ou privés des mêmes chances professionnelles que leurs collègues. Ce sentiment d’inégalités est parfois lié à leur sexe, à leur âge ou à leur statut social.
Afin de réparer ces injustices, l’État exige des entreprises de plus de 50 salariés qu’elles établissent un index d’égalité professionnelle entre hommes et femmes. D’autres obligations, tout aussi contraignantes, portent sur l’emploi des travailleurs en situation de handicap et l’égalité des chances indépendamment de l’origine ethnique ou sociale.
Sur l’enjeu du travail
Un employé s’ennuie facilement s’il ou elle exécute des tâches laborieuses, redondantes ou pas du tout adaptées à ses compétences. La démarche QVCT d’une entreprise doit résoudre et prévenir cette situation, en s’assurant que chaque collaborateur trouve de l’intérêt et du sens dans son travail. Cela demande une concertation entre l’équipe managériale et les employés, l’objectif étant de bien répartir les tâches et de les programmer en fonction des affinités et des compétences de chacun.
En gros, le principal défi consiste à placer la bonne personne à la bonne poste, en lui fournissant les bons outils de travail au bon moment. Si toutes ces conditions sont réunies, le collaborateur a tous les ingrédients en main pour exceller dans son travail.
La QVCT selon ErgoSanté
ErgoSanté adhère totalement aux valeurs et principes de la QVCT. Notre activité elle-même est dédiée à l’aménagement d’un cadre de travail sain, sécuritaire et agréable pour tous les salariés. Nos sièges ergonomiques aident les entreprises à lutter efficacement contre les troubles musculo-squelettiques (TMS) et les maladies à caractère professionnelles résultant d’une mauvaise posture.
Nous développons également des exosquelettes passifs, une filière où nous sommes numéro un en France. Nos derniers modèles HAPO UP et HAPO Front sont le fruit de trois années de R&D et de retours d’expérience de nos précédents équipements.
ErgoSanté soutient aussi l’égalité des chances et promeut les valeurs d’inclusion. Notre atelier cévenol est la seule Entreprise Adaptée en France œuvrant dans la fabrication de sièges ergonomiques et d’exosquelettes passifs.
Dans un rapport publié le 18 avril dernier, Santé publique France s’inquiète de l’augmentation des signalements de maladies à caractère professionnel entre 2012 et 2018. L’institut déplore aussi le manque de sensibilisation des employeurs et des employés par rapport aux MCP et aux troubles musculo-squelettiques (TMS).
Une analyse posturale en temps réel, par l’outil LEA d’ErgoSanté
Plus de signalements chez les femmes, les ouvriers et les personnes âgées
Première information de l’étude de Santé publique France : le taux de signalements des maladies à caractère professionnel augmente presque continuellement. De 4,9, % en 2017, il atteint 7,1 % chez les hommes en 2018. Chez les femmes, le taux de signalements s’élève à 11,4 % en 2018, contre 6,2 % en 2007.
En terme d’âge, le taux de signalement chez les femmes progresse jusqu’à 45-54 ans, avant de diminuer à partir de 55 ans. Chez les hommes, la courbe continue de monter au fur et à mesure que l’âge avance.
Par secteurs d’activités, l’industrie et la construction sont les plus représentées dans les signalements de MCP chez les hommes. Chez les femmes, les activités d’entreposage et de transports font le plus souffrir.
Les TMS sont sur-représentés dans les MCP
L’autre information clé concerne la surreprésentation des troubles musculo-squelettiques dans les MCP. Les TMS représentent près de la moitié des signalements chez les hommes. La souffrance psychique arrive en seconde position, avec un tiers des déclarations. Les allergies, irritations et troubles de l’audition représentent chacune moins de 5 % des pathologies signalées.
Chez les femmes, 40 % des signalements sont liés à des troubles musculo-squelettiques. 52 % sont liés à la souffrance psychique. Les troubles psychiques touchent particulièrement les femmes de 35 à 44 ans et les hommes de 45 à 54 ans. Par ailleurs, Santé publique France note un écart significatif du taux de signalement des TMS, en fonction du rang social des travailleurs.
En effet, les ouvriers sont particulièrement affectés par ces pathologies, alors que les cadres semblent épargnés. Cependant, les médecins à l’origine de l’étude relativisent ce résultat, susceptible d’être faussé par une possible sous-déclaration des troubles psychiques chez les ouvriers.
Sur les origines des TMS, les auteurs pensent que plus de 80 % des signalements proviennent de facteurs biomécaniques :
— Travail avec force
— Mauvaise posture
— Mouvements répétitifs
La souffrance psychique, quant à elle, est le résultat de facteurs organisationnels, relationnels et éthiques (FORE) à 99 %. La moitié de ces FORE relèvent de l’organisation fonctionnelle du travail.
L’étude précise enfin que 75 % des TMS relevant d’une Maladie professionnelle (MP) n’ont pas été déclarés comme une maladie professionnelle. Cette sous-déclaration s’explique par la méconnaissance de la procédure de signalement par le salarié et par l’insuffisance d’un bilan diagnostique.
Les leçons du rapport de Santé publique France
Le système de surveillance des MCP de Santé publique France permet de quantifier, avec plus ou moins de précision, les maladies à caractère professionnel et les maladies professionnelles au sein des entreprises.
L’étude améliore aussi la compréhension et l’identification des situations à risque en matière de MCP. La forte prévalence des troubles psychiques et des MCP chez les plus de 45 ans souligne, par exemple, la nécessité d’intégrer le facteur âge dans la répartition des postes et des tâches en entreprise.
À propos des TMS, une meilleure connaissance des facteurs biomécaniques problématiques aide les entreprises à prendre les bonnes décisions en matière de QVCT. Certains employeurs pourraient, par exemple, renforcer la protection des collaborateurs contre les effets néfastes d’une posture pénible, des gestes répétitifs et du port de charges lourdes.
L’innovation au service de la prévention des TMS
Des solutions concrètes existent. Les exosquelettes passifs développés par ErgoSanté en font partie. Nos harnais de posture soutiennent les travailleurs manuels dans les tâches pénibles, comme :
les travaux en hauteur,
le port de charges lourdes,
les mouvements répétitifs
le maintien prolongé des bras en avant ou en haut.
Légers, non encombrants et ajustables à toutes les tailles, les exosquelettes HAPO conviennent à tous les métiers manuels. Des peintres, viticulteurs, soignants, paysagistes, ostréiculteurs et ouvriers du BTP ont déjà adopté cette solution.
À propos du programme de surveillance des MCP
Le programme de surveillance des MCP de Santé publique France voit le jour en 2004. Les Observatoires régionaux de santé et l’Inspéction médicale du travail participent aussi à ce dispositif. Il s’intéresse à toutes les pathologies pouvant être liées à une activité professionnelle, sans être reconnues comme étant une maladie professionnelle par la Sécurité sociale. Les actions de veille du programme reposent sur les observations de médecins du travail volontaires lors des Quinzaine MCP.
En 2018, 1014 médecins du travail ont participé à au moins une Quinzaine MCP. La même année, le programme de surveillance des MCP a étudié plus de 40 000 cas de salariés ayant signalé une ou plusieurs maladies à caractère professionnel. Le mécanisme de surveillance couvre 7 régions métropolitaines et 2 départements d’Outre-mer.
Santé publique France prévoit d’étendre le dispositif sur tout le territoire métropolitain et Outre-mer. Elle compte sur le soutien des éditeurs de logiciel pour atteindre cet objectif. Ces derniers sont chargés de développer des outils informatiques pour faciliter et sécuriser les échanges entre les professionnels de santé qui ont accès aux DMST* et DMP**.
*DMST : Dossier Médical en Santé du Travail
**DMP : Dossier Médical Partagé
Qu’est-ce qu’un salon Préventica ?
Depuis près de 25 ans, Préventica organise des rendez-vous dans plusieurs villes de France. On y parle monde du travail et prévention des risques et on y expose les solutions ergonomiques les plus novatrices. Espace de rencontre et d’inspiration pour les acteurs de la santé et sécurité au travail, ce salon porte un objectif commun : L’amélioration continue des conditions de travail dans tous les secteurs professionnels !
Événement majeur dans le domaine de la qualité de vie au travail, le salon Préventica sera de retour du 23 au 25 mai. Il accueillera cette année plus de 540 exposants à Paris Expo, Porte de Versailles. L’occasion pour les participants d’échanger sur l’actualité et les dernières innovations de la profession.
Où retrouver ErgoSanté ?
ErgoSanté a une fois de plus répondu présent à ce rendez-vous incontournable. Retrouvez-nous au pôle « aménagement des espaces de travail » au Stand I15 pour échanger avec nos conseillers ergonomes ! Venez découvrir notre gamme de solutions innovantes et profiter de conseils en aménagement de poste !
Concepteur, fabricant français et distributeur de matériel ergonomique, nous avons pour objectif la santé et le bien-être de tous les travailleurs. Entreprise Adaptée, nous avons aussi pour mission de maintenir dans l’emploi les travailleurs handicapés. Nous profiterons ainsi de la plateforme Préventica pour transmettre ces valeurs et mettre en avant nos dernières avancées technologiques.
À l’occasion de ce salon parisien, découvrez ainsi nos sièges ergonomiquesmanufacture des Cévennes et venez tester nos nouveautés exosquelettes! Nous présenterons notre nouveau modèle le HAPO UP et son kit le HAPO UP FRONT. Ces dispositifs à la pointe de l’innovation sont destinés à soulager les douleurs et à éviter les TMS pour préserver votre santé au quotidien. Essayer aussi notre tout récent HAPO SENSOR. Celui-ci évalue concrètement l’impact de l’exosquelette sur l’utilisateur permettant ainsi une analyse précise de ses bienfaits. On vous prévient… les essayer c’est les adopter !
Quel que soit votre secteur d’activité, ErgoSanté peut vous accompagner dans vos démarches d’amélioration de la qualité de vie et de prévention des risques au travail.
Des questions ? Notre équipe sera là pour vous répondre !
La liste des utilisateurs des exosquelettes HAPO s’allonge. ErgoSanté est fier d’annoncer la vente d’une douzaine d’exosquelettes HAPO à Staci, gestionnaire de plateformes logistiques en France et dans toute l’Europe.
Après un test en deux phases sur un an, l’opérateur de plateformes logistiques STACI officialise la commande d’une douzaine d’exosquelettes fabriqués par ErgoSanté. Ces équipements seront opérationnels à partir du 5 mai. À terme, Staci France devrait obtenir 18 exosquelettes HAPO au total. Ces dispositifs accompagneront en priorité les collaborateurs les plus exposés aux contraintes biomécaniques et aux travaux de port de charges lourdes.
Un essai concluant pour nos exosquelettes
Le choix des exosquelettes HAPO par Staci fait suite aux retours positifs des salariés après la phase de test. Les données collectées lors de ces essais dépassent les attentes :
— Les dispositifs d’aide à la posture d’ErgoSanté diminuent significativement la sensation de fatigue à la fin d’une journée de travail.
— La présence de l’exosquelette HAPO, très léger, est à peine perceptible par les opérateurs. Les mouvements des bras, des jambes et de la hanche restent ainsi naturels.
Les testeurs de Staci remarquent aussi que le HAPO empêche les opérateurs de trop se pencher vers l’avant, en maintenant efficacement les lombaires et le haut du corps. Par cette action, l’exosquelette passif réduit la sollicitation de la colonne vertébrale. Il limite aussi les inclinaisons et les flexions du tronc. Les signalements de maux de dos ont régressé de manière significative durant la période du test.
Les opérateurs ont apprécié le fonctionnement des ressorts, installés de chaque côté du corps. Ces mécanismes corrigent la posture en temps réel : ils redirigent l’effort à fournir par le fléchissement des jambes. Les ressorts – et l’exosquelette HAPO– protègent ainsi les manutentionnaires et magasiniers contre les faux mouvements. À la longue, les opérateurs s’habituent au dispositif et adoptent naturellement les bonnes pratiques pour préserver leur santé au quotidien.
Un géant de la logistique valide les exosquelettes HAPO ErgoSanté
ErgoSanté est fier d’aider les grandes compagnies dans leurs efforts pour améliorer la Qualité de Vie et les Conditions de travail de leurs collaborateurs. STACI Group opère en effet dans un secteur où la pénibilité du travail mérite l’attention des employeurs.
Des exosquelettes innovants au service de manutentionnaires
« Spécialiste de la logistique multi-canal », Staci gère 31 hubs logistiques et 250 points de stockage de proximité en France. Sa clientèle regroupe les acteurs du e-commerce, les services publics, les sociétés touristiques, les entreprises de la santé et de la télécom, des compagnies énergétiques et les banques et assurances, entre autres. Le chiffre d’affaires de Staci France avoisine 113 millions d’euros en 2021. Les revenus du groupe à l’international devraient atteindre 800 millions d’euros cette année.
Différentes études attestent aujourd’hui de l’impact néfaste du bruit ambiant sur notre confort et notre productivité. Pourtant les nuisances sonores au bureau sont encore une problématique quotidienne pour des millions de personnes. Fatigue auditive, acouphènes, sifflements, hypertension, cette dégradation de notre environnement de travail entraine des effets nocifs pour notre santé. Ce tumulte professionnel vient parallèlement détériorer notre bien-être mental avec de fortes répercussions psychologiques et émotionnelles. Des pathologies telles que le stress chronique, les insomnies ou encore la perte de concentration se développent chez les collaborateurs. Afin de converser un espace sain, de communication et de collaboration, il est donc nécessaire d’aménager intelligemment ses locaux.
Adoptez de séparateurs de bureau pour réduire le bruit en open-space
Par nature totalement ouvert, l’open space se doit d’être judicieusement séparé en espaces adaptés aux besoins du personnel. Sans parler de gros travaux, un bon aménagement suffira à réduire considérablement la propagation du bruit pour un meilleur confort sonore.
La grande proximité des postes de travail peut avoir une incidence négative sur la concentration et troubler la confidentialité. Heureusement des solutions simples et ergonomiques vous permettent de créer des délimitations astucieuses entre vous et vos collègues. Par exemple, les écrans de séparation combinent simplicité de fixation, design et isolation phonique. Ces panneaux mobiles et légers s’adaptent à tous les environnements et s’installent rapidement sur votre bureau pour diminuer le niveau sonore. Ils se déclinent en de nombreux modèles, variant en formes et en coloris pour satisfaire tous les besoins. Twistez leur esthétique selon vos envies et apportez fraicheur et modernité à vos locaux.
Dans la même idée, les cloisons séparatrices sont d’excellents outils pour aménager l’environnement de travail de façon simple et modulable. Elles déterminent visuellement les différentes zones d’une pièce, y apportant silence et harmonie. Très performantes, elles absorbent les nuisances sonores et réduisent le bruit ambiant. Optimisant l’acoustique des lieux, elles sont aussi parfaites pour agrémenter votre décoration. Du simple écran à l’élégant paravent, fixe ou avec des roulettes, ces barrières antibruit se retrouvent sous toutes les formes.
Ces délimitations assainissent les conditions de travail, diminuant ainsi les conséquences négatives du bruit sur notre santé et notre concentration. Terminé le brouhaha permanent, chaque collaborateur pourra maintenant utiliser convenablement les différents espaces de l’open space.
Les cabines acoustiques pour parfaire le confort auditif
Pour parfaire cette séparation, les cabines ou huttes acoustiques proposent des espaces avec un confort auditif maximal. Ce concept unique et innovant met à disposition des aires de réunion ou de travail privatif qui absorbent le bruit ambiant et limitent celui émis sur l’extérieur. Très fonctionnels et toutes équipés, ces salons phoniques permettent une concentration et une confidentialité optimale. Authentiques havres de paix, ils donnent la possibilité à chacun de s’isoler totalement ou de discuter à plusieurs au sein même de l’open space, dans le respect de tous. Box ultra moderne ou alcôve conviviale, vous trouverez forcément votre bonheur parmi un large choix proposé.
Améliorez l’isolation phonique des bureau avec du mobilier acoustique
L’isolation phonique des surfaces de votre local est une des meilleures solutions pour combattre les nuisances bruyantes. Ici, l’objectif est d’éviter les bruits extérieurs, mais aussi leur amplification et leur propagation à l’intérieur des locaux. Grâce à du mobilier adapté, il parfaitement possible de corriger et de maitriser votre environnement sonore.
Les panneaux acoustiques composés de mousse absorbante et de tissu viendront atténuer la réverbération et l’écho d’une pièce pour assurer le bien-être auditif de ses occupants. Leur implantation dans l’espace professionnel doit être étudiée pour maximiser leurs actions sans modifier les installations existantes. De fait, ces plaques isophoniques sont à placer sur les murs et au plafond dans le but de réduire la propagation des ondes sonores. Réel accessoire décoratif, ils s’intégreront sans effort dans l’aménagement de l’open space. Ludiques, actuels et colorés ils y apporteront même une ambiance détendue et conviviale.
Le mobilier de bureau a aussi son rôle à jouer dans l’atténuation des nuisances. Il peut par exemple servir efficacement de support à un isolant acoustique. Dos d’armoires, fauteuils de direction ou encore bureaux réglables peuvent rapidement accueillir des revêtements insonorisant. Très facilement installables, ce sont des solutions pratiques pour bénéficier des bienfaits des panneaux acoustiques à prix abordables.
Les meubles ergonomiques participent aussi au retour du calme dans votre bureau. Grâce à leurs fonctionnalités de réglages utiles et silencieuses, ils sont pensés pour nuire un minimum à la concentration de vos collègues. Ainsi certains claviers associés à une technologie astucieuse réduisent considérablement les bruits lors de la saisie pour en amoindrir les perturbations. Toujours plus novateurs, des meubles phoniques font leur apparition sur le marché. Équipés des mêmes matériaux insonorisant et absorbants que les panneaux, ils permettent de réduire la diffusion du bruit sans investir dans du mobilier complémentaire.
Choisir des protections auditives individuelles pour booster sa concentration
Les protections collectives sont indispensables pour réduire le bruit ambiant au bureau, mais peuvent parfois se révéler insuffisantes. Plus personnelles, d’autres solutions existent pour prévenir les gênes et les détériorations de l’audition.
Les protections PICB (Protection individuelle contre le bruit) atténuent visiblement les effets nuisibles du bruit grâce à leurs propriétés d’abaissement du niveau sonore. Elles doivent être choisies en fonction de l’environnement de travail et être certifiés CE selon la norme EN352-2 pour protéger efficacement des pollutions acoustiques. En open space ces solutions accessibles peuvent prendre la forme de casques ou de bouchons d’oreilles. Ceux-ci créent rapidement des petites bulles de tranquillité qui boost productivité et concentration. Ces équipements de protection individuelle (EPI) incitent à une sorte de calme intérieur et sont idéals pour vous créer des petits moments de répit durant une longue journée de travail.
D’autres accessoires tels que les casques audio, écouteurs ou micros avec technologie anti-bruit font leur apparition sur nos postes de travail. Au même titre que les PICB, ils permettent de s’isoler pour mieux focaliser son attention, mais ont pour avantage d’avoir d’autres possibilités d’utilisations. Ils peuvent par exemple faciliter les conversations en rendant les appels téléphoniques parfaitement intelligibles même avec le tumulte extérieur. La quasi-totalité des modèles vous permettra aussi d’écouter de la musique. Stimulant la sécrétion d’endorphines, les mélodies vous apaiseront diminuant le stress et favorisant la concentration. Selon vos besoins personnels, elles pourront aussi motiver, stimuler la créativité et jouer un rôle bénéfique dans la mémorisation et l’intégration d’informations.
Dans son dernier rapport du 18 avril dernier, Santé publique France note que les signalements de maladies à caractère professionnel ont augmenté de 11,4 % entre 2012 et 2018.
Voici quelques informations clés de l’étude :
— 80 % des TMS proviennent de facteurs biomécaniques
— Le poignet (38 %), l’épaule (30 %) et le coude (22 %) sont les plus touchés par les TMS
— Les TMS représentent 50 % des signalements chez les hommes et 40 % chez les femmes
Les chiffres du programme de surveillance des MCP ne sont pas vraiment une nouveauté. Ce rapport démontre en tout cas l’utilité des équipements développés par ErgoSanté. Nos exosquelettes aident à diminuer les contraintes sur le corps des travailleurs et limiter ainsi le risque de TMS.
Le développement de nos exosquelettes HAPO procède d’une démarche scientifique appuyée par les retours d’utilisateurs et les observations d’experts ergonomes.
Les résultats sont probants. Nos exosquelettes passifs supportent actuellement des employés de différents corps de métiers : ouvriers du BTP, personnels médicaux, manutentionnaires et vignerons, entre autres.
Notre message est simple. Ne restez plus spectateur devant le fléau des maladies à caractère professionnel, surtout des TMS. Investissez dans un exosquelette d’ErgoSanté ou dans tout autre équipement bénéfique pour le bien-être et la santé de vos collaborateurs !
Le Conseil constitutionnel a validé l’essentiel du projet de réforme des retraites ce vendredi 14 avril, à l’exception de six dispositions que les « Sages » considèrent comme des « cavaliers sociaux ». La décision des membres de la rue de Montpensier concerne aussi un autre sujet important du texte : l’amélioration de la prise en compte de la pénibilité. Ce sujet intéresse particulièrement ErgoSanté.
Les chiffres ne parlent pas du tout en faveur du Compte professionnel prévention. Depuis 2015, 2 millions de C2P ont été ouverts par les entreprises. Pourtant, seuls 12 000 salariés l’ont utilisé, dont 10 000 travailleurs qui ont fait valoir leurs droits pour obtenir une retraite anticipée. Ces résultats décevants motiveraient en partie les changements annoncés par le gouvernement. Les améliorations portent sur :
— le déplafonnement des points
— la création d’un droit à la reconversion
— la retraite à 62 ans pour les salariés les plus exposés à l’usure professionnelle
Déplafonnement des points du compte pénibilité
Aujourd’hui, l’exposition à six facteurs de pénibilité ouvre droit à des points sur le C2P. Ces facteurs sont :
le travail répétitif
le travail de nuit
le travail en équipes successives alternantes
les températures extrêmes
le bruit
le travail en milieu hyperbare
Dans les faits, un salarié ajoute des points sur son C2P lorsqu’il ou elle est exposé(e) à l’un de ces facteurs au cours d’un trimestre. La règle se veut simple :
son compte de pénibilité est crédité d’un point par trimestre s’il s’expose à un seul facteur
il ou elle reçoit deux points par trimestre en cas d’exposition à deux ou plusieurs facteurs de risque
Un employé peut donc acquérir 4 points de pénibilité par an en cas d’exposition à un facteur sur tous les trimestres et jusqu’à 8 points en cas de polyexposition. Le compte pénibilité d’un salarié ne peut contenir plus de 100 points durant toute sa carrière. Le projet de réforme validé par le Conseil constitutionnel supprime ce plafond.
Assouplissement des critères d’éligibilité
Dans l’actuel système, les points sont crédités sur le compte du salarié à partir d’un seuil d’exposition sur un ou plusieurs facteurs de risque. Cette valeur s’élève à 120 nuits par an, pour le travail de nuit et à 50 nuits par an pour le travail en équipes successives. Le gouvernement envisage d’abaisser ces seuils, afin d’élargir l’accès au C2P à plus de salariés. Cette disposition cible en particulier les métiers où le sentiment d’insoutenabilité du travail est très fort.
Ajout d’une modalité d’utilisation au compte pénibilité
Le C2P permet actuellement de :
avancer l’âge de départ à la retraite en validant des trimestres de majoration de durée d’assurance vieillesse
obtenir un complément de rémunération dans le cas d’une réduction de la durée de travail en lien avec l’exposition aux facteurs de risque de pénibilité
financer une formation professionnelle en vue d’une reconversion dans un métier moins pénible
La réforme introduit une quatrième utilisation du compte. D’après le texte validé par le Conseil constitutionnel, elle prendrait la forme d’un « congé de reconversion professionnelle ». Avec ses droits C2P, un salarié pourra financer une formation longue et qualifiante pour changer de métier. Après la réforme, 60 points de C2P donnent droits à une formation de 30 000 euros.
Le projet inclut aussi l’augmentation de la valeur des points obtenus sur le C2P. Chaque point sur le compte pourrait financer 500 euros de formation, contre 375 euros aujourd’hui.
Une retraite à 62 ans pour les plus exposés
Le projet de loi maintient la possibilité de partir à la retraite à 62 ans, pour les salariés les plus exposés aux facteurs de risque de pénibilité. En revanche, le gouvernement devra préciser les modalités de ce régime spécial : l’article sur la visite médicale de « fin de carrière » a été censuré.
Cette mesure concerne les salariés exposés à de multiples risques de pénibilité. Dans le texte, les personnes qui échouent à cette visite auraient pu demander une retraite anticipée dès 62 ans et percevoir quand même une pension au taux plein. Les « Sages » estiment que cette disposition est contraire à la Constitution.
La réduction de la pénibilité selon ErgoSanté
ErgoSanté soutient toute initiative concrète visant à améliorer concrètement les conditions de travail des salariés qui exercent un métier pénible. Notre entreprise est d’ailleurs l’un des principaux acteurs du marché des équipements professionnels ergonomiques. Nous sommes le premier fabricant français d’exosquelettes passifs destinés aux travailleurs.
Une solution technologique à la pénibilité du travail
Notre objectif reste inchangé, avec ou sans la réforme du C2P : imaginer, concevoir et développer des dispositifs qui aident à limiter l’apparition de troubles musculo-squelettiques liés à la pénibilité d’un travail. Nos solutions prêtent assistance aux travailleurs de bureau et aux professions manuelles. Pour ces dernières, nous proposons une gamme d’exosquelettes passifs, qui soulagent la nuque, les bras et le dos, en plus de compenser les infirmités.
Ces « dispositifs d’assistance physique » — comme Samuel Corgne, PDG d’ErgoSanté, préfère les appeler — accompagnent actuellement des professionnels de différents secteurs d’activité. Des producteurs laitiers, chirurgiens, manutentionnaires dans les usines et centres logistiques et des ouvriers d’abattoirs bénéficient de l’assistance fournie par les exosquelettes ErgoSanté.
D’après les statistiques de l’Assurance Maladie, les troubles musculosquelettiques (TMS) représentent 87% des maladies professionnelles. Ceux-ci proviennent de diverses contraintes physiques exercées sur le corps et se développent dans tous les secteurs d’activités.
Solution innovante, les exosquelettes attirent toujours plus d’entreprises désireuses de protéger la santé de leurs salariés et leurs performances. Ces dispositifs d’assistance passifs luttent efficacement contre l’apparition des douleurs et soulagent l’utilisateur dans de nombreuses tâches contraignantes. Polyvalents, ils peuvent être envisagés dans le cadre d’un projet de prévention de TMS ou encore d’inclusion professionnelle de collaborateurs en situation de handicap.
Séduit par les exosquelettes d’ErgoSanté ? Différents types d’aides peuvent accompagner votre entreprise dans le financement de ce type de matériel !
Les subventions de l’Assurance Maladie et de ses caisses régionales
TMS Action
Afin d’améliorer les conditions de travail des salariés, l’Assurance Maladie propose aux PME de moins de 50 salariés diverses subventions préventions. Ces aides aux financements apportent un soutien aux employeurs désireux de s’engager dans une démarche de prévention des risques professionnels.
L’une d’elles appelée « TMS Action » vise à encourager la mise en place de mesures préventives visant à réduire les risques d’exposition aux TMS.
« TMS action est destinée au financement de l’achat et de l’installation de nouveaux matériels et équipements, visant à réduire les contraintes physiques en particulier lors de manutentions manuelles de charges, d’efforts répétitifs ou de postures contraignantes. »
Suite à la réalisation d’un diagnostic ergonomique et d’un plan d’action, celle-ci peut donc vous accompagner dans votre achat d’exosquelette !
Les entreprises de plus de 200 salariés peuvent quant à elles signer un contrat de prévention avec leur caisse régionale (Carsat, Cramif ou CGSS). Établi par secteur d’activité dans le cadre de la convention nationale d’objectifs, celui-ci vous engage à mettre en place une stratégie destinée à l’amélioration de la prévention des risques.
Ce contrat peut ainsi vous permettre de toucher une aide financière versée par votre caisse afin de mettre en place votre plan d’action.
Les aides au financement d’exosquelettes dans le secteur agricole
La MSA, régime de protection sociale des salariés agricoles, propose des aides financières aux TPE affiliées. L’AFSA a ainsi pour objectif d’analyser les besoins des ouvriers agricoles et d’y répondre le plus justement possible. Elle vise à apporter un appui technique et un soutien financier aux petites exploitations qui souhaitent améliorer leur sécurité et condition de travail.
Nos exosquelettes HAPO pourront par exemple être pris en charge à 50% jusqu’à 3000€ !
Les soutiens financiers dans le cadre de maintien ou de retour à l’emploi de salariés en situation de handicap
L’AGEFIPH a pour mission de favoriser l’insertion professionnelle et le développement de l’emploi des personnes handicapées. Pour cela, cet organisme offre divers services et aides financières aux entreprises ou à la personne concernée.
Elle propose par exemple une « aide technique à la compensation du handicap » ainsi qu’une « aide à l’adaptation des situations de travail ». Ces appuis financiers sont accordés dans le but de financer des équipements efficaces et adaptés évitant la désinsertion professionnelle des personnes en situation de handicap. L’AGEFIPH peut alors vous accompagner dans l’achat d’un exosquelette favorisant l’autonomie professionnelle dans un montant maximum de 5 250€ !
Le fonds d’intervention pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP) peut aussi financer des projets de maintien dans l’emploi comprenant des exosquelettes.
Pour les salariés travaillant au sein de grandes entreprises, vous pouvez vous rapprocher de votre « mission handicap ». Elle doit être la garante de la politique de maintien dans l’emploi des personnes handicapées et peut ainsi financer un exosquelette en vue d’un aménagement de poste.
Le Covid-19 a changé la façon dont les entreprises, les collectivités et les particuliers considèrent leur environnement de travail. Des bureaux et sièges reconditionnés plus confortables, des horaires flexibles ainsi que les enjeux écologiques et sociaux sonnent désormais comme une évidence pour nombre de travailleurs.
Soucieux du portefeuille des entreprises et répondant à leurs critères RSE, EcoSiège n’a pas attendu ces mutations pour développer une offre de mobilier professionnel écoresponsable. Comment ? La réponse se trouve dans les mobiliers recyclés, upcyclés et reconditionnés dans notre atelier à Anduze, dans les Cévennes.
Du mobilier à prix raisonnable pour tous
L’ameublement d’un bureau ou d’un espace de travail à domicile demande un budget conséquent. Un fauteuil ergonomique neuf coûte 200 euros pour un modèle basique et jusqu’à 1500 euros ou plus pour une version de pointe. Maintenant, imaginez une entreprise qui doit remplacer une centaine de fauteuils à court ou à moyen terme : la facture risque de s’envoler rapidement.
La filière recyclage du groupe ErgoSanté résout justement ce problème. EcoSiège récupère les sièges vétustes et inutilisés par les grandes entreprises, les PME, les collectivités et les particuliers dans toute la France. Dans notre manufacture, ces mobiliers anciens s’offrent une seconde jeunesse sous les mains expertes de nos artisans. Ils sont évalués, nettoyés, réparés puis reconditionnés, avant de retrouver un état proche du neuf.
La démarche d’EcoSiège repose avant tout sur une logique financière. Les fauteuils rénovés dans nos locaux reviennent jusqu’à au moins 50 % moins cher qu’un siège neuf.
Des sièges reconditionnés à prix raisonnable
Des sièges compatibles avec les démarches RSE des entreprises
La loi Pacte et le Code civil réformé en 2019 exigent des entreprises qu’elles intègrent une dimension RSE dans la gestion de leurs activités. Cette obligation concerne les ETI, TPE, les PME et les sociétés cotées en Bourse. Les plus grandes compagnies doivent en plus effectuer un reporting ESG.
Ce document informe le public et les autorités sur les impacts sociaux et environnementaux de leurs activités. Pour ces acteurs, chaque action ayant une dimension RSE mérite d’être mise en avant, afin de prouver leur engagement en faveur de l’environnement, du bien-être des salariés et de l’emploi local entre autres.
L’achat de sièges reconditionnés par EcoSiège remplit justement tous ces critères. Nos fauteuils reconditionnés laissent une empreinte carbone nettement inférieure par rapport aux sièges neufs. La différence peut monter jusqu’à -42 kg de CO2 en fonction du mobilier et de ses composants. Plusieurs facteurs expliquent le faible coût carbone de nos produits :
– Une production basée sur des fauteuils usagés
Notre manufacture à Anduze utilise peu de matières provenant de la filière extraction, réputée très polluante. Notre production s’appuie essentiellement sur des sièges hors d’usage de toutes les marques, collectés par Valdelia et d’autres organismes partenaires.
– Un circuit de production local
La France produit chaque année environ 130 000 tonnes de déchets provenant de mobilier professionnel. EcoSiège puise dans cette réserve « locale » et quasi infinie pour produire des sièges de bureau reconditionnés qui conservent leurs qualités initiales.
– Un modèle conforme à la loi anti-gaspillage
Malgré l’entrée en vigueur de la loi AGEC dans plusieurs secteurs d’activité, le taux de recyclage des mobiliers professionnels usagés peine à dépasser 16 %. Notre modèle, basé sur le recyclage, l’upcycling et le reconditionnement de sièges ergonomiques, aide les entreprises à se conformer dès maintenant à leurs obligations vis-à-vis de la loi anti-gaspillage.
Des sièges respectueux des valeurs d’inclusion
ErgoSanté s’est toujours soucié des besoins des salariés et travailleurs en situation de handicap. Le groupe a conservé cette approche lors de la création d’EcoSiège. Notre entreprise opère le premier et le seul atelier de reconditionnement de sièges reconnu Entreprise Adaptée en France.
Plus de 55 % des salariés de notre manufacture à Anduze sont en situation de handicap. Pour cette raison, nos fauteuils remis à neuf conviennent surtout aux TPE/PME et aux entreprises qui souhaitent valoriser leur démarche environnementale et d’inclusion.
Aucune concession sur la qualité, le confort et la fiabilité
Les fauteuils ergonomiques recyclés par EcoSiège retrouvent leurs qualités d’origine. Ces sièges d’occasion offrent un niveau de confort et de sécurité comparable, sinon meilleur que les modèles neufs.
Certains modèles bénéficient même d’une mise à niveau salutaire pour nos clients. En effet, des sièges dépourvus d’appui-tête ou d’accoudoirs 4D peuvent se doter de ces nouvelles fonctions dans notre atelier. Signe de notre engagement qualité : nous offrons une garantie d’un an pour tous les sièges reconditionnés par nos soins, indépendamment de la marque.
L’édition 2023 du salon WearRAcon 2023 s’est tenue les 30 et 31 mars derniers à La Nouvelle-Orléans, en Louisiane. Cette année, les fabricants d’équipements de robotique ont fait la part belle aux start-ups et entreprises spécialisées dans les matériels ergonomiques innovants. ErgoSanté a profité de cette tribune pour dévoiler deux nouveautés – le HAPO Sensoret le HAPO Up-front — et officialiser l’ouverture prochaine d’un site de production en Caroline du Nord.
Une nouvelle usine de production à Wilmington à partir de juin 2023
Le rêve américain d’ErgoSanté n’est pas un mystère. Samuel Corgne, dirigeant et fondateur, a toujours affiché ses ambitions et l’ouverture d’une manufacture aux États-Unis est l’un de ses objectifs prioritaires. Nos produits s’exportent au pays de l’Oncle Sam depuis 2021, d’abord au sein du réseau Worksmart Innovations, puis avec l’aide de NUVO, notre actuel distributeur exclusif en Amérique du Nord. L’ouverture d’un site de production sur le sol américain fait partie d’un mouvement d’internationalisation orchestrée depuis deux ans.
L’usine en question sera implantée à Wilmington, en Caroline du Nord. Elle sera pleinement opérationnelle à partir de juin 2023. Toutefois, ErgoSanté produit déjà des pièces d’exosquelettes « Made in US » dans l’atelier en question. Nos équipes utilisent l’impression 3D, en collaboration avec la branche R&D HAPOLAB. Les premiers exosquelettes fabriqués à 100 % aux États-Unis sortiront de l’usine de Wilmington à partir de juin.
Nos clients américains pourront alors commander et se faire livrer des équipements ergonomiques « Made in US », confectionnés par des techniciens locaux. Cette organisation est conforme à notre stratégie globale, qui privilégie la production locale et la proximité avec les utilisateurs. ErgoSanté mise beaucoup sur le développement du marché des exosquelettes passifs aux États-Unis. Selon les prévisions de Transparency Market Research, ce filon devrait représenter un chiffre d’affaires de « 745,6 millions de dollars au cours des 10 prochaines années », assure Samuel Corgne dans les colonnes du journal Les Échos.
La présence d’ErgoSanté en Amérique devrait aussi aider les entreprises et travailleurs à mieux prévenir et traiter les troubles musculo-squelettiques liés au travail. Le coût direct des TMS sur l’économie américaine s’élèverait à 50 milliards de dollars par an. Les blessures liés aux TMS génèrent jusqu’à 225 milliards de dollars de manque à gagner sur la productivité.
Le marché des exosquelettes à visée médicale et/ou ergonomique grossit continuellement. Dans le monde, hors États-Unis, les ventes progressent de 20 % chaque année. Ce secteur d’avenir attire logiquement plusieurs acteurs, tous déterminés à s’approprier une part du gâteau. Seulement, à trop vouloir faire du chiffre d’affaires, des fabricants tombent dans le piège du sensationnalisme et des arguments de vente dénués de toute logique scientifique.
ErgoSanté ne souhaite pas faire la même erreur et préfère équiper ses clients d’un système qui leur permet de suivre, mesurer et évaluer les données d’utilisation des exosquelettes. Ce nouveau dispositif a été présenté au salon WearRAcon23 sous le nom HAPO Sensor. L’équipement en question embarque plusieurs capteurs qui calculent la fréquence et l’intensité d’utilisation d’un exosquelette.
HAPO Sensor mesure ainsi l’assistance fournie par le harnais de posture. Les données objectives collectées par les capteurs sont synthétisées, puis compilées dans un rapport d’analyse accessible sur un smartphone. Ces statistiques en temps réel montrent aux utilisateurs l’effet d’atténuation de l’exosquelette d’ErgoSanté, exprimé en kilogramme ou en pourcentage. Bérenger Le Tellier, notre responsable scientifique, est catégorique sur ce point. Ces données « basées sur la science » seront indispensables pour établir l’efficacité de nos exosquelettes en condition réelle.
Après des mois de développement, ErgoSanté a pu dévoiler le nouvel exosquelette HAPO Up-Front lors du WearRAcon 2023. Comme son nom l’indique, ce modèle a été imaginé essentiellement pour soutenir les membres supérieurs lors de travaux en hauteur. Cet exosquelette passif se décline en réalité en deux versions, en fonction de l’utilisation souhaitée.
HAPO UP
La variante HAPO UP promet une assistance permanente pour les mouvements des bras au-dessus de la tête. Version améliorée de notre ancien modèle Shiva, le HAPO Up est constitué d’une ceinture lombaire renforcée par des bras en lame composite, dont la structure s’inspire des alvéoles d’abeilles. Cet exosquelette fournit un soutien infaillible jusqu’à 180° à l’horizontale et entre 60 et 180° en hauteur. Le système, passif et réglable, réduit la contrainte de l’épaule jusqu’à -40% pour les travaux qui exigent le maintien des bras au-dessus de la tête. La diminution de contrainte atteint -28 % pour les mouvements de charges légères.
HAPO FRONT
De son côté, le HAPO Front repose sur un système de harnachements, composé d’une ceinture lombaire et de sangles à fixer sur les bras. Ces deux éléments sont reliés entre eux par deux ressorts en composite, à la fois résistants et intuitifs. Le HAPO Front soulage les coudes, les épaules et les membres supérieurs lors des travaux qui nécessitent de maintenir une posture « bras en avant » de manière répétitive ou durant plusieurs minutes. Ce harnais de posture ne limite pas les mouvements des bras, qui peuvent bouger jusqu’à 135° en hauteur et 180° à l’horizontale.
Les modules « UP » et « FRONT » de cet exosquelette sont interchangeables. Autrement dit, vous pouvez commander individuellement le HAPO UP ou le HAPO FRONT, et avoir quand même la possibilité de compléter ultérieurement votre exosquelette avec le module manquant. Le passage du modèle FRONT au UP – ou vice-versa – se fait en quelques minutes, sans l’aide d’aucun outil.
The French leader in passive exoskeletons is opening a new factory in the United States
French company ErgoSanté will have a new manufacturing location in Wilmington, North Carolina in 2023. This strategic investment proves the company’s commitment to the US market, which is projected to represent 50% of its turnover by 2028. WearRAcon 23 will provide an opportunity to present their two latest innovations: the HAPO UP-FRONT, the first 2-1 passive exoskeleton for the upper limbs and the HAPO SENSOR, the first passive exoskeleton’s data sensor created to provide real-time effort analysis.
New factory in Wilmington (NC)
For over 10 years, the ErgoSanté Group has designed, manufactured, and distributed innovative and custom ergonomic solutions in France for health and well-being in the workplace. Its physical assistance devices, leaders in the French market for passive exoskeletons, are recognized worldwide. They equip companies like Louis Vuitton, Sanofi, Airbus, Mars incorporated, and Ford with exoskeletons, and orders keep pouring in, resulting in a growth rate of over 200%. Its postural analysis tool “LEA”, based on artificial intelligence, is made available for free on Google Play and the Apple Store. The Group continues to strengthen its international presence through its 19 local partners, including NUVO, the ErgoSanté’s exclusive distributor dedicated to the American market. In June 2023, ErgoSanté plans to open a new manufacturing location by assembling its first passive exoskeletons “Made in US” in Wilmington, North Carolina. During WearRAcon 23 in New Orleans, the largest North American conference dedicated to Wearable technologies such as exoskeletons, ErgoSanté will symbolically begin the production of its first parts using 3D printing technology.
Hapo Up-Front the first 2-in-1 passive exoskeleton
The Hapo Up-Front is not simply another new exoskeleton designed to assist workers with arms raised above their heads. The device’s uniquely adaptable nature allows it to provide support for both “overhead” tasks, as well as “arms in front” tasks. What makes the Hapo Up-Front so special is its universal approach, which is tailored to both the task at hand and the workers themselves. In less than 2 minutes, it can be easily transformed from the “Front configuration” to the “Up configuration” without requiring any tools. The Hapo Up-Front is the first of its kind, and has been developed with the same key traits as those of the existing HAPO exoskeleton range: ease of use, efficiency, lightweight, and, most importantly, a design centered around humans, around workers.
“I am particularly proud of the Hapo Up-Front. Beyond its specification and its efficiency, the Hapo Up-Front integrates exclusive composite materials such as carbon tubes and isoelastic spring blades. It is a clever mix between the mastered technology of the Shiva Exo, the technical expertise of the design team and the feedback from workers in the field.”Samuel Corgne, CEO of ErgoSanté
Scientific data: reduces shoulder muscular activity by up to 40% without impacting postural balance or causing discomfort to users.
Hapo Sensor the world’s first passive exoskeleton sensor
This tool, which can be used from your smartphone, allows you to evaluate the intensity and frequency of the user’s bending. These measurements provide with objectives feedbacks with scientific evidence. These measurements help users to understand the benefits provided by the exoskeleton by measuring the relieved weight during an activity, in both weight and percentage terms.
“Most of the time, the commercials and marketing pitches we hear or read are everything but reality. What credibility is there without any science-based evidence? As a doctor in Biomechanics, I need data, I need proof to support what has been said. To do so, the Hapo Sensor has been developed to give objectivity on both the effective use of passive exoskeletons and the benefit for workers.”
Bérenger Le Tellier, Scientific Manager of ErgoSanté
Features: Easy plug in and use; shows intensity and frequency of the user’s bending; provides real-time analysis; shows objective data via analysis reports.
Le leader des exosquelettes passifs en France implante une nouvelle usine aux États-Unis
À l’occasion du lancement du WearRAcon 23 aux États-Unis, la société française ErgoSanté annonce la création d’une nouvelle usine de production à Wilmington, en Caroline du Nord, en juin 2023. Cet investissement stratégique prouve l’engagement de l’entreprise sur le marché américain, qui devrait représenter 50% de son chiffre d’affaires d’ici 2028. L’occasion également pour ErgoSanté de présenter ses deux dernières innovations : le HAPO UP-FRONT, le premier exosquelette passif 2 en 1 dédié aux membres supérieurs, et le HAPO SENSOR, le premier capteur de données d’exosquelettes passifs créé pour fournir une analyse des efforts en temps réel.
Nouvelle Usine en Caroline du Nord
En juin 2023, ErgoSanté prévoit d’ouvrir un nouveau site de production en assemblant ses premiers exosquelettes passifs “Made in US” à Wilmington, en Caroline du Nord. Lors de la WearRAcon 23 à la Nouvelle-Orléans, la plus grande conférence nord-américaine dédiée aux technologies et aux exosquelettes, ErgoSanté débutera symboliquement la production de ses premières pièces en utilisant la technologie d’impression 3D. Le Groupe ErgoSanté poursuit sa présence internationale grâce à ses 19 partenaires locaux, dont NUVO, le distributeur exclusif d’ErgoSanté dédié au marché américain.
Depuis plus de 10 ans, le Groupe ErgoSanté conçoit, fabrique et distribue en France des solutions ergonomiques innovantes et sur mesure pour la santé et le bien-être au travail. Ses dispositifs d’assistance physique, leaders sur le marché français des exosquelettes passifs, sont reconnus dans le monde entier. Ils équipent des entreprises telles que Louis Vuitton, Sanofi, Airbus, Mars incorporated et Ford avec des exosquelettes, et les commandes continuent d’affluer, profitant d’une croissance de plus de 200%. Le Groupe capitalise 22.7 millions d’euros de chiffre d’affaires sous enseigne (2022), une croissance de 57% (2022) et prévoit une levée de fonds pour 2023 de plusieurs millions d’euros. Son outil d’analyse posturale “LEA”, basé sur l’intelligence artificielle, est mis à disposition gratuitement du public sur Google Play et l’Apple Store.
Le coût total direct des troubles musculo-squelettiques liés au travail (TMS) est estimé à 50 milliards de dollars par an aux États-Unis. Les coûts indirects liés aux pertes de productivité dues aux blessures s’élèvent à plus de 225 milliards de dollars par an. Le marché des exosquelettes passifs aux États-Unis devrait atteindre 745,6 millions de dollars dans les dix prochaines années, la demande mondiale devant augmenter de plus de 20 % d’ici 2032, selon Transparency Market Research. Des chiffres tout aussi éloquent en France.
Hapo Up-front le 1er exosquelette passif 2 en 1
Le Hapo Up-front n’est pas simplement un nouvel exosquelette conçu pour aider les travailleurs à maintenir les bras levés au-dessus de leur tête. La nature adaptative unique de cet appareil lui permet de fournir un soutien à la fois pour les tâches “au-dessus de la tête” et pour les tâches “les bras en avant”. Ce qui rend le Hapo Up-front si spécial, c’est son approche universelle, adaptée à la fois à la tâche à accomplir et aux travailleurs eux-mêmes. En moins de 2 minutes, il peut être facilement transformé de la “configuration avant” à la “configuration haute” sans nécessiter aucun outil. Le Hapo Up-front est le premier du genre et a été développé avec les mêmes caractéristiques clés que ceux de la gamme d’exosquelettes HAPO existante : facilité d’utilisation, efficacité, légèreté et, surtout, une conception centrée sur l’humain, sur les travailleurs.
“Je suis particulièrement fier du Hapo Up-front. Au-delà de ses caractéristiques techniques et de son efficacité, le Hapo Up-front intègre des matériaux composites exclusifs tels que des tubes de carbone et des lames à ressort isoélastiques. C’est un mélange astucieux entre la technologie maîtrisée du Shiva Exo, l’expertise technique de l’équipe de conception et les retours d’expérience des travailleurs sur le terrain.” Samuel Corgne, fondateur et dirigeant
Données scientifiques : réduit l’activité musculaire de l’épaule jusqu’à 40% sans affecter l’équilibre postural ou causer d’inconfort aux utilisateurs.
Hapo Sensor le 1er capteur exosquelette passif au monde
Cet outil, qui peut être utilisé depuis votre smartphone, permet d’évaluer l’intensité et la fréquence des mouvements de flexion de l’utilisateur. Ces mesures fournissent des retours objectifs avec des preuves scientifiques. Elles aident les utilisateurs à comprendre les avantages fournis par l’exosquelette en mesurant le poids soulagé pendant une activité, en termes de poids et de pourcentage.
“La plupart du temps, les publicités et les discours marketing que nous entendons ou lisons sont tout sauf la réalité. Quelle crédibilité y a-t-il sans preuve basée sur la science ? En tant que docteur en biomécanique, j’ai besoin de données, de preuves pour étayer ce qui a été dit. Pour ce faire, le capteur Hapo a été développé pour donner de l’objectivité à la fois sur l’utilisation effective des exosquelettes passifs et sur les avantages pour les travailleurs.” Bérenger Le Tellier, responsable scientifique
Caractéristiques : facile à brancher et à utiliser ; montre l’intensité et la fréquence de la flexion de l’utilisateur ; fournit une analyse en temps réel ; affiche des données objectives via des rapports d’analyse.
Baisse de productivité, fatigue oculaire, migraines chroniques, tous ces maux peuvent être causés par un mauvais éclairage de votre poste de travail. Afin de combattre ces pathologies sérieuses, l’espace professionnel se doit de proposer un aménagement lumineux ergonomique, sain et sécurisé pour les collaborateurs. Synonyme de bien-être, une bonne luminosité influence la réalisation de nos activités, nos performances ainsi que notre motivation. Celle-ci est donc essentielle à un travail serein et efficace et ne doit donc pas être négligée.
Régies ou non par les directives du Code du travail, les environnements professionnels tels que l’Open Space ou le Home Office restent très vulnérables aux problèmes de luminosité. Il est donc nécessaire de s’informer sur les différentes recommandations afin d’imaginer une ambiance lumineuse propice à la concentration et à la bonne humeur, respectueuse de votre santé.
Diversifiez les sources d’éclairages pour préserver votre santé
Avant toute installation il convient de définir les caractéristiques techniques de votre milieu ainsi que vos besoins précis en termes d’éclairage. En effet chaque activité requiert une luminosité différente comme le précise l’article R4223 du Code du travail « Leniveau d’éclairement doit être adapté à la nature et à la précision des travaux à exécuter». Il existe cependant des conseils universels applicables pour l’ensemble des corps de métier.
La diversification des sources de lumière est par exemple une préconisation aujourd’hui vivement encouragée. L’éclairage doit ainsi être assez intense pour prévenir les troubles visuels tout en évitant la sur exposition. Pour les tâches de bureau, l’intensité lumineuse ergonomique recommandée oscille généralement autour des 500 Lux.
Pour commencer, veillez à créer une base lumineuse uniforme. L’utilisation d’un plafonnier ou d’une suspension assurera la diffusion d’une lumière ambiante d’une intensité constante. Cette source principale installera une atmosphère générale apaisante, favorisant le travail et diminuant les douleurs oculaires. Elle vous protègera des fluctuations incertaines de la lumière du jour et limitera les contrastes trop élevés dus à l’usage d’autres sources plus puissantes. Pour plus de douceur, évitez les néons ou les spots, lumière directe trop agressive.
En vue de réduire les zones d’ombres engendrées par l’éclairage d’ensemble, il vous faut maintenant ajouter des lampes du bureau. Plus précis, cesluminaires d’appoints assureront une luminosité suffisante tout en restant respectueux de vos yeux. Ils peuvent être installés par pair afin de jouer sur les illuminations directes et indirectes. Les liseuses, les lampes mobiles ou encore les lampadaires à pied seront des solutions tout à fait adaptées à cette consommation.
Dans certains cas, l’agencement des lieux est tel qu’il vous sera nécessaire d’investir dans du matériel complémentaire pour éviter reflets et éblouissements. Il faudra donc se tourner vers des revêtements non réfléchissants ainsi que vers des cloisons mobiles destinées à occulter les sources lumineuses permanentes dérangeantes.
Privilégiez les solutions d’éclairages réglables pour un meilleur confort visuel
Après la quantité, il faut à présent penser à la qualité de votre éclairage. Pour travailler dans les meilleures conditions possibles, dirigez-vous vers un équipement lumineux fiable et compétent.
Un des points clés de la finalisation de votre installation ergonomique sera la possibilité de personnalisation de vos accessoires. Il vous faudra par exemple, une lampe caméléon capable de s’adapter à toutes vos exigences spécifiques (ex : droitier ou gaucher). Pour davantage de confort et d’efficacité, une source lumineuse réglable est donc à privilégier. Simple d’utilisation, celle-ci possède des fonctionnalités saines et pratiques, particulièrement appréciables en espace professionnel.
Vous pouvez ainsi opter pour une lampe de bureau à tête inclinable ou un luminaire à bras articulé. Ceux-ci orientent le faisceau lumineux précisément là où vous en avez besoin, assurant un éclairage parfaitement individualisable de votre poste de travail. Certains modèles proposent même des ajustements encore plus spécifiques. Il est par exemple désormais possible de moduler la température d’éclairage de votre lampe. Très pratique, cela vous permettra d’adapter la luminosité en prenant en compte l’heure de la journée, la météo et même vos préférences sensorielles. La couleur de cette lumière se rapprochera idéalement de celle de l’éclairage naturel et sera donc comprise entre 2500 et 4000 Kelvin. Grâce à ses lampes innovantes, augmentez significativement votre confort visuel, votre concentration et de fait, votre productivité.
Pour les postes de travail mobiles ou aux contraintes d’espaces, des solutions astucieuses existent. Les guirlandes, lampes à clipser et autres luminaires à batterie sont des accessoires flexibles et efficaces. Ils seront vous illuminer correctement tout en restant facilement transportables.
Optez pour des éclairages peu énergivores
Au cours de votre processus d’aménagement lumineux, il vous faudra choisir une ampoule correspondant à vos attentes et à vos moyens. Incandescence halogène ou basse consommation, vous avez l’embarras du choix.
Au vu du contexte actuel, il est indispensable de choisir une lampe peu énergivore, bienveillante envers notre planète mais aussi envers votre portefeuille. Au bureau, 15 watts suffiront amplement pour garantir une luminosité suffisante. Pour votre sécurité visuelle et par souci d’efficacité énergétique, privilégier donc les lampes basse consommation ainsi que les lampes à LED (de lumière blanche). Hautement résistantes, elles vous illumineront pour de très longues heures. Si vous nécessitez une lumière plus puissante, tournez-vous vers les ampoules halogènes, moins écologiques mais dégageant un éclairage plus intense.
Attention à la luminosité de vos écrans !
Pour finaliser parfaitement votre environnement lumineux, vous devez à présent vous soucier des méfaits engendrés par vos écrans. En effet, la lumière bleue émise par ceux-ci accélère les dégradations visuelles, la fatigue chronique et développe significativement les insomnies. Pour combattre ces impacts néfastes sur la santé, il faut impérativement protéger vos yeux.
Pour cela, des solutions très simples existent : Ajoutez une source de lumière additionnelle sur votre bureau et occultez les fenêtres pour éviter les reflets. Baissez la luminosité et le contraste de vos écrans pour préserver votre vision. En vous procurant un bras porte PC, installez-vous à une distance raisonnable de votre ordinateur et adoptez ainsi une posture de travail plus saine. Enfin, en complément de toutes ces astuces, vous pouvez investir dans une paire de lunettes de protection. Celles-ci proposent un traitement spécial, filtre de lumière bleue et antireflet pour une sécurité optimale.
Vous exercez votre activité en télétravail ou au sein d’un open space ? Découvrez ici trois astuces pour compléter votre installation ergonomique et pr&otéger vos yeux au bureau !
Que l’on utilise un ordinateur, une tablette ou un projecteur, les écrans sont aujourd’hui au cœur de notre quotidien professionnel. Cette sur exposition n’est pas sans conséquences pour notre santé visuelle ! Picotements, tremblements, paupières lourdes ou encore vision brouillée sont les premiers signes d’une fatigue oculaire. Celle-ci, si elle n’est pas prise au sérieux, peut entrainer l’apparition de migraines chroniques ou de troubles visuels tels que la myopie. Il est donc important de préserver ses yeux, quel que soit son environnement de travail. Adoptez facilement quelques petits réflexes très simples qui vous assureront bien être et productivité !
1. Questionner son installation et son positionnement
Vous ne l’aviez sans doute pas vu venir, mais une posture adaptée est essentielle pour garder vos yeux en bonne santé. Trop proches de l’écran ou recroquevillées en avant, ses positions ont des impacts très néfastes sur notre santé visuelle. Intégrées discrètement au fil de nos journées de travail, celles-ci engendrent une vision totalement déséquilibrée. Une posture de travail bien droite soulagera ainsi efficacement à la fois vos maux de dos et vos problèmes oculaires.
Pour prendre place de manière correcte, il vous faudra d’abord régler votre siège ergonomique en vue d’une assise confortable. Une fois cette manipulation réalisée, il vous faut à présent ajuster moniteurs et porte-documents. Pour cela de nombreux accessoires sont à votre disposition. Utilisez par exemple des bras porte-écrans ou des supports PC pour vous installer à une distance raisonnable de votre ordinateur. Ces ingénieux ajouts au poste de travail accompagneront le corps vers l’obtention de postures saines. Fonctionnels, ceux-ci autorisent de nombreux réglages pour positionner votre regard de façon optimal. Cette position évitera une trop forte sollicitation de vos yeux, prévenant ainsi maux de tête et fatigue visuelle.
L’emplacement de votre bureau peut aussi avoir des conséquences sur votre confort oculaire. Si possible, votre écran doit être placé perpendiculairement à une fenêtre équipée de rideaux. Vous bénéficierez ainsi d’une lumière naturelle directe en évitant les reflets gênants. Une bonne visibilité réduira considérablement les risques pour vos yeux. Fuyez donc le plus possible les postes de travail tournant le dos aux ouvertures.
2. Bénéficier d’un éclairage ergonomique suffisant et adapté
Pour protéger vos yeux, il est très important d’assurer un aménagement lumineux ergonomique de votre environnement professionnel. À la maison comme en open space, un bon éclairage vous aidera à combattre les troubles de la vision au travail. Celui-ci sera source de bien-être et influencera votre santé et vos performances.
La clé d’une bonne luminosité est la diversification des éclairages. En prenant en compte l’apport en lumière naturelle, il vous faudra choisir un apport artificiel varié. Adoptez dans un premier temps une source principale qui diffusera une lumière d’ambiance. Votre plafonnier doit être suffisamment efficace pour illuminer sans éblouir. Afin de réduire les contrastes et les zones d’ombres, il vous faut maintenant ajouter des luminaires d’appoint. Liseuses, lampadaires à pied ou classiques lampes de bureau seront ainsi incontournables pour compléter votre confort visuel. Préférer les éclairages réglables qui pourront s’adapter rapidement à tous vos besoins. Ces compositions lumineuses proposeront ainsi un environnement de travail sain et relaxant pour votre vision.
3. S’équiper en matériel pour protéger ses yeux de la lumière bleue.
Vous n’êtes pas sans savoir que vos écrans émettent de la lumière bleue pouvant se révéler nocive pour vos yeux. Une omniprésence de cette source lumineuse augmentera les risques de pathologies oculaires graves telles que les cataractes ou les lésions rétiniennes. Heureusement, il existe plusieurs astuces pour réduire les effets néfastes de la lumière bleue.
Tout d’abord, vous pouvez régler votre ordinateur de façon à limiter votre exposition. Ajustez la luminosité en fonction de votre environnement et de l’heure de la journée. Très pratique, vous pouvez aussi activer les modes « night shift » ou « filtre anti lumière bleue » sur vos appareils. Ceux-ci réchaufferont la luminosité émise par vos écrans pour vous protéger des dangers ophtalmologiques liés à leur utilisation.
Pour achever parfaitement la protection de vos yeux au bureau, misez sur des lunettes anti lumière bleue. Celles-ci bloqueront le reflet de la lumière bleu-violet du spectre lumineux en l’empêchant de pénétrer votre œil. Elles offriront ainsi une sécurité supplémentaire à votre travail sur PC. Ces lunettes de protection limiteront efficacement la fatigue visuelle et les risques de vieillissement prématuré de vos yeux. Accessibles à tous et ultras simples d’utilisation, elles sont l’accessoire ergonomique idéal pour préserver vos yeux au bureau !
Une station assis-debout à la maison
Vous avez sans doute aperçu ces bureaux assis-debout sur TikTok ou dans un magazine. Cet aménagement est-il un simple effet de mode ou apporte de réels bénéfices ? En vrai, le travail assis-debout offre plus d’avantages que d’inconvénients, surtout sur en termes d’ergonomie et de santé.
Un personnel en meilleure santé grâce au travail assis-debout
Rester assis trop longtemps est mauvais pour la santé : c’est un fait prouvé par la science ! Des travaux récents montrent même que les pathologies liées à la sédentarité représentent un problème de santé majeur pour les entreprises.
Dans une étude réalisée entre 2016 et 2017, des chercheurs britanniques estiment que la position assise prolongée a coûté au Royaume-Uni un peu plus de 823 millions de livres sterling en dépenses de soins et arrêts de travail. Pire, cette « mauvaise habitude » serait indirectement responsable de la mort de 50 000 personnes au Royaume-Uni chaque année. Comment ?
La réponse se trouve dans la façon dont le corps réagit lorsque vous restez inactif pendant de longues heures. En l’absence de mouvement, le sang circule moins bien. Ce phénomène diminue automatiquement l’oxygénation du corps, surtout des organes vitaux. En plus du flux sanguin, la sédentarité affecte également la solidité de l’os. Sans les compressions générées par le mouvement, l’os se dégrade et perd en densité.
Les chercheurs ont aussi relié la position assise prolongée à d’autres pathologies, dont des troubles digestifs, des maladies cardiovasculaires, des douleurs lombaires et la sarcopénie ou la perte de masse musculaire. Plus inquiétant encore, le travail assis prolongé augmente le risque de mort prématurée. Ce risque est 37 % plus élevé pour les femmes qui restent assises pendant au moins 6 heures par jour, et 17 % plus élevé pour les hommes.
Toutes ces statistiques montrent à quel point il est important d’alterner la posture de travail au quotidien. Pour garder un minimum de mobilité et de tonus musculaire, les médecins et ergonomes recommandent de ne pas passer au-delà de 4 heures par jour en position assise. Ceux et celles qui exercent un métier sédentaire par essence doivent au moins se lever et faire des micro-exercices toutes les 2 heures.
L’idéal serait d’investir dans un bureau assis-debout. Cette station de travailflexible permet en effet de passer rapidement d’une position assise à une position debout ou assis-debout. Avec un bureau à hauteur réglable, l’employé peut ajuster à tout moment sa posture en cas de fatigue ou d’inconfort musculaire.
Une station assis-debout pour gagner en productivité
Le travail assis-debout améliore également la productivité. Le gain en efficacité varie de 10 à 30 %, d’après les recherches. Ce point ne se discute même pas. Un salarié bien confortable sur son bureau, épargné par les douleurs musculaires, se sent mieux dans son corps et dans son esprit. Ce sentiment de bien-être lui donne plus de motivation et le pousse à être plus efficace, physiquement et mentalement.
La particularité du travail assis-debout réside dans sa personnalisation. Les aménagements les plus performants proposent des mécanismes qui prennent en compte toutes les morphologies. Ces possibilités d’ajustement concernent à la fois le siège ergonomique et le bureau.
Le fauteuil d’une station assis-debout propose au moins trois réglages de hauteur. L’inclinaison de l’assise, du dossier et des accoudoirs peut aussi épouser la posture souhaitée par l’utilisateur. Le plateau se cale également sur la position de travail de l’employé. Besoin d’une surface de travail plus agréable et plus flexible ? L’angle peut être paramétré pour soulager la tension sur les coudes, les bras et les épaules.
Pour les réunions, les visioconférences et les appels, il est possible de soulever le plateau et le porter à la hauteur de l’écran, pour une position entièrement debout. Cette tenue permet une plus grande liberté de mouvement et aiguise la créativité. Cela aide à prendre des décisions plus rapidement et plus intelligemment.
Les aménagements indispensables à un travail assis-debout
Connaissant les bienfaits de la position assis-debout au travail, la question n’est plus de savoir pourquoi l’adopter, mais plutôt de « comment » l’intégrer dans votre organisation. Bien sûr, le bien-être et la santé des employés demandent un minimum d’investissements. Pour le travail assis-debout, ces coûts portent sur l’aménagement d’un bureau ergonomique, flexible et adapté à différents profils d’utilisateurs. Ces dépenses sont largement compensées par le gain en productivité.
ErgoSanté offre plusieurs solutions de bureaux assis-debout aux entreprises souhaitant améliorer le bien-être et la santé de leurs employés. La station L-E-Vate, par exemple, s’installe facilement sur un bureau existant. Cette plateforme se pose simplement sur un mobilier de bureau et peut accueillir jusqu’à deux moniteurs grâce à son plateau aussi large que profond. La hauteur du plateau se règle manuellement, son élévation pouvant atteindre 50 cm. Le support clavier et souris, démontable, suit également le mouvement de la plateforme.
Côté siège, la gamme assis-debout d’ErgoSanté compte plusieurs modèles, pensés pour s’intégrer dans n’importe quelle configuration de travail. Ces tabourets semi-sitting existent en version avec ou sans dossier, mais toujours avec un piètement à hauteur réglable. La personnalisation étant la clé d’un travail assis-debout optimal, il est crucial de concevoir l’aménagement d’un bureau assis-debout en tenant compte des propres besoins de son entreprise.