En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de Cookies ou autres traceurs pour vous réaliser des statistiques de visites. En savoir plus

Accepter

Manufacture des Cévennes : Visite guidée de notre atelier de reconditionnement de sièges usagés

Un produit du reconditionnement dans notre atelier

Dans un monde où la consommation de biens de consommation ne cesse d’augmenter, la Manufacture des Cévennes choisit un autre chemin. La société donne une seconde vie à des produits qui seraient autrement jetés, enfouis ou incinérés. Manufacture des Cévennes s’est spécialisée dans le reconditionnement de sièges de bureau, de salle d’attente et de conférence.

Une expertise certaine dans le reconditionnement

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, reconditionner des sièges n’est pas simplement une question de nettoyage. Le processus, technique et complexe, nécessite une expertise pointue pour garantir des sièges comme neufs. L’atelier de reconditionnement de sièges de la Manufacture des Cévennes possède cette expertise. L’entreprise prend soin de chaque siège qu’elle reconditionne pour offrir un produit final qui répondra aux attentes de ses clients.

L’entreprise a créé une vidéo pour donner un aperçu de l’étendue de son savoir-faire et de son engagement en matière de qualité. La vidéo montre l’atelier de reconditionnement de sièges. Elle dévoile aussi les différentes étapes du processus, les tests de qualité et la préparation des sièges pour l’expédition.

Visite guidée de notre atelier, avec les explications de Samuel Corgne, fondateur et PDG du groupe ErgoSanté et de la Manufacture des Cévennes.

Immersion au cœur de notre atelier cévenol

Des sièges reconditionnés durables et moins chers

Manufacture des Cévennes propose une alternative économique et écologique aux sièges neufs. Les sièges reconditionnés sont garantis 1 an. En plus, ils sont proposés à au moins 50% de leur prix neuf HT. L’entreprise produit une large gamme de sièges de différents styles, couleurs et matériaux pour répondre aux besoins de ses clients.

Si vous souhaitez faire le choix de la réutilisation, contactez l’équipe de la Manufacture des Cévennes pour toute collecte ou tout achat au 04 66 24 54 56 ou envoyez un email à contact@ecosiege.fr. Vous pouvez également visiter le site web de l’entreprise, pour en savoir plus sur sa démarche et découvrir sa gamme de sièges reconditionnés.

Opter pour des sièges reconditionnés, c’est donner une seconde vie à des produits qui seraient autrement jetés tout en réalisant des économies. Contactez-nous pour une solution durable et économique pour vos sièges de bureau.


Le groupe ErgoSanté est heureux d’annoncer la sortie de la dernière newsletter de notre Manufacture des Cévennes, spécialisée dans le reconditionnement de sièges de bureau. Cette édition est dédiée à nos offres promotionnelles de sièges reconditionnés. Les fauteuils de seconde main reconditionnés par nos soins apportent style, qualité et confort à tous les espaces de travail.

Nous sommes conscients de l’évolution constante du monde professionnel. Dans ce contexte, il est primordial d’aménager un environnement de travail sain, ergonomique et adapté à tous les besoins. Pour accompagner ce changement, notre Manufacture des Cévennes s’engage à fournir des sièges de bureau reconditionnés de qualité premium, à des prix très compétitifs par rapport aux fauteuils neufs.

Notre newsletter vous tiendra informé de nos offres les plus attractives, de nos réductions exceptionnelles et de nos dernières collections de sièges reconditionnés. Ces fauteuils répondent aux exigences les plus élevées en termes de design, de durabilité et de confort.

Inscrivez-vous dès maintenant à notre newsletter pour obtenir un accès exclusif à nos offres promotionnelles. Ne manquez pas nos bonnes affaires sur des sièges reconditionnés Manufacture des Cévennes et des fauteuils d’autres grandes marques.

Rendez-vous sur notre site pour vous inscrire à la newsletter. Allez en bas de la page d’accueil et renseignez votre adresse e-mail dans l’espace destiné à cet effet. Cochez la case en dessous si vous souhaitez recevoir toutes les offres et nouveautés de la Manufacture des Cévennes.


Depuis mars 2022, la démarche de QVT en entreprise devient QVCT ou Qualité de vie et des conditions de Travail. Cette nouvelle appellation change beaucoup de choses.

Les objectifs de la QVT

Tout dirigeant d’entreprise, sain de corps et d’esprit, aime voir ses collaborateurs s’épanouir au travail. Pour cela, ils ont besoin d’un cadre de travail convenable. Un local accueillant où il fait bon vivre ; des collègues sympathiques, toujours prêts à donner un coup de main dans les bons et les mauvais moments ; des responsabilités partagées, permettant à chacun de s’illustrer ; un planning clair et bien équilibré, où les tâches sont bien réparties et laissent de la marge pour les imprévus…

Créer de telles conditions en entreprise demande de l’organisation et d’excellentes capacités managériales. D’où l’importance d’une politique QVT (Qualité de Vie au Travail) bien élaborée et approuvée par l’ensemble du personnel.

Dans l’Accord national interprofessionnel de 2013, la QVT désigne l’ensemble des « actions permettant d’améliorer les conditions de travail des salariés et la performance globale des entreprises ». Pour les entreprises, la QVT était toujours indissociable du « bonheur au travail ». Un plan QVT se focalise ainsi sur des axes prioritaires comme :

— L’environnement de travail

— L’amélioration des relations au travail

— La culture d’entreprise

— La reconnaissance du travail effectué

— L’équilibre entre vie personnelle et vie professionnelle

— La valorisation du salarié

Imprécise, la définition de la QVT trouble plus d’une entreprise. Beaucoup d’entre elles ont oublié, ou du moins, négligé l’objectif même de la QVT : avoir des collaborateurs en bonne santé et qui s’épanouissent physiquement, émotionnellement et psychologiquement dans leur travail. Pour cette raison, le nouvel Accord national interprofessionnel du 9 décembre 2020 change l’acronyme. La QVT devient QVCT – et, depuis ce jour, les choses ont évolué dans le bon sens.

Quels changements depuis le passage à la QVCT ?

Les signataires du nouvel accord justifient ce changement par la nécessité de revoir l’approche traditionnelle de la qualité de vie. Selon eux, cette démarche doit intégrer une vision collective et centrée sur l’amélioration des conditions dans lesquelles les salariés exercent leur travail. Préserver la santé et la sécurité des travailleurs devient ainsi une priorité. Le nouvel accord souhaite aussi encourager la capacité des salariés à agir et à s’exprimer sur le contenu de leur travail.

La démarche QVCT, telle qu’elle a été imaginée par l’ANDRH, peut et doit être amendée continuellement. Chaque organisation professionnelle est concernée. Enfin, la politique QVCT se concentre aussi bien sur les pratiques managériales que sur les trajectoires professionnelles et les relations interpersonnelles. En gros, tous les membres de l’entreprise sont concernés.

Avec ce glissement, la qualité de vie des salariés ne se mesure plus seulement à travers les activités de détente et la convivialité sur le lieu de travail. Les mesures cosmétiques décorrélées du travail, comme les baby-foot, les coins cafés, tables de ping-pong, apéros, sortie karting et les autres activités extra-professionnelles passent ainsi au second plan. La QVCT met l’accent sur les conditions et l’environnement de travail. Le salarié se retrouve au cœur des préoccupations, puisque la QVCT s’intéresse à des enjeux autrement plus percutants :

  • Les enjeux de santé au travail, qui incluent le bien-être et la prévention des risques physiques et psychosociaux ;

—  Les questions juridiques et réglementaires liées à la soutenabilité du travail ;

—  Le dialogue social et interne ;

  • Les enjeux sociétaux autour de l’inclusion, la formation, l’égalité des chances, etc. ;

—  L’enjeu du travail

Pour les entreprises, la mise en place d’une politique QVCT revêt un intérêt stratégique. Des salariés en bonne santé et équilibrés se révèlent plus productifs. En ce sens, une démarche QVCT bien pensée booste la compétitivité, la rentabilité et la performance globale de l’entreprise.

Les actions prioritaires d’une politique QVCT

Les mesures prioritaires d’une démarche QVCT englobent la santé, la sécurité et les conditions de travail dans leur globalité.

Les actions pour la Santé et la sécurité

Imaginez que vous dirigez une PME industrielle. Vous produisez des mécaniques de précision pour des constructeurs automobiles ou aéronautiques. Vos équipes subissent au quotidien d’énormes pressions liées aux exigences du métier (concentration permanente, travail en milieu hyperbare, chaleur, outils coupants, etc.). Sans une démarche QVCT adéquate, la fatigue et la lassitude s’installent facilement dans ces conditions.

Pour protéger la santé et la sécurité de vos collaborateurs, votre entreprise se conforme à la loi et investit dans des EPI adéquats. Vous élaborez également un planning dans lequel la charge de travail est bien répartie et calibrée selon les capacités physiques et psychologiques de chaque employé.

Pour éviter les accidents et les maladies professionnelles, vous pourriez investir dans des dispositifs d’assistance physique. Un exosquelette d’ErgoSanté permet, par exemple, de diminuer la pénibilité des travaux de découpe ou de soudure. Cette assistance facilite aussi les autres tâches nécessitant de porter des charges lourdes ou de répéter les mêmes mouvements. En investissant dans la santé et le bien-être de vos salariés, vous diminuez le taux d’absentéisme, les retards et les maladies professionnelles. 

Sur le dialogue social et interne

Le climat social au sein de l’entreprise se reflète dans la qualité des relations entre les collègues et avec la hiérarchie. Cet indicateur montre avec plus ou moins de précision la santé sociale et humaine de l’entreprise.

L’instauration d’un climat de confiance entre collègues et avec la hiérarchie repose sur une communication ouverte et franche entre toutes les parties. Les évènements internes, comme les team-building, les journées parents/enfants et autres catalyseurs sociaux du même acabit permettent souvent de resserrer les liens entre les collaborateurs. 

Sur les pratiques managériales

L’encadrement joue aussi un rôle central dans une politique QVCT. Aucun salarié n’aime les méthodes de gestion trop rigides, trop fermées et dénuées de tact. Ces pratiques d’un autre âge sont sources de conflits et d’incompréhension.

Dans une politique QVCT, les managers font preuve de bienveillance et d’écoute auprès de leurs équipes. Chaque collaborateur doit se sentir soutenu, reconnu et valorisé dans son travail. Une communication humaine, ouverte et participative se trouve être la clé pour optimiser la qualité du management au cœur d’une entreprise. 

Sur les enjeux sociétaux et réglementaires

Pilier majeur de la QVCT, l’égalité professionnelle apparaît comme une source de motivation et de bien-être supplémentaire pour les salariés. Ces derniers se sentent parfois abandonnés ou privés des mêmes chances professionnelles que leurs collègues. Ce sentiment d’inégalités est parfois lié à leur sexe, à leur âge ou à leur statut social.

Afin de réparer ces injustices, l’État exige des entreprises de plus de 50 salariés qu’elles établissent un index d’égalité professionnelle entre hommes et femmes. D’autres obligations, tout aussi contraignantes, portent sur l’emploi des travailleurs en situation de handicap et l’égalité des chances indépendamment de l’origine ethnique ou sociale.

Sur l’enjeu du travail

Un employé s’ennuie facilement s’il ou elle exécute des tâches laborieuses, redondantes ou pas du tout adaptées à ses compétences. La démarche QVCT d’une entreprise doit résoudre et prévenir cette situation, en s’assurant que chaque collaborateur trouve de l’intérêt et du sens dans son travail. Cela demande une concertation entre l’équipe managériale et les employés, l’objectif étant de bien répartir les tâches et de les programmer en fonction des affinités et des compétences de chacun.

En gros, le principal défi consiste à placer la bonne personne à la bonne poste, en lui fournissant les bons outils de travail au bon moment. Si toutes ces conditions sont réunies, le collaborateur a tous les ingrédients en main pour exceller dans son travail.

La QVCT selon ErgoSanté

ErgoSanté adhère totalement aux valeurs et principes de la QVCT. Notre activité elle-même est dédiée à l’aménagement d’un cadre de travail sain, sécuritaire et agréable pour tous les salariés. Nos sièges ergonomiques aident les entreprises à lutter efficacement contre les troubles musculo-squelettiques (TMS) et les maladies à caractère professionnelles résultant d’une mauvaise posture.

Nous développons également des exosquelettes passifs, une filière où nous sommes numéro un en France. Nos derniers modèles HAPO UP et HAPO Front sont le fruit de trois années de R&D et de retours d’expérience de nos précédents équipements.

ErgoSanté soutient aussi l’égalité des chances et promeut les valeurs d’inclusion. Notre atelier cévenol est la seule Entreprise Adaptée en France œuvrant dans la fabrication de sièges ergonomiques et d’exosquelettes passifs.


Dans un rapport publié le 18 avril dernier, Santé publique France s’inquiète de l’augmentation des signalements de maladies à caractère professionnel entre 2012 et 2018. L’institut déplore aussi le manque de sensibilisation des employeurs et des employés par rapport aux MCP et aux troubles musculo-squelettiques (TMS).

Une analyse posturale en temps réel, par l’outil LEA d’ErgoSanté

Plus de signalements chez les femmes, les ouvriers et les personnes âgées

Première information de l’étude de Santé publique France : le taux de signalements des maladies à caractère professionnel augmente presque continuellement. De 4,9, % en 2017, il atteint 7,1 % chez les hommes en 2018. Chez les femmes, le taux de signalements s’élève à 11,4 % en 2018, contre 6,2 % en 2007.

En terme d’âge, le taux de signalement chez les femmes progresse jusqu’à 45-54 ans, avant de diminuer à partir de 55 ans. Chez les hommes, la courbe continue de monter au fur et à mesure que l’âge avance.

Par secteurs d’activités, l’industrie et la construction sont les plus représentées dans les signalements de MCP chez les hommes. Chez les femmes, les activités d’entreposage et de transports font le plus souffrir.

Les TMS sont sur-représentés dans les MCP

L’autre information clé concerne la surreprésentation des troubles musculo-squelettiques dans les MCP. Les TMS représentent près de la moitié des signalements chez les hommes. La souffrance psychique arrive en seconde position, avec un tiers des déclarations. Les allergies, irritations et troubles de l’audition représentent chacune moins de 5 % des pathologies signalées.

Chez les femmes, 40 % des signalements sont liés à des troubles musculo-squelettiques. 52 % sont liés à la souffrance psychique. Les troubles psychiques touchent particulièrement les femmes de 35 à 44 ans et les hommes de 45 à 54 ans. Par ailleurs, Santé publique France note un écart significatif du taux de signalement des TMS, en fonction du rang social des travailleurs.

En effet, les ouvriers sont particulièrement affectés par ces pathologies, alors que les cadres semblent épargnés. Cependant, les médecins à l’origine de l’étude relativisent ce résultat, susceptible d’être faussé par une possible sous-déclaration des troubles psychiques chez les ouvriers.

Sur les origines des TMS, les auteurs pensent que plus de 80 % des signalements proviennent de facteurs biomécaniques :

— Travail avec force

— Mauvaise posture

— Mouvements répétitifs

La souffrance psychique, quant à elle, est le résultat de facteurs organisationnels, relationnels et éthiques (FORE) à 99 %. La moitié de ces FORE relèvent de l’organisation fonctionnelle du travail.

L’étude précise enfin que 75 % des TMS relevant d’une Maladie professionnelle (MP) n’ont pas été déclarés comme une  maladie professionnelle. Cette sous-déclaration s’explique par la méconnaissance de la procédure de signalement par le salarié et par l’insuffisance d’un bilan diagnostique.

Les leçons du rapport de Santé publique France

Le système de surveillance des MCP de Santé publique France permet de quantifier, avec plus ou moins de précision, les maladies à caractère professionnel et les maladies professionnelles au sein des entreprises. 

L’étude améliore aussi la compréhension et l’identification des situations à risque en matière de MCP. La forte prévalence des troubles psychiques et des MCP chez les plus de 45 ans souligne, par exemple, la nécessité d’intégrer le facteur âge dans la répartition des postes et des tâches en entreprise.

À propos des TMS, une meilleure connaissance des facteurs biomécaniques problématiques aide les entreprises à prendre les bonnes décisions en matière de QVCT. Certains employeurs pourraient, par exemple, renforcer la protection des collaborateurs contre les effets néfastes d’une posture pénible, des gestes répétitifs et du port de charges lourdes.

L’innovation au service de la prévention des TMS

Des solutions concrètes existent. Les exosquelettes passifs développés par ErgoSanté en font partie. Nos harnais de posture soutiennent les travailleurs manuels dans les tâches pénibles, comme :

  • les travaux en hauteur,
  • le port de charges lourdes,
  • les mouvements répétitifs
  • le maintien prolongé des bras en avant ou en haut.

Légers, non encombrants et ajustables à toutes les tailles, les exosquelettes HAPO conviennent à tous les métiers manuels. Des peintres, viticulteurs, soignants, paysagistes, ostréiculteurs et ouvriers du BTP ont déjà adopté cette solution.

À propos du programme de surveillance des MCP

Le programme de surveillance des MCP de Santé publique France voit le jour en 2004. Les Observatoires régionaux de santé et l’Inspéction médicale du travail participent aussi à ce dispositif. Il s’intéresse à toutes les pathologies pouvant être liées à une activité professionnelle, sans être reconnues comme étant une maladie professionnelle par la Sécurité sociale. Les actions de veille du programme reposent sur les observations de médecins du travail volontaires lors des Quinzaine MCP.

En 2018, 1014 médecins du travail ont participé à au moins une Quinzaine MCP. La même année, le programme de surveillance des MCP a étudié plus de 40 000 cas de salariés ayant signalé une ou plusieurs maladies à caractère professionnel. Le mécanisme de surveillance couvre 7 régions métropolitaines et 2 départements d’Outre-mer.

Santé publique France prévoit d’étendre le dispositif sur tout le territoire métropolitain et Outre-mer. Elle compte sur le soutien des éditeurs de logiciel pour atteindre cet objectif. Ces derniers sont chargés de développer des outils informatiques pour faciliter et sécuriser les échanges entre les professionnels de santé qui ont accès aux DMST* et DMP**.

*DMST : Dossier Médical en Santé du Travail

**DMP : Dossier Médical Partagé


Qu’est-ce qu’un salon Préventica ?

Depuis près de 25 ans, Préventica organise des rendez-vous dans plusieurs villes de France. On y parle monde du travail et prévention des risques et on y expose les solutions ergonomiques les plus novatrices.  Espace de rencontre et d’inspiration pour les acteurs de la santé et sécurité au travail, ce salon porte un objectif commun : L’amélioration continue des conditions de travail dans tous les secteurs professionnels !

Événement majeur dans le domaine de la qualité de vie au travail, le salon Préventica sera de retour du 23 au 25 mai. Il accueillera cette année plus de 540 exposants à Paris Expo, Porte de Versailles. L’occasion pour les participants d’échanger sur l’actualité et les dernières innovations de la profession.

 

Où retrouver ErgoSanté ?

ErgoSanté a une fois de plus répondu présent à ce rendez-vous incontournable. Retrouvez-nous au pôle « aménagement des espaces de travail » au Stand I15 pour échanger avec nos conseillers ergonomes ! Venez découvrir notre gamme de solutions innovantes et profiter de conseils en aménagement de poste !

Concepteur, fabricant français et distributeur de matériel ergonomique, nous avons pour objectif la santé et le bien-être de tous les travailleurs. Entreprise Adaptée, nous avons aussi pour mission de maintenir dans l’emploi les travailleurs handicapés. Nous profiterons ainsi de la plateforme Préventica pour transmettre ces valeurs et mettre en avant nos dernières avancées technologiques.

À l’occasion de ce salon parisien, découvrez ainsi nos sièges ergonomiques manufacture des Cévennes et venez tester nos nouveautés exosquelettes ! Nous présenterons notre nouveau modèle le HAPO UP et son kit le HAPO UP FRONT. Ces dispositifs à la pointe de l’innovation sont destinés à soulager les douleurs et à éviter les TMS pour préserver votre santé au quotidien. Essayer aussi notre tout récent HAPO SENSOR. Celui-ci évalue concrètement l’impact de l’exosquelette sur l’utilisateur permettant ainsi une analyse précise de ses bienfaits. On vous prévient… les essayer c’est les adopter !

Quel que soit votre secteur d’activité, ErgoSanté peut vous accompagner dans vos démarches d’amélioration de la qualité de vie et de prévention des risques au travail.

Des questions ? Notre équipe sera là pour vous répondre !

🏙️ Obtenez votre badge visiteur gratuit : https://www.preventica.com/visiteur-formulaire-inscription.php?salon=paris&Connaissance=EIPA048&Connaissance2=ERGOSANTE&utm_source=ps&utm_medium=e-invitation&utm_campaign=ergosante-paris23

🗓️ Prenez rendez-vous avec nous : https://www.preventica.com/congres-salon-preventica-paris-2023-exposants.php?motcle=ERGOSANTE&utm_source=ps&utm_medium=e-invitation&utm_campaign=ergosante-paris23


La liste des utilisateurs des exosquelettes HAPO s’allonge. ErgoSanté est fier d’annoncer la vente d’une douzaine d’exosquelettes HAPO à Staci, gestionnaire de plateformes logistiques en France et dans toute l’Europe.

Après un test en deux phases sur un an, l’opérateur de plateformes logistiques STACI officialise la commande d’une douzaine d’exosquelettes fabriqués par ErgoSanté. Ces équipements seront opérationnels à partir du 5 mai. À terme, Staci France devrait obtenir 18 exosquelettes HAPO au total. Ces dispositifs accompagneront en priorité les collaborateurs les plus exposés aux contraintes biomécaniques et aux travaux de port de charges lourdes.

Un essai concluant pour nos exosquelettes

Le choix des exosquelettes HAPO par Staci fait suite aux retours positifs des salariés après la phase de test. Les données collectées lors de ces essais dépassent les attentes :

— Les dispositifs d’aide à la posture d’ErgoSanté diminuent significativement la sensation de fatigue à la fin d’une journée de travail.

— La présence de l’exosquelette HAPO, très léger, est à peine perceptible par les opérateurs. Les mouvements des bras, des jambes et de la hanche restent ainsi naturels.

Les testeurs de Staci remarquent aussi que le HAPO empêche les opérateurs de trop se pencher vers l’avant, en maintenant efficacement les lombaires et le haut du corps. Par cette action, l’exosquelette passif réduit la sollicitation de la colonne vertébrale. Il limite aussi les inclinaisons et les flexions du tronc. Les signalements de maux de dos ont régressé de manière significative durant la période du test.

Les opérateurs ont apprécié le fonctionnement des ressorts, installés de chaque côté du corps. Ces mécanismes corrigent la posture en temps réel : ils redirigent l’effort à fournir par le fléchissement des jambes. Les ressorts – et l’exosquelette HAPO– protègent ainsi les manutentionnaires et magasiniers contre les faux mouvements. À la longue, les opérateurs s’habituent au dispositif et adoptent naturellement les bonnes pratiques pour préserver leur santé au quotidien.

Un géant de la logistique valide les exosquelettes HAPO ErgoSanté

ErgoSanté est fier d’aider les grandes compagnies dans leurs efforts pour améliorer la Qualité de Vie et les Conditions de travail de leurs collaborateurs. STACI Group opère en effet dans un secteur où la pénibilité du travail mérite l’attention des employeurs. 

Des exosquelettes innovants au service de manutentionnaires

« Spécialiste de la logistique multi-canal », Staci gère 31 hubs logistiques et 250 points de stockage de proximité en France. Sa clientèle regroupe les acteurs du e-commerce, les services publics, les sociétés touristiques, les entreprises de la santé et de la télécom, des compagnies énergétiques et les banques et assurances, entre autres. Le chiffre d’affaires de Staci France avoisine 113 millions d’euros en 2021. Les revenus du groupe à l’international devraient atteindre 800 millions d’euros cette année.


Dans son dernier rapport du 18 avril dernier, Santé publique France note que les signalements de maladies à caractère professionnel ont augmenté de 11,4 % entre 2012 et 2018.
 
Voici quelques informations clés de l’étude :
 
— 80 % des TMS proviennent de facteurs biomécaniques
 
— Le poignet (38 %), l’épaule (30 %) et le coude (22 %) sont les plus touchés par les TMS
 
— Les TMS représentent 50 % des signalements chez les hommes et 40 % chez les femmes
 
Les chiffres du programme de surveillance des MCP ne sont pas vraiment une nouveauté. Ce rapport démontre en tout cas l’utilité des équipements développés par ErgoSanté. Nos exosquelettes aident à diminuer les contraintes sur le corps des travailleurs et limiter ainsi le risque de TMS.
 
Le développement de nos exosquelettes HAPO procède d’une démarche scientifique appuyée par les retours d’utilisateurs et les observations d’experts ergonomes.
 
Les résultats sont probants. Nos exosquelettes passifs supportent actuellement des employés de différents corps de métiers : ouvriers du BTP, personnels médicaux, manutentionnaires et vignerons, entre autres.
 
Notre message est simple. Ne restez plus spectateur devant le fléau des maladies à caractère professionnel, surtout des TMS. Investissez dans un exosquelette d’ErgoSanté ou dans tout autre équipement bénéfique pour le bien-être et la santé de vos collaborateurs !
 
➡️ Pour découvrir et essayer nos exosquelettes :
 
➡️ L’étude de Santé publique France :

Le Conseil constitutionnel a validé l’essentiel du projet de réforme des retraites ce vendredi 14 avril, à l’exception de six dispositions que les « Sages » considèrent comme des « cavaliers sociaux ». La décision des membres de la rue de Montpensier concerne aussi un autre sujet important du texte : l’amélioration de la prise en compte de la pénibilité. Ce sujet intéresse particulièrement ErgoSanté.

Les chiffres ne parlent pas du tout en faveur du Compte professionnel prévention. Depuis 2015, 2 millions de C2P ont été ouverts par les entreprises. Pourtant, seuls 12 000 salariés l’ont utilisé, dont 10 000 travailleurs qui ont fait valoir leurs droits pour obtenir une retraite anticipée. Ces résultats décevants motiveraient en partie les changements annoncés par le gouvernement. Les améliorations portent sur :

— le déplafonnement des points

— la création d’un droit à la reconversion

— la retraite à 62 ans pour les salariés les plus exposés à l’usure professionnelle

Déplafonnement des points du compte pénibilité

Aujourd’hui, l’exposition à six facteurs de pénibilité ouvre droit à des points sur le C2P. Ces facteurs sont :

  • le travail répétitif
  • le travail de nuit
  • le travail en équipes successives alternantes
  • les températures extrêmes
  • le bruit
  • le travail en milieu hyperbare

Dans les faits, un salarié ajoute des points sur son C2P lorsqu’il ou elle est exposé(e) à l’un de ces facteurs au cours d’un trimestre. La règle se veut simple :

  • son compte de pénibilité est crédité d’un point par trimestre s’il s’expose à un seul facteur
  • il ou elle reçoit deux points par trimestre en cas d’exposition à deux ou plusieurs facteurs de risque

Un employé peut donc acquérir 4 points de pénibilité par an en cas d’exposition à un facteur sur tous les trimestres et jusqu’à 8 points en cas de polyexposition. Le compte pénibilité d’un salarié ne peut contenir plus de 100 points durant toute sa carrière. Le projet de réforme validé par le Conseil constitutionnel supprime ce plafond.

Assouplissement des critères d’éligibilité

Dans l’actuel système, les points sont crédités sur le compte du salarié à partir d’un seuil d’exposition sur un ou plusieurs facteurs de risque. Cette valeur s’élève à 120 nuits par an, pour le travail de nuit et à 50 nuits par an pour le travail en équipes successives. Le gouvernement envisage d’abaisser ces seuils, afin d’élargir l’accès au C2P à plus de salariés. Cette disposition cible en particulier les métiers où le sentiment d’insoutenabilité du travail est très fort.

Ajout d’une modalité d’utilisation au compte pénibilité

Le C2P permet actuellement de :

  • avancer l’âge de départ à la retraite en validant des trimestres de majoration de durée d’assurance vieillesse
  • obtenir un complément de rémunération dans le cas d’une réduction de la durée de travail en lien avec l’exposition aux facteurs de risque de pénibilité
  • financer une formation professionnelle en vue d’une reconversion dans un métier moins pénible

La réforme introduit une quatrième utilisation du compte. D’après le texte validé par le Conseil constitutionnel, elle prendrait la forme d’un « congé de reconversion professionnelle ». Avec ses droits C2P, un salarié pourra financer une formation longue et qualifiante pour changer de métier. Après la réforme, 60 points de C2P donnent droits à une formation de 30 000 euros.

Le projet inclut aussi l’augmentation de la valeur des points obtenus sur le C2P. Chaque point sur le compte pourrait financer 500 euros de formation, contre 375 euros aujourd’hui.

Une retraite à 62 ans pour les plus exposés

Le projet de loi maintient la possibilité de partir à la retraite à 62 ans, pour les salariés les plus exposés aux facteurs de risque de pénibilité. En revanche, le gouvernement devra préciser les modalités de ce régime spécial : l’article sur la visite médicale de « fin de carrière » a été censuré.

Cette mesure concerne les salariés exposés à de multiples risques de pénibilité. Dans le texte, les personnes qui échouent à cette visite auraient pu demander une retraite anticipée dès 62 ans et percevoir quand même une pension au taux plein. Les « Sages » estiment que cette disposition est contraire à la Constitution.

La réduction de la pénibilité selon ErgoSanté

ErgoSanté soutient toute initiative concrète visant à améliorer concrètement les conditions de travail des salariés qui exercent un métier pénible. Notre entreprise est d’ailleurs l’un des principaux acteurs du marché des équipements professionnels ergonomiques. Nous sommes le premier fabricant français d’exosquelettes passifs destinés aux travailleurs.

Une solution technologique à la pénibilité du travail

Notre objectif reste inchangé, avec ou sans la réforme du C2P : imaginer, concevoir et développer des dispositifs qui aident à limiter l’apparition de troubles musculo-squelettiques liés à la pénibilité d’un travail. Nos solutions prêtent assistance aux travailleurs de bureau et aux professions manuelles. Pour ces dernières, nous proposons une gamme d’exosquelettes passifs, qui soulagent la nuque, les bras et le dos, en plus de compenser les infirmités.

Ces « dispositifs d’assistance physique » — comme Samuel Corgne, PDG d’ErgoSanté, préfère les appeler — accompagnent actuellement des professionnels de différents secteurs d’activité. Des producteurs laitiers, chirurgiens, manutentionnaires dans les usines et centres logistiques et des ouvriers d’abattoirs bénéficient de l’assistance fournie par les exosquelettes ErgoSanté.


 

D’après les statistiques de l’Assurance Maladie, les troubles musculosquelettiques (TMS) représentent 87% des maladies professionnelles. Ceux-ci proviennent de diverses contraintes physiques exercées sur le corps et se développent dans tous les secteurs d’activités. 

Solution innovante, les exosquelettes attirent toujours plus d’entreprises désireuses de protéger la santé de leurs salariés et leurs performances. Ces dispositifs d’assistance passifs luttent efficacement contre l’apparition des douleurs et soulagent l’utilisateur dans de nombreuses tâches contraignantes. Polyvalents, ils peuvent être envisagés dans le cadre d’un projet de prévention de TMS ou encore d’inclusion professionnelle de collaborateurs en situation de handicap.

Séduit par les exosquelettes d’ErgoSanté ? Différents types d’aides peuvent accompagner votre entreprise dans le financement de ce type de matériel !

Les subventions de l’Assurance Maladie et de ses caisses régionales

TMS Action

Afin d’améliorer les conditions de travail des salariés, l’Assurance Maladie propose aux PME de moins de 50 salariés diverses subventions préventions. Ces aides aux financements apportent un soutien aux employeurs désireux de s’engager dans une démarche de prévention des risques professionnels. 

L’une d’elles appelée « TMS Action » vise à encourager la mise en place de mesures préventives visant à réduire les risques d’exposition aux TMS.

« TMS action  est destinée au financement de l’achat et de l’installation de nouveaux matériels et équipements, visant à réduire les contraintes physiques en particulier lors de manutentions manuelles de charges, d’efforts répétitifs ou de postures contraignantes. »

Suite à la réalisation d’un diagnostic ergonomique et d’un plan d’action, celle-ci peut donc vous accompagner dans votre achat d’exosquelette !

Plus d’informations ici 

Les contrats de prévention

Les entreprises de plus de 200 salariés peuvent quant à elles signer un contrat de prévention avec leur caisse régionale (Carsat, Cramif ou CGSS). Établi par secteur d’activité dans le cadre de la convention nationale d’objectifs, celui-ci vous engage à mettre en place une stratégie destinée à l’amélioration de la prévention des risques.

Ce contrat peut ainsi vous permettre de toucher une aide financière versée par votre caisse afin de mettre en place votre plan d’action.

Plus d’informations ici 

Les aides au financement d’exosquelettes dans le secteur agricole

La MSA, régime de protection sociale des salariés agricoles, propose des aides financières aux TPE affiliées. L’AFSA a ainsi pour objectif d’analyser les besoins des ouvriers agricoles et d’y répondre le plus justement possible. Elle vise à apporter un appui technique et un soutien financier aux petites exploitations qui souhaitent améliorer leur sécurité et condition de travail.

Nos exosquelettes HAPO pourront par exemple être pris en charge à 50% jusqu’à 3000€ !

Plus d’informations ici 

Les soutiens financiers dans le cadre de maintien ou de retour à l’emploi de salariés en situation de handicap

L’AGEFIPH a pour mission de favoriser l’insertion professionnelle et le développement de l’emploi des personnes handicapées. Pour cela, cet organisme offre divers services et aides financières aux entreprises ou à la personne concernée.

Elle propose par exemple une « aide technique à la compensation du handicap » ainsi qu’une « aide à l’adaptation des situations de travail ». Ces appuis financiers sont accordés dans le but de financer des équipements efficaces et adaptés évitant la désinsertion professionnelle des personnes en situation de handicap. L’AGEFIPH peut alors vous accompagner dans l’achat d’un exosquelette favorisant l’autonomie professionnelle dans un montant maximum de 5 250€ !

Plus d’informations ici 

Le fonds d’intervention pour l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique (FIPHFP) peut aussi financer des projets de maintien dans l’emploi comprenant des exosquelettes.

Plus d’informations içi 

Pour les salariés travaillant au sein de grandes entreprises, vous pouvez vous rapprocher de votre « mission handicap ». Elle doit être la garante de la politique de maintien dans l’emploi des personnes handicapées et peut ainsi financer un exosquelette en vue d’un aménagement de poste.


 

L’édition 2023 du salon WearRAcon 2023 s’est tenue les 30 et 31 mars derniers à La Nouvelle-Orléans, en Louisiane. Cette année, les fabricants d’équipements de robotique ont fait la part belle aux start-ups et entreprises spécialisées dans les matériels ergonomiques innovants. ErgoSanté a profité de cette tribune pour dévoiler deux nouveautés – le HAPO Sensor et le HAPO Up-front — et officialiser l’ouverture prochaine d’un site de production en Caroline du Nord.

Une nouvelle usine de production à Wilmington à partir de juin 2023

Le rêve américain d’ErgoSanté n’est pas un mystère. Samuel Corgne, dirigeant et fondateur, a toujours affiché ses ambitions et l’ouverture d’une manufacture aux États-Unis est l’un de ses objectifs prioritaires. Nos produits s’exportent au pays de l’Oncle Sam depuis 2021, d’abord au sein du réseau Worksmart Innovations, puis avec l’aide de NUVO, notre actuel distributeur exclusif en Amérique du Nord. L’ouverture d’un site de production sur le sol américain fait partie d’un mouvement d’internationalisation orchestrée depuis deux ans.

L’usine en question sera implantée à Wilmington, en Caroline du Nord. Elle sera pleinement opérationnelle à partir de juin 2023. Toutefois, ErgoSanté produit déjà des pièces d’exosquelettes « Made in US » dans l’atelier en question. Nos équipes utilisent l’impression 3D, en collaboration avec la branche R&D HAPOLAB. Les premiers exosquelettes fabriqués à 100 % aux États-Unis sortiront de l’usine de Wilmington à partir de juin.

Nos clients américains pourront alors commander et se faire livrer des équipements ergonomiques « Made in US », confectionnés par des techniciens locaux. Cette organisation est conforme à notre stratégie globale, qui privilégie la production locale et la proximité avec les utilisateurs. ErgoSanté mise beaucoup sur le développement du marché des exosquelettes passifs aux États-Unis. Selon les prévisions de Transparency Market Research, ce filon devrait représenter un chiffre d’affaires de « 745,6 millions de dollars au cours des 10 prochaines années », assure Samuel Corgne dans les colonnes du journal Les Échos.

La présence d’ErgoSanté en Amérique devrait aussi aider les entreprises et travailleurs à mieux prévenir et traiter les troubles musculo-squelettiques liés au travail. Le coût direct des TMS sur l’économie américaine s’élèverait à 50 milliards de dollars par an. Les blessures liés aux TMS génèrent jusqu’à 225 milliards de dollars de manque à gagner sur la productivité.

Communiqué de presse : 

FR : https://ergosante.fr/wp-content/uploads/2023/04/23.03.30_CP-ErgoSante_WearRAcon_nvll-prod-USA.pdf

ANG : https://ergosante.fr/wp-content/uploads/2023/04/23.03.28_Press-release-ErgoSante_WearRAcon.pdf 

 


 

Le marché des exosquelettes à visée médicale et/ou ergonomique grossit continuellement. Dans le monde, hors États-Unis, les ventes progressent de 20 % chaque année. Ce secteur d’avenir attire logiquement plusieurs acteurs, tous déterminés à s’approprier une part du gâteau. Seulement, à trop vouloir faire du chiffre d’affaires, des fabricants tombent dans le piège du sensationnalisme et des arguments de vente dénués de toute logique scientifique.

ErgoSanté ne souhaite pas faire la même erreur et préfère équiper ses clients d’un système qui leur permet de suivre, mesurer et évaluer les données d’utilisation des exosquelettes. Ce nouveau dispositif a été présenté au salon WearRAcon 23 sous le nom HAPO Sensor. L’équipement en question embarque plusieurs capteurs qui calculent la fréquence et l’intensité d’utilisation d’un exosquelette.

HAPO Sensor mesure ainsi l’assistance fournie par le harnais de posture. Les données objectives collectées par les capteurs sont synthétisées, puis compilées dans un rapport d’analyse accessible sur un smartphone. Ces statistiques en temps réel montrent aux utilisateurs l’effet d’atténuation de l’exosquelette d’ErgoSanté, exprimé en kilogramme ou en pourcentage. Bérenger Le Tellier, notre responsable scientifique, est catégorique sur ce point. Ces données « basées sur la science » seront indispensables pour établir l’efficacité de nos exosquelettes en condition réelle.

Communiqué de presse : https://ergosante.fr/wp-content/uploads/2023/04/23.03.30_CP-ErgoSante_WearRAcon_nvll-prod-USA.pdf 


Après des mois de développement, ErgoSanté a pu dévoiler le nouvel exosquelette HAPO Up-Front lors du WearRAcon 2023. Comme son nom l’indique, ce modèle a été imaginé essentiellement pour soutenir les membres supérieurs lors de travaux en hauteur. Cet exosquelette passif se décline en réalité en deux versions, en fonction de l’utilisation souhaitée.

HAPO UP

La variante HAPO UP promet une assistance permanente pour les mouvements des bras au-dessus de la tête. Version améliorée de notre ancien modèle Shiva, le HAPO Up est constitué d’une ceinture lombaire renforcée par des bras en lame composite, dont la structure s’inspire des alvéoles d’abeilles. Cet exosquelette fournit un soutien infaillible jusqu’à 180° à l’horizontale et entre 60 et 180° en hauteur. Le système, passif et réglable, réduit la contrainte de l’épaule jusqu’à -40% pour les travaux qui exigent le maintien des bras au-dessus de la tête. La diminution de contrainte atteint -28 % pour les mouvements de charges légères.

HAPO FRONT

De son côté, le HAPO Front repose sur un système de harnachements, composé d’une ceinture lombaire et de sangles à fixer sur les bras. Ces deux éléments sont reliés entre eux par deux ressorts en composite, à la fois résistants et intuitifs. Le HAPO Front soulage les coudes, les épaules et les membres supérieurs lors des travaux qui nécessitent de maintenir une posture « bras en avant » de manière répétitive ou durant plusieurs minutes. Ce harnais de posture ne limite pas les mouvements des bras, qui peuvent bouger jusqu’à 135° en hauteur et 180° à l’horizontale.

Les modules « UP » et « FRONT » de cet exosquelette sont interchangeables. Autrement dit, vous pouvez commander individuellement le HAPO UP ou le HAPO FRONT, et avoir quand même la possibilité de compléter ultérieurement votre exosquelette avec le module manquant. Le passage du modèle FRONT au UP – ou vice-versa – se fait en quelques minutes, sans l’aide d’aucun outil.

Communiqué de presse : https://ergosante.fr/wp-content/uploads/2023/04/23.03.30_CP-ErgoSante_WearRAcon_nvll-prod-USA.pdf 


Dans le cadre du déménagement de deux de ses sites et suite au réaménagement de quatre internats bretons, la Région a fait le choix de recycler son mobilier. Une partie des meubles a été réutilisée en interne, dans le nouveau site d’Atalante, d’autres ont été donnés à des acteurs de l’économie sociale et solidaire (ESS). Bilan de ces deux opérations.

Le plus grand chantier de réutilisation réalisé avec une collectivité territoriale. Suite à la phase de curage des bâtiments de la Robiquette, des Longchamps 1 et de Frantz Heller, liée à l’ouverture du nouveau site d’Atalante de la Région, 535 meubles ont été réutilisés91 fauteuils reconditionnés et 500 pieds de chaises et bureaux remis en usine en Vendée.

Soit 1 126 pièces ou encore 23 tonnes de mobilier repartis pour une seconde vie, a comptabilisé Valdelia, l’éco-organisme dédié aux déchets d’éléments d’ameublement des professionnels, en charge de l’opération.

4 bâtiments d’internat vidés de leurs meubles

Autres opérations qui témoignent de la volonté de la Région de réutiliser l’existant, les meubles des internats de Kerichen, Dupuy de Lome à Brest et Colbert à Lorient ont également été curés de leurs meubles en 2022.

Ce qui a représenté 3 463 meubles manipulés, chargés et réutilisés pour un poids total de 92 tonnes. Sur ce total, 67 % ont été réutilisés et 33 % sont partis dans le recyclage de matière.

Article à retrouver en intégralité ici


Nous avons atteint les 10 000 abonnés sur LinkedIn ! Chaque jour, nous vous partageons nos actualités et notre désir de faire avancer les choses dans le domaine de la santé et du bien-être au travail. Nous voulons avoir un impact positif sur la vie des gens, en particulier celle des personnes les plus vulnérables.

Nous tenons à vous remercier pour votre soutien qui nous permet de grandir chaque jour. Pour marquer cet événement, nous avons réalisé une vidéo qui retrace quelques-uns de nos moments forts. Merci encore pour votre soutien !


Vous connaissez nos activités curatives mais connaissez-vous le réseau Cap Emploi ? Depuis sa création, ErgoSanté s’est donnée comme mission de donner un accès au travail, socle de la vie sociale, à toutes et tous. C’est donc naturellement que nos agences sont devenues les interlocuteurs privilégiés des Cap Emploi partout sur le territoire.
 
Les 98 Cap Emploi de France sont des organismes de placement spécialisés (OPS) exerçant une mission de service public. Ils sont en charge pour les employeurs d’intégrer ou maintenir les personnes en situation de handicap et pour les employés de pouvoir être accompagnés de manière durable pour l’aménagement de leur poste. Ils accueillent et accompagnent plus de 220 000 personnes en situation de handicap et plus de 150 000 employeurs chaque année. Leurs missions se confondent merveilleusement bien avec les nôtres.
 
Les conseillers du réseau Cap Emploi sont présents dans chaque département. Suivant les sujets, les conseillers peuvent mobiliser des outils et dispositifs de droit commun et spécifiques et faire appel à des organismes ou prestataires externes comme ErgoSanté. Il n’est donc pas rare de nous voir travailler conjointement ou dans les mêmes locaux.  
 
Vous êtes employeur avec des personnes en situation de handicap ? Vous souhaitez intégrer des personnes en situation de handicap dans vos équipes ? Vous êtes en situation de handicap et cherchez un emploi ou un accompagnement d’aménagement de poste, les Cap Emploi sont disponibles pour vous accompagner dans vos démarches.

 

Pour les contacter, rendez-vous sur >> https://lnkd.in/d2emyBrt


Le groupe gardois, spécialisé dans les solutions ergonomiques innovantes et sur mesure, réutilise les déchets de mobiliers professionnels.

Le projet mûrissait depuis quelques années dans la tête de Samuel Corgne, le PDG et fondateur du groupe ErgoSanté, installé à Anduze, dans le Gard.

Pour ce spécialiste des solutions ergonomiques innovantes et sur mesure, qui a commencé il y a une dizaine d’années par imaginer des espaces de travail pour les salariés en situation de handicap, c’est l’idée de plus, qui vient enrichir un portefeuille qui s’étoffe chaque année un peu plus.

“Nous avons relancé cette idée il y a un an, explique-t-il. Nous sommes maintenant engagés dans le recyclage des sièges que l’on conçoit. Le but est de leur donner une seconde vie, afin qu’ils ne finissent pas en déchets de mobiliers de bureau.”

 

“Deux millions de tonnes de déchets par an”

 

Il rappelle que “plus de deux millions de tonnes de déchets d’ameublement sont produites chaque année en France, dont 250 000 issues des entreprises”. Une démarche antigaspi qui s’appuie également sur la nécessité, pour les administrations publiques, d’acheter 20 % de sièges issus du reconditionnement.

Lancée en septembre 2021, cette activité s’appuie sur une organisation totalement intégrée, à l’image de ce qui se fait pour toutes les autres activités du groupe (aménagement de postes travail, sièges adaptés, exosquelettes, etc.).

Les sièges reconditionnés, qui portent la marque EcoSiège, sont vendus exclusivement sur le site Internet dédié, créé pour l’occasion : www.écosiège.fr.

“L’ensemble des pièces des vieux sièges est récupéré grâce à une logistique propre”, insiste Samuel Corgne. Le prix du siège reconditionné représente “30 % du prix du siège neuf”. Un prix que le PDG juge “équitable”.

Ainsi, depuis le 1er septembre 2021, près de 4 000 sièges usagés ont été récupérés. Un millier a également été vendu. Pour cela, le groupe s’appuie sur une solide équipe de R & D, qui imagine tout, jusqu’à la plus petite des pièces.

 

Un groupe en croissance constante

 

Fondé en 2013, le groupe ErgoSanté a très vite connu une croissance dynamique de ses activités. Employant plus de 200 personnes et présent au travers d’une trentaine de bureaux de proximité en France, il devrait enregistrer un chiffre d’affaires d’un peu plus de 20 M€ en 2022, en croissance de 60 %.

Il est également présent à l’international, notamment en Europe, au Brésil, en Nouvelle-Zélande et aux États-Unis.

Il devrait ouvrir, en 2023, dans ce dernier pays, un atelier de fabrication d’exosquelettes en Caroline du Nord. Une activité déclinée dans toutes les unités basées à l’étranger.

 

KARIM MAOUDJ

 

Retrouvez l’article en ligne


Notre atelier de production joue un rôle social primordial d’insertion par l’emploi. En achetant des produits issus de notre atelier, vous participez à l’insertion de personnes en situation de handicap parfois éloignées du monde du travail. À ce titre, ErgoSanté s’inscrit dans l’Économie Sociale et Solidaire (ESS), et plus précisément dans le secteur privé protégé et adapté.

Vous souhaitez nous soutenir ? 3 possibilités ! On vous explique comment faire :

1. Vous êtes un organisme privé ou public de + de 20 salariés ? En achetant l’un de nos produits, notre agrément Entreprise Adaptée vous offre la possibilité de vous inscrire dans une démarche citoyenne qui booste votre ESG/RSE tout en optimisant votre contribution annuelle de l’obligation d’employer des travailleurs handicapés. En effet, nos produits sont déductibles de votre contribution Agefiph ou Fiphfp.

2. Vous êtes un employeur de droit privé ? Vous avez la possibilité de nous soutenir en nous attribuant 10% de votre contribution Agefiph.

3. Vous êtes une entreprise sous accord agrée ou convention Agefiph ? Vous avez la possibilité de nous soutenir en participant au financement de nos activités. Les sommes perçues seront affectées à la réalisation du projet social de notre Entreprise d’Adaptée.

Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à nous contacter au 0805 690 69, contact@ergosante.fr ou rendez-vous sur https://lnkd.in/ezeCkcVz.


ErgoSanté a reçu la visite d’une délégation de La Fabrique de l’industrie, une plateforme de réflexion sur l’industrie en France et à l’international. La délégation était à Alès pour un séminaire avec Louis Gallois, ex-PDG d’Airbus, Président du conseil de surveillance de PSA, ex-dirigeant de la SNCF, et co-Président de la Fabrique de l’Industrie. Pendant la visite, les membres de la délégation ont pu découvrir les installations d’ErgoSanté, notre business model axé sur la technologie, l’innovation, la rentabilité et le social, ainsi que nos métiers et nos savoir-faire associés. Nous remercions chacun d’entre eux pour leur enthousiasme et leur intérêt manifesté.


ErgoSanté était présente au Salon des Maires et des Collectivités Locales à Paris, Porte de Versailles du 22 au 24 novembre 2022. L’occasion d’échanger avec les acteurs publics d’économie circulaire et de sa filière de reconditionnement EcoSiège. Une activité qui s’inscrit pleinement dans le cadre de la loi « anti-gaspillage pour une économie circulaire » (AGEC).

Soucieuse d’atteindre la neutralité carbone en intégrant le cycle de vie complet de ses produits, ErgoSanté a créé en 2021 une filière de revalorisation de sièges usagés. La marque EcoSiège reconditionne, upcycle ou recycle les sièges qui lui sont confiés à des fins de réemploi. Les éléments broyés, extrudés et remoulés réintègrent la gamme de ses produits ergonomiques neufs via son atelier de fabrication gardois. Les sièges reconditionnés sont remis en vente 30% du prix du neuf (catalogue en ligne).

Loi AGEC : depuis 2021 les acheteurs publics doivent acquérir un minimum de 20% de mobilier issu du réemploi, de la réutilisation ou comportant des matières recyclées.

Pratique nouvelle pour les acheteurs et les fournisseurs de mobilier neuf, les nouvelles dispositions législatives -encouragées par un souci croissant de la préservation de l’environnement couplé à une flambée des coûts des matières premières et des produits manufacturés-, obligent dorénavant les acteurs publics à se tourner vers des entreprises spécialisées comme EcoSiège.

L’article 58 de la loi AGEC introduit une nouvelle obligation dans la conclusion de contrats des collectivités. Les acheteurs publics doivent depuis le mois de mars 2021 acquérir un minimum 20% de sièges issus du réemploi, de la réutilisation ou comportant des matières recyclées (décret n°2021 124 du 9 mars 2021). Des CPAM, hôpitaux, tribunaux, gendarmeries, préfectures, collectivités, DGFiP, ARS nous font d’ores et déjà confiance.

Une présence sur le salon des maires en phase avec la semaine européenne de la réduction des déchets (SERD) coordonnée du 19 au 27 novembre par l’ADEME.

 

En savoir plus sur notre offre

En savoir plus sur la loi AGEC

Planifiez une collecte

Consultez notre catalogue en ligne

 


Olivier Foresto, responsable RSE inclusion et mission handicap, et Léo Lemoine, ergonome au sein d’ENGIE Solutions, ont visité le siège social d’ErgoSanté à Anduze, nous donnant l’opportunité de leur présenter l’adn de notre entreprise éminemment technologique, leader sur le marché mondial des exosquelettes et pour autant sociale et inclusive, soucieuse du sourcing local et éthique de ses produits. ErgoSanté a obtenu en 2022 le label des PME qui s’engagent en matière d’environnement (EnVol) et la reconnaissance du magazine Challenges qui la distingue parmi les 9 plus belles PME de France.

Au cœur de la SERD (semaine européenne de la réduction des déchets), nos visiteurs ont fortement apprécié la visite d’EcoSiège, filière de revalorisation des sièges usagés dont l’objectif est de donner une seconde utilité aux sièges de bureau en fin de vie. EcoSiège reconditionne, upcycle, recycle la totalité des sièges qui lui sont confiés à des fins de réemploi. Ils ont naturellement été intéressés par la globalité de notre démarche citoyenne au travers de l’utilisation des éléments broyés, extrudés et remoulés comme notre banc fabriqué à partir de plastiques recyclés. Ces éléments recyclés réintègrent la gamme des produits neufs via notre atelier de fabrication reconnu Entreprise Adaptée.

Cette démarche citoyenne correspond pleinement à la politique d’achats inclusifs et handicap d’ENGIE Solutions. Elle valorise la RSE de nos partenaires tout en leur offrant la possibilité d’optimiser leur contribution AGEFIPH. Cette visite a été également l’occasion de présenter notre manufacture de sièges ergonomiques sur mesure, fabriqués en Entreprise Adaptée, le bureau d’études ainsi que le pôle design chargé de les concevoir.

Nos solutions sont uniformisées et personnalisées partout en France, au service de la santé et du bien-être au travail.